Dans la chambre, tout étais en désordre. C'est comme si deux personne s'étaient battues. Le lit était en pagaille et il y avais encore des cahiers de cours et des stylos sur son bureau. C'était a croire que Maxime était toujours vivant. Je comprit le choi de sa mre de ne pas monter dans sa chambre, car la douleur se fit plus vive. Voir sa chambre comme cela accentuais la sensation atroce de manque.
Je réprimais une crise de larmes et observais attentivement tout autour de moi. Le lit était défait, et les couvertures étaient éparpillées, le bureau était remplis d'affaires de cours, les étagères étaient poussiéreuses et remplis de babioles en tout genre, mais rien de suspect. Je remuais les couvertures et triffouillais le bureau et les tiroirs, a la recherche de preuves de la fameuse dépression de mon ami. Mais rien, absolument rien. Aucun objet coupent, aucune traces de sang, ni de médicaments, tout était normal.J'allais discrètement dans la salle de bain et fouillais tous les tiroirs, mais rien encore une fois. Rien de coupeant a part son rasoir, et surtout rien de suspect. Le sentiment que quelque chose se cachais derrière tout cela m'envahit de plus belle et j'en étais certaine a présent, Maxime n'avais pas mit fin a ses jours. Je retournais dans la chambre et observais le plafond, et frissonnais en imaginant mon ami pendu.
Afin de me réconforter, je me frottais les bras et ce geste fit tomber un de mes bracelets. En me baissant pour le reprendre, je vit une boite a chaussure bleue, cachée sous son lit. Je m'accroupit et l'attrapais.
En vérifiant que sa mère n'étais pas la, j'ouvrit la boite délicatement. Je décrouvrit quelques post-it griffonés et lachais les bouts de papiers avec horreur. Je reconnaissais l'écriture.
C'était la mienne.
Je me jetais a nouveau sur les bouts de papiers et vit que les morceaux étaient tous rangés. Dans l'une des piles, il y avais des post-it avec mon écriture dessus, et de l'autre côtés la sienne. Je lus attentivement les siens.
"As-tu toujours peur de moi ?"
"Alors, ma belle tu veux savoir qui je suis ?"
Il y en avais pleins d'autres encore, dans ce genre la. Ceux qui contenais mon écriture m'étaient familiers. C'était ceux que j'avais écrit lorsque j'étais chez moi, quand les post-it étaient collés un peu partout et que j'avais paniqué.
Alors c'était lui ! C'était lui qui c'était amusé a me faire peur, mais pourquoi avait-il donc fait ça ? Et comment avait-il réussis ?
Je restais quelques minutes a digérer le choc, puis rangeais a nouveau la boite, comme je l'avais trouvé. Je me levais et sursautais. J'entendis un léger bruit, qui venais de derrière moi. Je me figeais quelques instants puis me retournais brusquement.
C'était son portable qui sonnais.
Qui donc pouvait bien l'appeler ? Qui donc ne pouvais pas être au courant de sa mort ?
Les larmes aux yeux, je prit son portable et décrochais l'appel du numéro inconnu.
-Oui ?
-Allô ? Clémence... Je savais que tu viendrais ici ! Ma mort t'intriguais trop, n'est-ce pas ? Tu me connais bien et tu sais que jamais je ne me penderais !
Je me retenais d'hurler en reconnaissant la voix de Maxime au téléphone.
-T'es pas mort ? Allô ? Est-ce que tu va bien ? Je t'en prie, expliques-moi !
Il y eu un moment de silence.
-Allô ?
-Tu me reverras bientôt !
L'appel fut coupé.
Le reste de la journée fut étrange, je redescendais en cachant ma surprise a la mère de mon ami et partis en courant de chez lui. La peur me faisais trembler, tandis que des larmes coulaient le long de mes joues. Je me croyais devenir réellement folle. C'était un cauchemard, ce n'étais pas possible autrement et j'allais me réveiller.
Je rentrais chez moi et vit ma mère dans le salon.
-Ah, ma chérie !
Elle mangeais en regardant la télévision. Elle s'arrêta de zapper au hasard et tomba sur la chaîne d'information.
"Un mort réscuscité, le jeune Maxime Ferlant qui avais été retrouvé pendu vient de revenir mystérieusement a la vie, alors que sa famille prépairais son enterrement. "
Je m'évanouis.
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Je t'aurais
HorrorClémence avais de la chance; elle avais tout ce qu'elle désirais : une vie calme, un copain, des amies... Mais tous ces rêves furent chamboulés lorsqu'elle reçu sa première lettre. Cher lecteur, j'espère que vous n'avez pas peur...