Eight

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Quatre ans plus tôt ( 2012)

Le pat colérique, je referme violemment la porte de ma chambre derrière moi, tout en me laissant glisser dessus par la suite. Mes doigts plongent dans la masse de mes cheveux brun, alors que je tire sur les racines. Donnant plus de tentions pour laisser couler mes larmes. La boule qui s'est formé dans le fond de ma gorge explose indéfiniment. Cet boule est apparue à partir du moment où j'ai vue les regards craintif du couple que je viens de rencontrer. Lorsque je suis entré dans la pièce avec mon plus grand sourire et le plus beau des accueil. Mais tout cela ne m'a servie à rien, encore une fois.

Ils ont fait exprès de me mentir en me disant qu'ils préféraient avoir un enfant plus jeune de mes dix-sept ans. Ils ne se sont même pas excusé. Ils n'ont pas eu la peine de savoir qu'une orpheline comme moi n'aura pas aujourd'hui la chance d'avoir des parents. Pourtant ils le savaient et il n'ont fait que me rejetter comme un déchet qui n'avait plus aucune utilité. Chaque couples que j'ai rencontré, m'ont trouvé une stupide excuse pour éviter de m'avoir. Ils m'ont tousse reconnu et je pense que je suis plus où moin célèbre dans le coin. Pour que je ne puisse pas me promener dans la rue sans recevoir tout les regards de ces gens qui me prennent pour la menace du siècle. Ce qui est le plus honteux à savoir est la raison pour la quelle ils sont tousse comme ça avec moi. Je l'ignore et je l'ai toujours ignoré. Je n'ai jamais eu le cran de demander à quelqu'un pourquoi ces regards et tout ces bruits qui courrent constamment à mon sujet. Et qui sont pour moi, bien mensonge.

Je ramène mes jambes face à mon visage pour y enrouler de mes bras et plonger ma tête aux creux de ceux-ci. Les larmes toujours aussi débordante et toutes les insultes que j'attribue au monde entier, sont brusque et violentent à travers la barrière de mes lèvres.

J'en suis à mon neuf cent soixante-sept iéme refus sur les doux années que je suis ici. Le monde est vraiment cruel. Mon corps tremble sous l'effet de la colère.
Il faut que je sorte d'ici au plus vite, avant de faire une conneries, que je pourrais regretter tôt ou tard.

Je me lève sur mes deux pieds, après avoir passé mes mains sur les zones humides de mes joues. Je saisie ma veste qui traînent en boule sur mon lit défait, puis je sort aussi silencieusement que rapidement de ma chambre. Je referme la porte derrière moi, pour ensuite naviguer dans le long couloir sombres et désert. Mes pats me guide vers la pièce télévisée. Là où tout le monde se rassemble à l'heure après le repas pour visualiser un film. Sur les douze années passé ici, je n'ai jamais regardé de films dans cet pièce. Moi qui ai toujours rêver de regarder les Harry Potter, mais j'ai fini par lire les livres à la place...

À l'heure qu'il est, personne ne doit être à l'intérieur. Ma main saisi la poignée froide et je fini par pousser silencieusement la porte afin d'entré.
Avec un peu de chance, personne n'est ici. J'enjambe les quelques poufs qui traînent au sol et je me précipite au coin de la pièce pour arriver là où ce présente le poste que j'ai toujours voler pour fuguer comme je l'ai toujours fait.
Celui-ci est déposé sur une grande table, comme à son habitude avec tout les discs et les quelques magazines. Je le saisi pour le bloquer sous mon bras alors que ma seconde main saisie au total trois disc piocher à l'aléatoire.

Je détourne mon corps pour marcher à la sortie. Je suis de nouveau dans ce couloir, toujours autant désert. En peu de temps je rejoins très vite ma chambre. Je réuni tout l'ensemble dans mon vieux sac à dos et me dirige vers la fenêtre. Mes doigts aggripent le rebord, afin d'y soulever par ma force.

***
La porte grinçante se referme derrière moi et instinctivement j'escalade la grande échelle qui donne sur l'étage du dessus. Je suis toujours venus dans cet usine abandonné pour m'échapper du monde et pour oublier chaquin de mes soucis.

Dark Dance - Harry StylesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant