Imagines One Direction - Recueil de fanfictions

Princess ×4×

~~Quelques mois plus tard - Camp rebelle~~

Il y a des moments dans la vie ou tout ce qu'on peu nous dire nous fait pleurer. Ou nous met en colère. Ce n'est pas ce que l'on veut entendre. On se sent incompris, on ne peu pas expliquer ce que l'on ressent. On tourne en rond, on va finir par exploser, et on explose. C'est normal, c'est comme une bombe à retardement. Ça nous fait rager, pleurer, rire même. Et puis plus tard on se dit que c'était bête de se mettre dans un état pareil,dans vouloir au monde entier pour si peu. Mais pour l'instant ça à la taille d'une montagne. Faire culpabiliser les gens est mauvais mais des fois ça permet de se dire qu'on est pas les seul à se sentir impuissant. Je pense que tout ça n'est qu'un passage, on va en voir d'autre. C'est pas facile, c'est épuisant et on se dit que faire semblant de sourire et très hypocrite. On à beau laisser des messages subliminaux personnes ne nous vient en aide, et on à pas envie qu'ils le fassent ! C'est le plus incompréhensible, avoir envie sans avoir envie. C'est assez déconcertant si on fait le point enfaîte ... Mais ça donne pas non plus envie de réfléchir, on n'a pas la tête à ça. C'est trop dur. Ça fait peur aussi je crois. Se dire qu'on est presque tout seul parce que personne n'est capable de nous comprendre, et c'est faux. Des tas d'autres personnes ont vécus et vivent la même chose chaque secondes. Des peines et des colère il y en as partout. C'est ce qui rend la vie vivante. Le pire est encore à venir, le pire c'est si il revient, on essaie de lutter,mais au font on c'est pertinemment qu'on va céder, ce n'est qu'une question de secondes. 3 2 1, c'est finis. Il n'y a plus rien. Tout nos efforts pour aller mieux, pour se détacher. 3 secondes, de la poussière dans le vent, un peu comme quand on brûle une feuille de papier, carboniser, anéantis, mort. Et en attendant, les gens quel'on a fait culpabiliser, sur qui on à crier, et bien ils s'en rappellent très bien eux, alors que nous, on a oublié, il y avais des choses beaucoup importante, et bien oui, il est revenus !C'est débile, ce sentiment de joie énorme, de soulagement, se sentir de nouveau vivant. C'est débile. On sais exactement ce qu'il va ce passer après, 3 secondes. 3 secondes et c'est finis, encore,toujours. Pourquoi se prendre la tête ? C'est dans notre nature, c'est chiant, OK. Mais c'est dans notre nature. Mais moi j'ai beau l'aimer, 3 secondes et tout est finis. Il ne faut pas se morfondre sur sois même, on en verra d'autre, mais des fois se morfondre on en a besoin, se dire que tout les malheurs de la Terre sont sur nous ça nous fait du bien, être exécrable avec tout le monde pour leur montrer ce que ça fait. Crier sur tout ce qui bouge et ce qui bouge pas.Manger, encore, encore, encore ... Regarder dehors et ne pas bouger,même si on a froid, c'est pas grave, qu'es ce qu'un rhume après tout ? Avec tout ce qu'on traverse ... Juste pour pleurer, juste pour se faire du mal. Pleure ça fait du bien, ça expulse tout, quelque fois ...Et puis rester là, à regarder le vide pour ce dire qu'enfaîte si on a craquer c'est qu'on à été fort jusque là et que maintenant on a plus rien à donner, qu'on dois se régénérer un peu ... Et puis recommencer.

Tomber amoureuse de Louis à été la pire de mes erreurs, et Dieu c'est combien j'en ai fait.

Je sort de ma tente en toile de lin en frottant mes yeux rougis. Aujourd'hui c'est l'attaque. Aujourd'hui je vais venger ma famille.

Le camp s'active, on dirai une grosse fourmilière en ébullition. Mine de rien le camp est immense, nous sommes plus de mille sans compter les enfants et les adultes incapable de se battre. Il est diviser en trois sorte de quartiers : Cuisines, infirmerie, et lieux d'habitation. Quelques personnes ont choisis de se construire une maison en dur alors que d'autre sont rester à la tente. Aujourd'hui le temps est pluvieux et mes bottes s'enfonce dans le boue. Quelques camarades s'arrête pour me saluer. L'asseau est prévus à 16 heures cet après-midi, je sais également que je me trouver dans les dernière ligne avec Harry et Kylie mais aussi Louis.

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"A L'ASSEAU !!!!!"

Du sang encore et encore. Les soldats de la reine sont plus nombreux que nous mais n'on pas notre rage de vaincre, de renverser cette monarchie.

J'ai appris à me battre depuis que je suis arriver dans le camp. Ma lame tranche aussi facilement que dans du beurre tout ce qui s'oppose à mon passage. Je peu apercevoir dans mon champ de vision Kylie se battre avec presque autant de rage que moi. Nos troupes atteignent rapidement les portes plus l'intérieur du château. Je suis dans la salle du trône et je la voix enfin, assise sur son trône comme si rien ne ce passais à l'extérieur. Je suis rejointe par Louis ... Malgré tout je suis rassurer de sa présence à mes coter.

"-Gabrielle ... sa voix est doucereuse, venimeuse. Qu'elle joie de te revoir. Tu es aussi jolie que dans mes souvenirs. Je te pensais morte."

Elle se lève et fit un pas en avant, je monte ma garde devant moi.

"-Ça ne m'aurais pas déplus à vrai dire. Tu es vraiment un plaie. Ton oncle aurait eu honte de toi, tout comme ton père.

-Tu n'as pas le droit de parler de ma famille sorcière.

-Je suis le Reine ici, pas toi ma chère enfant. elle me sourit. Je dois avouer que ta mort ma réjouis, jusqu'à ce que j'apprenne que tu était toujours vivante. Ça ma mis hors de moi. Mais maintenant que tu es là je vais pouvoir mettre fin à mes traquas.

-Dans tes rêves. Je vais te tuer et tu ne ferras plus de mal à personne !"

Elle se mis soudain à rire en avançant vers nous, elle pris entre ses doigts une épée en fer blanc et retira sa cape écarlate. Elle sais donc se battre ...

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Tout c'est passé si vite que je n'est pas pus réagir, Louis s'est posté devant moi lors d'un asseau que je n'aurais pas pus contrer. La lame à traverser sa cote de maille avec une faciliter déconcertante. Il s'est effondré dans un bruit de métal. Je suis rester béate une seconde puis je l'ai sentie, cette douleur mêlée à cette rage. Mon cœur c'est briser en même que ses cotes. La colère à pris le dessus sur tout mes émotions et je me suis jeter sur la reine en hurlant. Je l'ai tuer sans pitié, la vengeance et la rage était trop forte. Tuer ma famille n'étais pas assez pour elle, elle avais du le tuer lui aussi. Je lâche mon arme pour me précipité vers Louis.

"-Louis ! Louis je t'en supplie ...! les larmes dévalent sur mes joues et la douleur reprend sa place au creux de ma poitrine. Louis ... Louis je t'aime ! Pitié ... A L'AIDE !!

-Gab' ... Gaby, regarde moi ..."

Mon regard rencontre le sien, ma vus est brouiller par mes larmes de désespoir.

"-Ne pleure pas Gabrielle ... Tu es si belle ... il me sourit. Je t'aime Gaby. Tu ferras une fabuleuse reine ... Je t'ai..me ..

-Louis ? Louis ! Louis non !"

Je le secoue, hurle, pleure, en vain. Il est mort.

Mes doigts dégage quelques une de ses mèches qui barre son front et ferme ses yeux océan ... Mes lèvres se déposent sur les siennes.

"-Je t'aime ..."

On dit que les contes de fées finissent toujours bien. Il ne faut pas croire tout ce qu'on nous dit. Ça nous détruit.

Voila pour cet imagine ! J'espère qu'il vous aura plu ! Bisous tout le monde.

#Lisa