Chapitre IX

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Je vous conseille de mettre la musique lorsqu'Ekhö et Adhira quittent le self. À vous de voir après. Je préfère prévenir la présence de vocabulaire plutôt vulgaire durant ce chapitre ci, car Ekhö est plutôt de... mauvaise humeur. Et croyais-moi, elle est pas très belle dans ces moments là.

Chapitre IX

''Je rêve ou elle c'est allongée sur la table juste pour me tenir le crâne ?''

EKHÖ

Bien évidemment, il fallait que ma nuit me rattrape durant le cours de monsieur Lafrèce, je sentis mes forces m'abandonnaient peu à peu... et ma tête s'écroula avec fracas sur ma table. Un objet vola en ma direction et me tapa violemment le crâne. Je me relevais aussi tôt et observa M. Lafrèce en position de tire, prêt à me lancer une nouvelle gomme.

''Mais vous êtes un grand malade !'' m'exclamais-je.

''Vous daignez enfin participer... dommage que ce ne soit pas pour répondre à la question.'' me lança t-il un regard plein de mépris.

Mais c'est quoi son problème à ce clown !? Je tentai de reprendre mon calme, surtout ne pas sortir les crocs, surtout ne pas montrer les yeux ! Adhira c'est dur ! Mais cet abrutit n'est vraiment pas là pour le bon jour.

Je me levai de mon siège et partit jusqu'au tableau, où de nombreux problèmes étaient inscrit, les uns après les autres, je les résolvais sans aucune expression puis reposa le marqueur et me retourna vers l'instituteur.

''Je peux retourner à ma sieste...'' rétorquais-je d'un sourire mauvais.

Il resta simplement hébété face à mes prodigieux résultats. Oui je sais, l'attardée en évolution ce trouve être une grosse tête... ça choque pas vrai ? Un sourire hautain collé aux lèvres, je retournai à ma place totalement requinquer par sa mine déconfite.

''Un problème monsieur ?'' je demandais alors pour affluer sur sa colère.

''Aucun mademoiselle Derrys.'' tenta t-il de ce reprendre le plus sévèrement.

C'est vrai que son physique lui-même apportait le respect, une carrure d'athlète, un visage jeune mais autoritaire, des cheveux noir noués en une queue de cheval strict et des yeux brun encadré de lunettes ébène. Ça doit faire mal à l'égo de ce faire recaler par une gosse,, me moquais-je silencieusement de l'homme de la trentaine. Je n'étais pas de nature si méchante mais entre nous, Qu'est-ce que ça peut faire du bien !

Le reste du cours ce passa silencieusement, nous nous jetions juste des regard méprisant par-ci par-là mais franchement rien de bien méchant, lorsque la sonnerie retentit, je ne pue m'empêcher de rajouter en rangeant mes affaires:

''Merci pour ce cours culturel M. Lafrèce.'' dis-je d'une voix sarcastique.

Il me répondit d'un regard noir alors que je quittai la salle. Je pouffai de rire en revoyant son visage ce décomposé de la sorte, j'a-do-re ce prof !

''C'était quoi ça ?''me demanda le lycéen en me stoppant et bloquant mon visage de son index et son pouce afin de me scruter, lui d'habitude si jovial, affichait une mine dur.

''Je te rappelle que j'étais en interna en Angleterre... et puis pourquoi tu réagis comme ça Willes ?'' demandais-je en repoussant sa main.

''Parce que tes yeux...non oublie...'' ce résigna t-il étrangement.

''Willes ? T'es au courant que lui c'est Wills ?'' souleva son ami.

FDR: Ici, Willes ce prononce « Wilesse » c'est pourquoi tout le monde pense à une faute de prononciation de la part de Ekhö qui est... maladroite ?

When You Come To CirclyCicesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant