Chapitre 2

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-"Parfait Eva encore un pas. Voilà aller on baisse pas les bras s'est parfait ça. Pense que tu rentre chez toi ce soir." M'encourage mon kinésithérapeute.

Cela fait maintenant un mois et demi que je suis sortie du coma. Je marche difficilement mais j'arrive quand même à faire quelque pas solo. Ma mémoire n'est toujours pas revenu malgré les exercices du psychaitre. Je sors ce soir de l'hopital. Le docteur pense que le fait de reprendre certaine habitude de ma vie d'avant va peut etre m'aider a retrouver la mémoire.

-"J'en peux plus il faut que je m'assois. C'est assez pour aujourd'hui Guillaume tu m'as epuisé."

Mon beau kinésithérapeute me regarde en me souriant. C'etait un bel homme. Il est blond avec les yeux bleus, une petite barbe bien taillé et une musculature de reve. J'avais craqué depuis la première fois que je l'avais vu entrant dans ma chambre.

-"Très bien Eva. De toute façon je ne quitte pas. On se voit demain chez toi. On a encore du boulot ensemble."

Je lui fais une grimace. Il sait que je n'aime pas ses exercice de musculation. Il me prends le bras et la taille pour m'aider à me rassoir sur mon fauteil roulant.

-"Voila la vieille est sur son fauteil." Se moqua t il.

-"Ah ah ah. Je suis morte de rire. J'ai l'impression que je sortirai jamais de ce fauteuil. J'en ai marre vraiment."

Il s'abaisse et me regarde dans les yeux. Ce qu'il est beau comme un dieu. Une larme coule sur ma joue. Il essuie et prends mon visage dans ses mains.

-"Allez courage princesse. Tu y es presQue et je ne te lacherai pas tant que tu ne sera pas marcher un marathon. Je sais que s'est difficile mais tu en es capable. J'en suis sure."

Je souris mais je ne suis pas convaincu de ce qu'il vient de me dire. Cela fait maintenant un mois que je me force à marcher et je n'arrive à presque rien.

-"Si tu le dis." Dis je nonchalante.

-" Biensure que je te le dis et je te le promets en plus."

On se regarde dans les yeux, il caresse ma joue avec son pouce. Je regarde ses levres et je n'ai qu'une envie de les embrasser. Je peux voir dans ses yeux le meme desir.

-"Allez je te ramène dans ta chambre ta mère ne va pas tarder à venir te chercher. On se voit demain de toute façon"

Il se relève et me pousse. Une fois arrivée à ma chambre ma mère m'attendait deja le sourire aux levres. Elle avait fait mon sac.

-"Voila Eva je te dis à demain."

-"Oui à demain Guillaume salut. "

Il me laissa sur le seuil de la porte. Il me sourit de toute ses belles dents et me caresse la joue. Il fit un signe de tete à ma mère et partit.

-"Quel beau jeune homme. Vous avez l'air de bien vous entendre." Me dit ma mère en me faisant un clin d'oeil.

-"Arrête maman tu me tape la honte. Allez on y va." Dis je en rougissant.

Elle prit mon sac et me le mit sur les jambes. Je regardais une derniere fois cette chambre ou j'avais passé 6 ans de ma vie.

Nous arrivames à la voiture, ma mère m'aida à me lever et je m'assis sur la banquette arrière de la voiture.

-"Allez chauffeur à la maison s'il vous plait. DepuiS le temps Que j'aurai du rentrer."

Ma mère demarra et nous entamerent la route de la maison. Je regardais par le carreau mais ne reconnaissait rien du tout. En meme temps je ne me souviens pas cette ville Strasbourg pour moi j'y es vecue que quelques mois. Je me souviens plus de Paris lorsque j'y vivais avec ma mère et mon père.

Une vie oubliéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant