In The Closet [ Michael Jackson ]

19.

       

Michael's P.O.V.

Je venais de flanquer une petite raclée à cette ordure. Ce n'était qu'un gamin, et je n'aimais vraiment pas employer la violence. Mais là ? Il avait dépassé les limites.

J'avais reçu un appel d'Anna, et en répondant, je l'avais entendu crier et pleurer. Elle suppliait à cette saleté d'arrêter. Je savais que quelque chose n'allait pas, alors j'ai courus jusqu'ici le plus vite possible.

Après avoir refermé la porte, je partis dans le salon pour la chercher du regard. L'entente de ses sanglots me la fit découvrir recroquevillait dans un coin de la pièce, tremblante. Je retirais rapidement la veste que j'avais sur mon dos et m'approchai d'elle pour la lui poser sur les épaules.

Elle sursauta, relevant le visage pour me regarder. Ses magnifiques yeux bruns étaient pleins de larmes. Comment osait-il la faire pleurer ainsi ? Mon cœur se serrait tellement à cette vision. Je glissai mes mains sur ses joues pour essuyer les nombreuses gouttes qui coulaient sur celles-ci puis vins la serrer tendrement contre moi, en douceur.

-          Il est parti maintenant. Je suis là, plus personne ne te fera de mal, murmurai-je à son oreille tout en caressant ses cheveux.

Je l'entendis alors sangloter de nouveau alors qu'elle glissait ses bras autour de mes épaules pour me serrer contre elle. Se son me brisait le cœur, je n'aimais pas l'entendre ou la voir pleurer, elle qui était d'habitude si joyeuse.

-          J'ai eu tellement peur, Michael... gémit-elle dans mon cou d'une petite voix tremblante.

J'hochai simplement la tête, puis la redressai lentement. Elle passa ses bras dans la veste que je lui avais prêtée, avant de fermer la fermeture de celle-ci en reniflant. Puis je l'amenai sur le canapé afin qu'elle s'y assoit et se calme tranquillement. Je la gardais dans mes bras, la laissant pleurer sur mon épaule.

Jusqu'à ce qu'elle se calme, et je passai de nouveau ma main sur ses joues pour sécher ses larmes.

-          Il faut que tu enfile un haut ma belle.

Elle hocha la tête et me prit la main. Elle voulait que je l'accompagne ? Je me levai donc pour l'accompagner à l'étage. Elle était encore toute tremblante, alors j'exerçai une légère pression sur sa main pour tenter de la rassurer un peu. Une fois dans sa chambre, elle attrapa ses affaires, mais ses mains tremblotaient tellement qu'elle avait du mal à s'habiller.

Je m'approchai donc pour l'aider à retirer ma veste, puis à lui mettre un soutien-gorge en douceur que j'agrafai dans son dos. J'essayais d'être le plus doux possible pour ne pas la secouer trop. Enfin, je lui passai un haut sur la tête pour l'habiller complètement. Et elle remit malgré tout ma veste sur ses épaules et s'assit sur son lit. Je vins me poser à côté d'elle, caressant délicatement son dos.

-          Tu vas mieux ? demandai-je calmement.

-          O-oui, répondit-elle en hochant timidement la tête. Merci de m'avoir aidé Michael...

-          J'ai reçu ton appel, alors j'ai couru jusqu'ici. Il ne t'a pas mal touché au moins ?

-          N-non, juste... Arraché mes vêtements...

Ses yeux devinrent à nouveaux humides, et je décidai de ne plus parler. Je ne voulais pas qu'elle pleure de nouveau. Je vins la serrer contre moi en passant mon bras autour de son épaule, caressant son épaule d'un geste rassurant.

-          Je suis là... chuchotai-je, déposant un baiser sur son front.

Je l'entendis renifler puis encercler ma taille. Elle était comme une enfant, toute fragile. J'avais ce besoin de la réconforter, de la sentir bien contre moi. Elle ne méritait pas ce genre de traitement. Anna était comme une fleur délicate à mes yeux. Je lui avais pourtant dis de faire attention, après la gifle j'avais eu beaucoup de mal à accepter leur relation. Maintenant, c'était sûr, elle ne pouvait plus retourner dans ses bras à lui.

Elle devait rester dans les miens.

                Après de longues minutes à la bercer, j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir. Anna se leva d'un coup et descendit en trombe les escaliers. Je la suivis plus calmement, pour la voir sauter dans les bras de son père.

-          Houla... Qu'est-ce qu'il s'est passé ici ? Qu'est-ce que tu fais là Michael ?

Aaron remarqua rapidement l'état de sa fille et mon air à la fois sérieux et triste. Je pris un profonde inspiration avant de commencer à parler.

-          Eh bien... Oliver et venu aujourd'hui et... Pour faire simple, il a tenté de violer Anna, expliquai-je en baissant les yeux.

-          Quoi ? s'étonna-t-il en faisant les gros yeux.

-          Je vais bien papa, Michael était là...

Il était à la fois perdu et confu. Je lui expliquai plus en détails les choses avec l'aide d'Anna. Elle semblait rassurée, plus à l'aise maintenant, et me prenait souvent la main pendant ses explications. Aaron était abasourdi par cette histoire.

-          Oh mon Dieu... Et dire que... J'ai sollicité votre relation... bégaya-t-il, les larmes aux yeux.

Il leva les yeux pour croiser mon regard et me tendit la main, que je serrais en lui souriant sincèrement.

-          Merci d'avoir été là pour elle Michael. Je... Je te remercierai jamais assez pour ça...

-          C'est normal, je pouvais pas la laisser comme ça.

Il hocha simplement la tête, puis m'annonça qu'il allait appeler Natalie pour qu'elle rentre rapidement. De mon côté, je me tournai vers Anna qui était restée proche de moi.

-          Je vais rentrer, d'accord ?

-          Quoi ? Déjà ? Non, reste... murmura-t-elle en attrapant mon bras.

Je l'observai un moment, avant de lui sourire en douceur et de lui caresser la joue.

-          Je ne peux pas. Demain je peux venir si tu veux. Ça te vas ?

Elle hésita, puis finit par hocher la tête en souriant timidement. Je lui embrassai le front et saluai Aaron rapidement avant de sortir pour rentrer chez moi.

Oui, je devais protéger Anna. La garder près de moi. Je devais la savoir en sécurité, voilà tout.

*

Ouloulou Michael en mode garde du corps. IL VA METTRE DES COUPS DE BOULES A TOUS LES MECS. ZBEB ZBEB
Mais on est déjà au chapitre 19 la slsjqkaksklalakaa ermahgerd

❣️ L.O.V.E. ❣️