In The Closet [ Michael Jackson ]

25.

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Nous étions sortis de la piscine après avoir joué un moment. Jusqu'à ce que j'éternus plusieurs fois, causant l'inquiétude de Michael. Il m'avait carrément forcée à sortir de la piscine parce qu'il ne voulait pas que j'attrape froid. Mais je tombais rarement malade. J'avais beau le lui répéter, il s'en fichait, alors que j'adorais jouer dans la piscine.

Du coup, je m'étais mise faire à manger dans sa cuisine pendant qu'il était partit se changer. Je ne cuisinais pas beaucoup, mais je savais faire deux trois plats avec ce que j'avais sous la main. Et ce midi là, j'avais décidé de faire cuire des pâtes simples.

J'entendis quelques minutes après Michael revenir de la sale de bain, un t-shirt blanc col-v sur le dos ainsi qu'un short en bas. Il s'avança dans mon dos, glissant ses bras autour de ma taille et son visage dans mon cou où il s'amusa à déposer des petits baisers. Je pus remarquer qu'il avait laissé ses bras tel quel, à l'air libre et sans maquillage. Une douce chaleur naquit dans mon cœur à cette vue. Il avait confiance en moi, il ne se cachait plus, il se sentait en sécurité à mes côtés. C'est comme ça que je le prenais.

- Pourquoi tu souris ? me demanda-t-il alors qu'il faisait de même contre ma nuque.

- Parce que je suis contente, c'est tout.

- Contente ?

- Oui. D'être avec toi, comme ça, j'aime bien, répondis-je alors que mon sourire s'agrandissait.

Un rire mélodieux s'échappa de ses lèvres, à m'en donner la chaire de poule. Son rire, ou même sa voix, étaient une douce mélodie à mes oreilles. Il n'y avait rien de plus agréable que la voix de Michael. Et son rire était particulièrement contagieux.

J'essorai rapidement les pâtes avant qu'il ne me tourne vers lui pour pouvoir m'embrasser. J'y répondais avec ferveur, entourant sa nuque de mes bras pour l'avoir contre moi. Et le baiser devint rapidement fiévreux. Alors je m'écartai en ricanant, tandis que ses lèvres décidèrent d'attaquer ma joue, jusqu'à descendre petit à petit dans mon cou à l'aide de milliers de baisers papillons.

- Michaeeel ! Les pâtes, protestai-je en ricanant face à son engouement.

- Je préfère te manger toi, toute crue ! repondit-il avec amusement.

Il souleva mes hanches et me posa sur le comptoir de la cuisine sans cesser de m'embrasser. Je le laissai faire, je n'avais pas la force de protester. Ou plutôt, je ne voulais pas protester. Il retira mon haut, me laissant malgré tout mon haut de maillot de bain qui n'était pas tout à fait sec.

Il me fixa alors en fronçant les sourcils pour avoir l'air faussement énervé.

- Tu vas attraper froid si tu gardes des vêtements mouillés sur toi, Anna. Je ferais mieux d'enlever tout çaaaa...

Je m'empêchai de rire en me mordant la lèvre inférieure. Il arrivait à faire de l'humour dans n'importe quelle situation, décidément.

Et sans plus tarder, il défit les nœuds de mon maillot pour le retirer aisément. Ses yeux s'attardèrent un instant sur les parties de mon corps dénudés, avant de croiser de nouveau mon regard. Mes joues s'étaient mises à chauffer. Même si j'avais l'habitude de son regard sur moi, c'était toujours un peu intimidant. Il avait l'air d'un prédateur, ce qui le rendait particulièrement sexy, je ne pouvais pas le nier.

Michael revint écraser ses lèvres contre les miennes, tout en empoignant allégrement ma poitrine sans hésitation. Un gémissement s'échappa de ma gorge, comme ça m'arrivait souvent quand il posait ses mains sur ma peau sensible. Puis celles-ci descendirent lentement jusqu'à mon bas, qu'il fit descendre en vitesse. Je l'aidai en relevant légèrement mon bassin du comptoir, et je remarquai rapidement qu'il avait retiré mon bas de maillot de bain avec.