In The Closet [ Michael Jackson ]

29.

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Michael's P.O.V.

Quelque chose me chatouillait le torse, me forçant à me réveiller. Qu'est-ce qui pouvait bien me sortir de mon sommeil comme ça. J'étais prêt à gronder, avant de voir que ce n'était tout autre qu'Anna, penchait au dessus de moi, en train de m'embrasser le torse. L'idée de m'énerver s'évapora rapidement à cette vue.

- Et bien, quel réveil, dis-je d'une voix encore enrouée.

Elle ne répondit rien, ni ne me regarda, mais sourit simplement à mes paroles. Je ne pus m'empêcher de sourire à mon tour et fermai de nouveau les yeux pour profiter de cet accueil chaleureux. Je sentais ses lèvres brulantes embrasser mon torse, et descendre de plus en plus bas. Alors tout de suite, je rouvris les yeux pour voir où elle allait. La couverture descendait petit à petit de mon corps nu, le dévoilant à ses yeux.

Elle m'observait de son sourire espiègle qui me disait tout.

- T'en as pas eu assez hier ? ironisai-je en la voyant faire.

- Jamais avec toi, répondit-elle tout en gloussant.

Et je sentais son souffle chaud descendre encore et encore, jusqu'entre mes jambes. Je fus d'abord surpris. Elle n'avait jamais été aussi entreprenante jusque là. Je faisais souvent le premier pas.

C'est alors qu'elle posa un baiser, très léger, sur la naissance de mon pubis. Ce simple geste envoya une décharge de frisson dans tout mon corps et je reposai ma tête sur l'oreiller, fermant les yeux. Et ses baisers tracèrent la ligne de ma virilité, le sentant petit à petit durcir sous son souffle brûlant.

Et à mon grand étonnement, je sentis ses lèvres entourer le bout de ma verge. Cette chaleur se répandit jusqu'à mon cœur, et un plaisir intense m'envahit alors qu'elle descendait ses lèvres un peu plus bas sur mon sexe. Et elle se mit petit à petit à le sucer, lentement, me faisant pousser des soupires de plaisir involontaires.

Je finis par ouvrir les yeux pour imprimer cette image dans un coin de ma tète. Ma main glissa sur sa joue pour la caresser, jusque dans sa chevelure légèrement ébouriffé.

- Fait attention avec tes dents bébé... soufflai-je simplement.

Elle acquiesça lentement et ouvrit plus grand la bouche pour accueillir un peu plus de ma longueur qui commençait à grossir et à grandir dans sa bouche. Sa langue était brulante autour de ma verge, et je regardais son visage monter et redescendre sur celle-ci. Le plaisir était encore plus intense en la regardant faire.

Ses fins doigts se mirent à masser mes bourses, me faisant presque perdre la tête. Je rejetais la tête sur mon coussin en gémissant, jusqu'à ce qu'elle libère mon membre de ses lèvres. Elle le lécha de tout son long, puis suçota le gland avant de glisser son pouce sous la base de mon membre, le long de ma veine sensible jusqu'à caresser le bout désormais humide avec celui-ci. Ce simple geste m'arracha un long gémissement, le plaisir me donnait presque la chair de poule tant c'était bon.

Mais la chaleur de son corps disparu, et j'ouvris les yeux pour la chercher du regard. Elle n'était plus dans le lit. Je la vis se diriger lentement jusque dans la salle de bain. Et moi, j'étais là, sur les draps, dur comme un roque. Je me mordis la lèvre inférieure et finis par descendre lentement pour la rejoindre, entendant un bruit d'eau.

Elle était sous la douche, nue, laissant l'eau couler sur son corps. Dieu, cette fille était une vrai Déesse. Si belle, si... Parfaite. J'observai un instant ses courbes à travers la vitre de verre, son corps onduler sous l'eau. Vraiment parfaite. C'est alors qu'elle se tourna pour m'apercevoir, et elle s'adossa au mur de la douche, les bras dans le dos. Elle m'attendait. Oui, c'était sûr, son regard disait tout.