Chapitre 22

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Il l'emporta avec lui dans une pièce tamisée par une belle cheminé factice à LED, elle poussa une souffle d'admiration tandis qu'il lui tenait la main.

- Cette pièce est le seul endroit où je me sens bien, j'aime y venir pour réfléchir. Expliqua l'homme en lâchant sa main.

Émerveillée voir captivée, elle s'approcha de la cheminé où des fausses flammes y dansaient, elle s'agenouilla en souriant.

- C'est magnifique !

Il s'agenouilla à son tour, elle se mordilla la lèvre.

- Pourquoi... murmura-t-il en la dévisageant pensivement.

Frida fronça des sourcils.

- Pourquoi quoi ?

Silencieusement il glissa ses doigts dans ses cheveux.

- Pourquoi je ressens le besoins de vous avoir avec moi sans comprendre pourquoi.

Sa voix ne fut qu'un faible murmure dans lequel elle réussit à percer ses mots.

Frida humecta ses lèvres.

- Alors laissez-vous aller...

Il remua le bout de ses doigts dans ses cheveux.

Prise d'hardiesse, elle posa sa main contre sa joue et la caressa de son pouce.

- Vous me traiteriez d'idiote si je vous disiez que j'ai envie de vous aidez ?

Il arrêta ses mouvements dans ses cheveux et la fixa.

- M'aidez à quoi ?

Elle eut un faible sourire.

- À réapprendre à aimer...

Frida retira sa main, la laissa retomber et baissa la tête vers ses mains.

Elle ne désirait pas voir sa réaction.

Il releva son visage et captura ses lèvres, Frida hoqueta sous la surprise, il la fit basculer en arrière, il posa une main sur sa tête pour la déposer délicatement sur le tapis moelleux. Brûlante, elle glissa une main dans ses cheveux d'ébènes percevant un grondement d'excitation dans sa gorge. Elle tourna la tête pour qu'il quitte ses lèvres, il encercla son visage vivement surpris par son geste. Frida arqua sa tête en arrière à la recherche d'un lit.

- Que cherches-tu ? Dit-moi vite ! Gronda l'homme d'excitation.

Frida tourna sa tête vers la cheminé et vit en elle tout ce dont elle avait besoin pour que ce moment soit romantique.

- Rien continuez ! S'écria Frida de peur qu'il ne s'arrête.

Il captura de nouveau sa bouche écartant de ses mains bronzées ses bretelles. Il traça un sillon de baisers contre sa mâchoire, l'emportant dans un autre monde. Einar retira les pressions de sa robe, il plongea sa main à l'intérieur à la recherche de son soutien-gorge mais contre ses doigts, il n'y avait qu'une douce peau brûlante. Il releva la tête et comprit qu'elle n'en portait pas. Il étouffa un cri rauque sous l'effet de surprise de voir ses seins magnifiquement ronds.

Il les honora de douce caresse et retira complètement le reste du tissu ainsi que celui refermant son intimité.

Nue, les cheveux éparpillés sur le tapis, Einar n'avait besoin de rien d'autre pour sentir le plaisir exploser en lui sans même l'avoir posséder. Il ôta ses vêtements et revint sur elle, déposant une pluie de baisers sur sa peau douce, descendant jusqu'à son intimité excitée.

Il repensait aux paroles qu'elle lui avait dîtes comme une promesse.

Celle de lui réapprendre....

Il avait l'impression de ne plus savoir s'il connaissait bien l'amour.

L'innocente jeune femme se tenait prête à tenir sa promesse de l'aider et se cambra quand il vint en elle délicatement arrachant le voile qui jusque-là faisait d'elle la plus pure des innocentes. Il ne s'y était pas préparé, il toucha son visage inquiet, il se figea de peur de lui avoir fait du mal.

Elle avait les yeux grand ouvert la bouche entre ouverte l'invitant à continuer d'un simple mouvement de bassin. Einar passa son bras sur sa taille et sentit son corps vibrer d'une sensation si intense qu'il ne put réprimer un gémissement.

Frida n'avait jamais connu autant de sensation en un simple mouvement, elle avait l'impression qu'il possédait son corps entièrement. Son rythme lascive se transforma en une danse soutenu et frénétique, elle gémit contre ses lèvres quand il se pencha pour les capturer. Elle savourait la sensation intense qu'elle lui procurait jusqu'à voir ses muscles se gonfler davantage. Le viking était sur point d'exploser, il caressait son visage les dents serrées. Frida s'abandonna à la volupté et la violence de l'orgasme qui les avait assaillit tous les deux, au point qu'il laissait un cri rauque s'échapper de ses lèvres avant de s'écrouler sur elle, il roula sur son dos pour qu'elle soit blottie contre lui.

Frida trembla contre ses bras enroulés autour de sa taille, la sensation était si forte qu'elle sombra dans l'inconscience.


Dans les bras du souverainOù les histoires vivent. Découvrez maintenant