Chapitre 46

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N/A : Salut à tous ! Il y a une note VRAIMENT TRÈS IMPORTE à la fin de ce chapitre. Je demande à tout le monde de la lire. S'il vous plaît.

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Lorsque nous reprîmes forme humaine, sur le toit, je pu savourer l'expression de terreur qui avait prit place sur le visage du membre de l'Ordre. J'en tenais enfin un, et je n'étais pas déçu de l'effet que j'avais sur lui. Il était effrayé, terrorisé. C'était tellement évident que mon sourire doubla de volume.

J'avais envie de lui faire tellement de chose, de le faire souffrir comme ma tante avait du souffrir, pendant qu'elle se battait pour survivre. Le brûler vif ? Le frapper à mort ? Tant de moyens de le torturer me venaient en tête. Mais non.... Je ne pouvais pas. Pas du tout !

Une expression de colère vint remplacer mon sourire lorsque je réalisai que je ne pouvais pas le torturer. Pas au lycée. Ça prendrait du temps et ses cris seraient entendus par trop de monde... Des gens, des loups n'allaient pas tarder à débarquer sur le toit, en sentant l'odeur du sang... Non... Je ne pouvais pas le torturer là !

Je le lâchai en jurant et allai m'appuyer sur la rambarde en pierre. Je m'étais réjouie pour rien. Je ne pouvais même pas lui faire de mal.

"Je te déconseille..." grognai-je en le sentant bouger, "Tu seras mort avant d'avoir essayé."

Je me retournai vers lui et le vit avec un canif en mains. Il voulait vraiment essayer de me tuer ? J'étais tellement à cran que je le tuerai sans même le torturer. Ce serait dommage.

Il grogna doucement, sur ses gardes, et garda le couteau en mains. Il n'était plus sous l'effet de la surprise mais bien prêt à se défendre. Il devrait pourtant savoir qu'il ne pouvait rien faire contre moi, maintenant que ma force magique et physique avait atteint leur maturité première.

"Mais je ne compte pas te tuer. Pas tout de suite."

"Qu'est-ce que tu veux ? Abomination ! Tu ne devrais même-"

"Même pas exister et blablabla... Oui, je sais. J'entend ça depuis ma naissance."

Il grogna de nouveau mais je n'y fis pas attention, retirant le canif de sa main et le jetant dans le vide, grâce à la magie. Surprit, il recula de quelques pas.

"Tu es l'un des assassins de ma tante, n'est-ce pas ? L'un de ceux qui ont placé les bombes chez nous." ajoutai-je en voyant qu'il ne comprenait pas.

"Elle n'a jamais été la cible. C'est toi, qui aurait du mourir !"

"Elle en est quand même morte. Et je prends cette réponse pour un oui. Avec qui tu as fait ça ?"

"Quoi ?"

"Avec qui tu as travaillé sur ce plan ? Qui a installé les bombes ?!"

"Comme si j'allai te le dire."

Ma langue claqua, signe d'irritation, et j'avançai vers lui :

"Je n'ai pas le temps de jouer à ça ! Je sais que ta gentille petite fille a déjà appelé vos compagnons et moi-même, on me cherche. Réponds à ma question !" haussai-je le ton.

"Je n'ai rien à te dire. Mes compagnons te tueront."

"Mais bien sûr..."

Je lui donnai un coup de poing puissant en plein ventre, le faisant reculer de plusieurs pas. Il agrippa son estomac de ses deux mains et toussa.

"D'où celui-là vient, il y en a encore plein. Alors parles."

"No... non..." dit-il difficilement.

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