Chapitre dix - neuvième.

203 7 0
                                    

《J'ai l'impression d'être apprécié un minimum chez les verts et argents. Et je n'espère pas me tromper.》

Point de vue de Draco.

Pour des raisons que j'ignore moi-même j'essaye de lui venir en aide. La voir sourire que broyer du noir est beaucoup agréable sur son visage. De plus les verts et argents semblent à ma surprise l'apprécier. Ils ne vont jamais le dire mais je le remarque.
Malgré cela je ne pourrais dire la raison de ma proposition.

Rester dans l'ombre est mon but. Depuis la mort de mes parents je fais tous l'inverse des idéaux qu'on m'a inculqué depuis que je suis née.  J'ai l'impression d'être une nouvelle personne. Pas la meilleur au monde j'en ai conscience mais je suis ce que je veux et depuis que  longtemps opprimée dans ma poitrine que je laisse faner mon coeur.

Mes parents serait s'en doute contre le fait que je suis amie avec une Griffondors qui tout au plus serait contre qu'elle habite aux manoir. Mais celui-ci m'appartient de décider si je veux l'aider car elle n'a pas l'air d'aller aussi bien qu'elle le prétends.

Quand elle est avec nous, elle semble changé d'opinion sur nous mais aussi sur ses valeurs propres.

Elle semble changer de jours depuis qu'elle nous connais mais elle semble de plus en plus détesté par les autres. Je n'ai pas envie qu'elle le soit et qu'elle souffre de notre fautes. Surtout de la mienne car c'est moi qui l'aide quand elle en avait besoins cet semaine là quand personne ne s'est inquiété de son absence.

Si ces meilleurs amies se doutais que c'était moi qui l'avait sauvé ce jour là. Est-ce-que cela aurait pris une tournure différente. J'en doute en réalité. Ils ont tellement pas changé de vision depuis la guerre qu'ils ne voient pas que maintenant autour d'eux ça bouge et que les normes changent.

Tellement j'ai pris du recul je vois que les verts sont acceptés par les autres maisons. Sauf les rouges et ors. Trop concentré sur leurs propres visions.
Les choses doivent changé,  il est temps puisque nous avons évolué.

Tout en pensant, plutôt réfléchissant. J'ai rejoins Hermione dans notre salle commune pour les préfets. Elle semble pensive.

Moi : Tout va bien ? Dis-je doucement.

Hermione : Hum. Elle ne relève pas la tête et continue de fixer d'un air vague.

Hermione : Plus je vous côtoie, plus mes valeurs et mes manières d'être ont changé. Je change de plus en plus. Est-ce une mauvaise chose ? Demande-t-elle toujours ses yeux noisettes rivés sur le feu crépitant.

Moi : Ce n'est pas une mauvaise chose. Tu mûris. Ce qui n'est juste pas la cas d'autres. C'est malheureux à dire mais d'autres changent et d'autres non. Tu es quelqu'un de bien. Continue de devenir celle que tu veux être et tu vas resplendir plus que tu ne le fait déjà.

Elle relève, lui sourit sincèrement. Puis repose ses yeux sur le feu. Son cur battait légèrement plus vite qu'à sont habitude qu'elle se sent bizarre. Il avait sur trouver les mots la où il fallait. Cette attention l'a plus touché. Plus qu'elle n'aurait du.

Une après-guerre pleine de changementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant