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Einrich m'a donc raccompagner devant le dortoir. Une fois devant je me retourne et le regarde droit dans les yeux, on se sourit, je le vois qui rougit quelque peu, laissant  apparaître la douceur de son visage. Je le trouve très mignon comme ça...
" Auf wiedersehen, Fraulein*...
- Bis bald,Herr**..."
Après cet au revoir très formel,nous nous ne sommes pas quitté des yeux et nous n'avons pas bouger d'un millimétre.
Jusqu'à ce que la surveillante ouvre la porte, je me suis perdu dans la contemplation de ses yeux océans. Arracher en sursaut à mes pensées, je me retourne est rentre das le dortoir, je pivote pour le voir tourné le dos et redescendre,pour sûrement rejoindre ses appartement.
Je rentre donc dans le dortoir,je me dirige vers ma chambre. A l'entrée de la chambre, la surveillante me dit :
" J'ose espérer que ce petit jardin, vous permettra de réfléchir et de vous évader un peu.
- Merci, Madame...
- De rien, c'est tout à fait normal Mademoiselle Roy."
Une fois dans ma chambre, je me pose sûr mon lit. Il me restait environ une heure avant que Marie arrive,  je pris donc un livre et commence à lire. Je suis vite emporté par l'histoire.

Marie arrive dans ma chambre, environ une heure plus tard, elle arrive se pose sur mon lit et me dit:
" Je crois que j'ai fait une connerie...
- Qu'est-ce qu'il c'est passé ?
- J'ai voulu accroché une note près de la poste après avoir donner ta lettre... Sauf que j'avais légèrement oublié que j'étais accompagner d'un allemand et d'autre élève... Tu te rappelle de la blonde qui avait fait une remarque le jour où tu t'es dénoncé pour moi ?
- Mademoiselle Gaulier ? La petite fille pourri gâté ?
- Exactement... elle m'a vu avec la note à la main...
- Et qu'est ce qu'elle a fait?
- Pour l'instant rien...Mais justement je crains le pire... Elle me l'a juste pris des mains.
- Ce n'est rien, ça va s'arranger..."
J'ai essayé de rassurer Marie alors que moi même je n'était pas très confiante... Cette fille a l'air d'être une vraie garce, si elle a pas dénoncé Marie c'est sûrement qu'elle compte faire un sale coup...
Je pense que si elle fait du mal à Marie, je serai capable de devenir violente. Moi qui suis dans naturel paisible je deviens vite méchante quand on touche à ceux que j'aime, surtout depuis ce qui c'est passé à la ferme...

---------------------------------------------------------* Au revoir, Mademoiselle...
** À bientôt, Monsieur...

Journal D'une Résistante Où les histoires vivent. Découvrez maintenant