Les Secrets d'Hermione - Dramione By S [TERMINÉ]

Chapitre 27📚

Hermione : King Cross

Waw, quelle nuit.
Je ne veux plus jamais revivre ça, Daphné est complètement folle.
Ce matin, je suis devant la statue du Griffon doré.
- Jus de citrouille. Dis-je.
La statue tourna sur elle-même en montant peu à peu, découvrant un escalier, je le pris et montai dans le bureau du Professeur Dumbledore.
Il était de dos, en train de fouiller dans un petit coffre, posé sur son bureau.
- Entrez entrez. Dit-il toujours le nez dans son coffre.
Il avait une longue robe pourpre et un chapeau pointu de la même couleur.
Je m'approchai.
- Je suis venue vous rendre la cape d'invisibilité Monsieur. Dis-je en posant celle-ci sur le bureau.
- Merci beaucoup, oh Miss Granger, sais-tu que la plupart des écoles de sorcellerie du monde enseignent la magie blanche, sauf quelques-unes ?
- Oui, j'ai lu dans le livre que vous m'avez donnez, que l'école où Drago va aller enseigne la magie noire...
- C'est exact. Enseigne à Monsieur Malefoy, enseigne lui l'amour. Et avec l'amour il découvrira que la magie noire n'est pas une bonne chose pour les personnes que l'on aime. Et il se battra pour combattre la magie noire​. Il se battra contre sa famille, pour toi.
Sur ces mots, il me fit un sourire bien-veillant en me tendant un nouveau livre qu'il sorti de son coffre, je le pris et quittai son bureau.

Je retournai dans la salle commune et retrouvai Harry et Ron.
Nous rejoignons ensuite Hagrid, qui est, selon Harry, le seul adulte en qui nous pouvions avoir confiance.
- Hagrid ! Nous devons absolument vous parler ! C'est important ! Lui dit Harry alors que nous le rejoignons en courant.
- Je n'ai pas le temps ! Je dois absolument y aller ! Dit-il dans sa barbe.
- C'était Rogue ! C'est lui qui a jeté un sort pour faire tomber Harry ! Dis-je.
- Oui c'est vrai! On l'a vu ! Renchéri Ron.
- Vous dites des bêtises, pourquoi Rogue aurait jeté un sort au balais d'Harry ? Dit-il en grognant.
- Qui sait pourquoi il a essayé de passer devant le chien à trois tête le soir d'Halloween. Dit Harry.
- Qui vous a parlé de Touffu ? Nous dit-il les yeux ronds.
- Touffu ? Lui dit Ron les yeux rond.
- Cette chose à un nom ? Dis-je choquée.
- Oui il a un nom, c'est​ mon chien. Je l'ai acheté à un Irlandais que j'ai rencontré dans un pub l'an dernier. Je l'ai prêté à Dumbledore pour garder la...
Il interrompt sa phrase.
- Oui ? Lui dit Harry.
- Ah j'en ai trop dit. Ça suffit les questions. Ne me pose plus de questions. Il pointa son énorme doigt sur Harry. C'est top secret. D'accord ? Continua-t-il.
- Mais, Hagrid ! Rogue cherche à voler cette chose que garde Touffu. Enchaîna Harry.
- Ce sont des balivernes, Rogue est un Professeur de Poudlard voyons.
- Professeur de Poudlard ou pas, je sais ce que ça veut dire jeter un sort. J'ai tout lu la dessus. Il faut fixer la personne visée et Rogue n'a pas une seule fois cligné des yeux. Dis-je pour le persuader.
- Elle dit la vérité. Confirma Harry.
Hagrid poussa un long soupir.
- Écoutez-moi bien, tous les trois, vous vous mêlez de choses qui ne vous regardent absolument pas. C'est dangereux. Ce que garde ce chien c'est une affaire entre le Professeur Dumbledore et Nicolas Flammel.
- Nicolas Flammel ? Dit Harry.
- J'en ai trop dis. J'aurais pas dû dire ça... Oh j'aurais jamais dû dire ça.
Il s'éloigne en ralant dans sa barbe.
- Nicolas Flammel, qui est Nicolas Flammel ? Me dit Harry en espérant avoir la réponse.
- Je l'ignore. Dis-je.
Il était certain qu'il fallait maintenant découvrir qui était ce Nicolas Flammel.

*2 mois plus tard*

Je fais ma valise dans ma chambre.
Je suis tellement heureuse de retourner chez mes parents pour Noël.
Je regarde une dernière fois par la fenêtre avant de quitter la chambre, Hagrid était en train de tirer à lui seul un immense sapin qui faisait deux fois sa taille.
Je quittai le dortoir la gorge serrée.
J'arrive dans la Grande Salle, les fantômes chantaient des chants de Noël et le Professeur Flitwik faisait voler des boules de Noël sur sapin et les autres Professeurs décoraient la salle.
Harry et Ron étaient assis à une grande table en train de jouer aux échecs.
Je me dirige vers eux le coeur lourd.
- Cavalier en E5. Dit Harry.
Le pion se déplaca.
- Reine en E5. Dit Ron.
Le pion rouge se déplaca, retira un bout de son propre corps et focha la pièce blanche de Harry.
Ron sourit, l'air satisfait.
- C'est affreusement barbare ! Dis-je.
- C'est la version sorcier. Dit Ron. Je vois que tu as fais tes bagages.
- Je vois que tu ne les as pas fait. Répondais-je.
- Il y a eu un petit changement, mes parents ont décidé d'aller en Roumanie, pour voir mon frère Charlie, il étudie les dragons là-bas.
- Génial, tu vas pouvoir aider Harry il dois faire des recherches dans la bibliothèque, pour découvrir qui est Nicolas Flammel.
- On a déjà chercher dans des 100ène de livres ! Protesta Ron.
- Mais pas dans ceux de la réserve, passez un bon Noël !
Je quittai la salle, je détestais dire au revoir. La neige avait recouverte le château et son extérieur, c'était magnifique.
Je marchai en direction de la calèche qui nous conduit à la gare.
- Hermione ! Attends-moi !
C'était Drago.
Je l'ignorais depuis qu'il avait dit à Harry que nous sortions ensemble, j'ai dû l'Oublietter lui aussi.
Mais ça faisait déjà deux mois, je me demande maintenant si je peux enfin lui pardonner.
Il courrait derrière moi, traînant derrière lui sa grosse valise.
- Hermione... tu vas encore m'ignorer encore combien de temps ?
Je regardai autour de nous, il n'y avait personne.
Je lâchai ma valise et l'embrassai.
Sa valise tomba.
- Je suis tellement désolé. Me dit-il lorsque nous nous détachons.
- Et moi je suis désolée de t'en avoir voulu si longtemps...
Il voulu m'embrasser mais Pensy passa juste à côté de nous en frôlant Drago.
Comme pour dire "je vous surveille".
Nous prenons la diligence séparément.
En arrivant à la gare le Poudlard Express nous y attendais déjà. Je pris le train avec d'autre Gryffondor.

Nous arrivons à la gare de King Cross, mes parents m'y attendaient.
Je dis au revoir à Drago en lui promettant de lui écrire chaque semaines. J'avais envie de pleurer. Mais après qu'il ai rejoins ses parents, j'aperçu les miens qui attendaient de l'autre côté du mur et couru les rejoindre.
Ils m'avaient terriblement manqué.