Fairy Tail : Il faut sauver la magie.

Chapitre 30 : Hypnose

WOOOOOOOOH !

Qui vit dans un ananas dans la mer ?

Ne faites pas attention à mes délires, je suis actuellement shootée aux médicaments.

Non, je ne me drogue pas, je me suis juste fais opérer (rien de grave, calmez vous, je ne vais pas décédée d'un cancer ou quoi !)

Donc, je me suis dit (oui je me parle) que j'allais écrire un chapitre !

Mais quelle bonne idée ! #vivelesarcasme

Donc j'espère que ça va vous plaire !

Si oui, levez votre pied droit près de votre visage, que je vois à quel point vous êtes enthousiastes !

...

J'attends.

...

Et après c'est moi la droguée, franchement. Je vous rappelle que je peux pas vous voir là.

Par contre vous pouvez vous manifester en commentaire !

Sans plus tarder, voici le chapitre !

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PDV Levy

Devant moi, mon double à califourchon sur Gajeel.

Ce dernier semblait complètement hypnotisé par l'obake.

Ni une, ni deux, je m'élança vers eux, enragée, mais je ne pus faire trois mètres que je m'effondrais.

J'avais dû faire un effort surhumain pour me détacher et sortir de cette cave et j'arrivais désormais au bout de mes ressources.

J'étais vidée de ma magie et je perdais une importante quantité de sang.

-"Gajeel...", appellais-je faiblement.

Je me traînais, répandant mon sang sur la vieille moquette rosée du salon.

Le monstre me regardait me traîner au sol comme un enfant observerait un ver de terre ramper, fasciné.

-"Toi... laisse...le...", articulais-je difficilement.

Un sourire malsain prit place sur son visage et elle se releva doucement.

Ma vision commençais à se brouiller mais je repris vite mes esprits lorsque je sentis que le monstre m'avait prise par les cheveux.

Je ne pouvais même plus crier, mon corps était devenu si douloureux que je n'avais même plus la force de ressentir mes blessures.

Tout ce que je sentais, c'était mon sang chaud coulant de mon ventre.

Mon double me força à relever la tête, me faisant ainsi constater que Gajeel était désormais collé au mur du salon.

Soudain des chaînes, les mêmes que les miennes, sortirent du mur afin d'enchaîner le chasseur de dragons.

-"Veux-tu que je te dévoile un autre de mes petits secrets ?", me chuchota l'obake à l'oreille.

Je grogna et tenta de frapper l'horreur, sans succès.

Elle rit et continua :

-"Je vais prendre ça pour un oui ! Vois-tu, je peux aussi hypnotiser les gens mais cette capacité est limitée. Disons cinq à dix minutes selon les personnes, et je dois avouer que ton amoureux est particulièrement coriace !"