Fairy Tail : Il faut sauver la magie.

Chapitre 46 : La bête

No'resalu so keejo o'no!
Aruna i'kuja ne eneto!

Non c'est pas du jap, c'est du nengone XD

Déso pour le pétage de cable mais Nouvelle-Calédonie représente !

Ce pays c'est ma vie 😍

Enfin chuis pas là pour l'étaler donc sans plus attendre...

La suite !

⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙●⊙

PDV Lucy

La bataille faisait rage entre Natsu et le capitaine, Happy s'était réveillé entre temps et semblait désespéré en voyant mon état.

J'ai fait de mon mieux pour le rassurer comme j'ai pu mais mes quintes de toux ne semblaient pas le convaincre.

-"Lucy... Je vais t'aider ! Il faut qu'on s'éloigne et que je t'emmène à la cachette des garçons perdus !"

Le petit chat bleu s'agita autour de moi, tentant tant bien que mal de m'empêcher de sombrer dans les affres de l'inconscience.

-"Non Happy, je reste. Natsu a besoin de nous.", argumentais-je difficilement.

L'expression peinée de l'exceed me montrait qu'il partageait mon avis, mais malgré tout il protesta :

-"Non Lucy ! Il a besoin de savoir que tu es en sécurité, loin de lui et du capitaine ! Je sais que tu veux l'aider mais dans cet état tu-"

-"Happy !", haussais-je la voix.

Mon ami me regarda, les yeux ronds face à ma soudaine colère.

Je tentais de calmer les vertiges qui me tourmentaient, je pouvais entendre mon coeur battre mes tempes dans un vacarme assourdissant.

Je me forçait à respirer calmement.

-"Quelqu'un m'a dit... de rester auprès de Natsu... car il n'est jamais aussi fort que lorsqu'il protège ceux qu'il aime."

Je fis une courte pause, comme si chaque parole me demandait une énergie incommensurable.

-"Alors... Je reste près de lui. Il va avoir besoin de moi."

Soudain une gerbe de flamme explosa près de nous.

Mon attention se tourna de nouveau vers le combat entre E.N.D et Acnologia.

On pouvait entendre un rire sinistre et malsain émanant de la sphère qui englobait Crochet.

Des frissons me parcouraient le corps, je crois que cet homme hantera mes pires cauchemars.

En face, mon meilleur ami n'avait toujours rien dit.

Pas même un cri de guerre.

Pas un mot.

La même rage froide émanait de lui.

Ils n'avaient fait qu'échanger des coups simples mais destructeurs, ce qui faisait visiblement rire le capitaine.

-"Bien ! Assez joué ! Il est temps que je reprenne mon dû une bonne fois pour toute !", s'esclaffa ce dernier.

Un fou rire maniaque le prit, comme si la situation était d'une drôlerie que lui seul pouvait comprendre.

-"Alors, tout sera à moi ! Je serais l'unique souverain des contes ! Peut-être que ta mort fera comprendre à cette traînée qu'il n'y a pas moyen de m'échapper ?"