Chapitre 6.

112 10 2
                                    

⚠️🔞 Contient des passages violents. 🔞⚠️
🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸

Stéphanie

Maïra c'était enfin endormie. Paul n'était pas rentré, quel soulagement ! Mais en même temps, s'il n'était pas à la maison, il était certainement en train de boire ou avec une autre femme... Qui sait ? Épuisé je me dirigeais dans ma chambre pour m'allonger, a force de penser, je m'assoupis...

Une brûlure subite me révéilla. Je me rélevais le dos en feu. Paul se tenait debout à mes côtés muni d'une ceinture. Il venait de me frapper. Son regard horriblement haineux brillait dans le noir.

Paul- Bonsoir chérie... murmura-t-il d'une voix stable

Il me frappa encore et encore. Me débattant je m'enmêlai les pieds dans le draps et tomba par terre. Le sol froids contre ma peau me fit revenir à la réalité. Mes bras me brûlaient et mon dos aussi.

Paul- Relève toi ! Ça t'apprendra a avoir un amant, il va regretter d'être entré ici !

Amant ? Oh non... pas lui...

Pas Alex...

Moi- Ne lui fait pas de mal ! Lui suppliais-je Je t'en supplie... . Pas lui.

Il se baissa pour mieux me regarder. J'étais quant à moi recroquevillée au bord du lit, les bras entourant mes genoux. Il caressa ma joue de sa main libre et sourit... Les larmes me montèrent au yeux. S'il souriait c'est qu'il avait déjà agit, que le mal était déjà fait. Son regard, c'était le même que ce soir là... celui où il avait tabassé mon patron... ne lui laissant aucunes chances de s'en sortir... le même que lorsqu'il a incendié la maison d'un collègue... ou lorqu'il a égorgé le chien d'un voisin... un regard assassin.
Paul avait une âme d'acier. Il ne mesurait pas la gravité de ses actes et n'avait plus aucunes limites.

Paul- Tout ce que j'ai fait, c'est dans ton intérêt...

Moi- Tu lui as fait quoi Paul... réussis-je à murmurer entre deux sanglots qui se faisaient, eux, plus bruyants.

Il se releva et frappa l'armoire de toutes ses forces avec sa ceinture, lui laissant une marque profonde. Sa colère augmentait chaques secondes qui passaient. Les unes plus horribles que les autres.

Paul- Je lui ai donné tout ce qu'il méritait. Cracha-t-il et s'il a de la chance, il se réveillera avec quelques séquelles... se moqua-t-il

S'il a de la chance...

Quel genre de monstre est-il... Je hurlais, je criais, je pleurais... J'avais envie de m'enfuir, envie de partir loin... encore. La première fois, Paul m'avait retrouvé et m'avait battue tellement fort. Maïra n'avait que 6 ans... . Et nous revoilà, 10 ans après, dans une situation des plus horribles.

Paul faisait les cents pas en face de moi. Que voulait-il ?
Plus le temps de penser, il se rapprocha de moi et me tira sauvagement les cheveux pour me relever. Il me serra ensuite contre lui et me murmura.

Paul- La fête ne fait que commencer !

Une vague horrible de frissons me parcouru. Sans attendre il m'envoya sur le lit m'arrachant un cri de douleur. Il lâcha sa ceinture et monta à son tour. Il me retourna sur le ventre et s'assit à califourchon sur moi. Il fit glisser ses mains sous ma robe de nuit et retira ma culotte. Étant donné que mes cris étaient étouffés pas les draps et qu'il me maintenait en dessous de lui, mes chances de me détacher de lui étaient faibles... Il attrapa mes bras et me les attacha avec mon morceau de tissu. Il n'hésita pas à serrer fort pour me faire le plus mal possible et me retourna. Ma tête me faisait atrocement souffrir. Complètement soumise à ce monstre, je ne voulais plus y penser. Je fermai instinctivement les yeux mais les grincements du lits me ramenaient à la dure réalité. Il passa sa main sur mes cuisses pour arriver à leur intersection. Il s'amusait avec moi, je n'étais qu'un objet pour lui...
Une fois qu'il eu fini de jouer, il déchira ma robe qu'il envoya dans un coin de la pièce. Ensuite, il me caressa le corps et le couvrit de baisers. Il me mordait le cou et les bras. Chaque parcelle de mon corps étaient salies par ce Connard. Il descendit du lit... J'entendis un bruit de braguette signe qu'il avait enlevé son pantalon. Mon supplice n'était pas fini. Il remonta et me pénétra violemment. Cela continua encore et encore. Je priais pour qu'il arrête, pour que ça s'arrête...

Sous L'emprise De Mon PèreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant