Prologue

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Petit mot de l'auteur : bonjour, mes petits oursons à la guimauve ^^
Je suis vraiment désolée, pour ceux qui espéraient, que je publie la suite de l'une de mes autres histoires. Mais en voici une toute neuve, que j'espère vous plaire ^^
Et, n'hésitez surtout pas à voter, et me dire ce que vous en pensé ^^
Sur ce, bonne matinée/aprèm/soirée/nuit et bonne lecture mes oursons ^^

Kayla Evans, seize ans et demi, lycéenne émérite. Voilà, à quoi peut se résumer ma vie. Enfin. On pourrait rajouter des trucs mais, ils sont sans grandes importances. Après tout, c'est de moi que l'on parle. Je regarda - pour la énième fois en dix minutes - la pendule de la classe. Je soupira intérieurement. Cette heure, ne semblait pas vouloir se terminer. Déjà, que ce n'était pas ma matière préférée, mais, en plus, on avait contrôle, sur un truc, dont je ne comprenais absolument rien. Pourtant, ma feuille était retournée, entièrement remplie, de réponses exactes.

C'était un truc sympa, que j'avais développé, dans cette matière-là seulement. Malheureusement d'ailleurs, que ce soit que pour elle. Mais, je ne m'en plaindrais pas. Au-contraire même ! Ça m'arrangeait beaucoup. Les profs sont moins sur ton dos, lorsque tu donnes l'impression de faire ton maximum. Alors que, honnêtement, je me contrefichais complètement, de ce qu'on faisait en cours. Ça ne m'intéressait pas du tout à l'origine. Mais, au collège, on te fait tout un speech, pour te dire que, sans diplômes, y a pas de boulots.

Pourtant, on a beau avoir tout un tas de diplômes, on ne trouvera pas de travail. Mais, malgré tout, me voilà là, assise sur ce foutu tabouret, qui donne mal aux fesses. Je ramena une mèche de mes cheveux mauves, derrière mon oreille, après avoir quitté mes lunettes d'un orange foncé presque rouge. Je tourna la tête vers mon voisin, qui me regardait fixement, les joues rosies, depuis qu'on s'est rencontrés au collège. Toujours dans ma classe, ce garçon - malgré qu'il soit assez timide - est vraiment gentil. Je l'aime bien aussi. Il me regarda, avec un air paniqué.

Je lui offris ce même sourire doux, que je lui offre plusieurs fois par jours, depuis des années maintenant. Il rougit fortement, avant de baisser la tête. Je cacha ma bouche de ma main, en réprimant un léger rire. Ce garçon, je l'aime bien. Je connais ses sentiments pour moi mais, je ne peux que le voir, comme un petit-frère adorable et, affreusement timide. Je pris mes lunettes et, hésita à les ranger dans leur boîte. Ce n'était que des lunettes de repos de toutes façons. Je n'avais donc pas besoin, de les mette tout le temps.

Mais, je ne me faisais pas d'illusions. Ma mère était presque devenue aveugle. Enfin, avant son.... accident. J'avais de la chance, de pouvoir voir. Même si, ma vue était défaillante en fin de journée. Chose, que ma mère, avait commencé à avoir à mon âge, avant que sa vue ne diminue de plus en plus. Je soupira à nouveau intérieurement. Je regarda encore une fois la pendule, avant de me mettre à ranger mes affaires. Je remis mes lunettes, avant de m'attacher les cheveux. Ça allait bientôt sonner. Alors, je pouvais me permettre de le faire.

- Vous poserez vos copies sur mon bureau en sortant, fit la voix insupportable du prof.

Je me leva, au même moment, où la sonnerie retentit. En passant, je remarqua mon voisin se tendre. Je jeta un oeil sur sa feuille. Je souris, avant de lui montrer trois doigts. Il me remercia, en me faisant un regard adorateur, qui me fit lui sourire à nouveau. Je lui fis signe, avant de poser ma feuille sur le bureau de prof, puis de sortir de la salle. Direction mon casier, puis mon petit boulot et, je finirais certainement, par un petit tour à central parc. Rien que d'y penser, je me mise à sourire. Ce soir, les lucioles vont réapparaître.

Chaques années, on y allait avec ma mère et, toute la nuit, on regardait leur danse nuptiale fascinante. À partir du moment où les températures chutent, comme maintenant en se milieu d'automne, elles se pointes. Elles restent là deux semaines à trois, avant de se recacher et, de se montrer à nouveau, lorsque les températures augmentent à nouveau. Je fis la combinaison de mon casier, afin de reprendre les différentes affaires, dont j'allais avoir besoin pour le lendemain. Alors que j'allais ranger mes affaires dans mon sac, ce dernier fut balancé au sol.

Je préfère le violet [Tmnt fanfic]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant