Chapitre 5

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PDV Érin

Alors que j'étais en train de préparer une commande un groupe armé défonça la porte. À leur couleur je reconnu la police.
P- Les mains bien en vue, personne ne bouge!
Ils firent le tour du bar puis revinrent au centre. Un policier s'avança vers moi.
P- Où il est?
E- De qui?
P- Stan il est où ?
E- Je...je sais pas.
Le policier pointa son arme sur ma tempe.
P- Je te conseillerais de me dire la vérité ma jolie où je risquerais d'abîmer ton beau visage.
E- Je ne suis qu'une serveuse, je ne m'occupe pas de ses affaires.
P- Admettons que je te crois, tu sais qui pourrait savoir où il est?
E- Peut être l'un de ces gardes du corps. Si ils ne sont pas avec lui ils sont sûrement dans la pièce en face de son bureau.
Avant que le policier ne me réponde Stan fit irruption en compagnie de Jay par la porte arrière. En voyant les agents il s'immobilisa. Jay sorti son arme et la pointa sur les forces de l'ordre.

PDV Jay

Je me tenais aux côtés de Stan attendant qu'il réagisse. Il était piéger et moi avec. Les policiers nous encerclaient. Je ne pouvais intervenir sans gâcher ma couverture alors je garda mon arme braquer sur eux. Ils ne me connaissaient pas alors ils n'hésiterai pas à tirer ne sachant pas qu'ils menaçaient un flic infiltré. Antoine, ce lâche, était caché derière le comptoir attendant que ce sois fini. Érin, quand à elle, semblait réfléchir à un moyen pour s'en sortir. Puis tout alla très vite: un des policier s'avança,menaçant, alors Stan attrapa Érin  violament et lui colla son arme sur sa tempe. Je me força à ne pas réagir.
S- Si vous avançait je n'hésiterai pas à la buter. Reculez!
Le policier obéi.
S- Maintenant vous allez nous laisser partir! Et si vous nous suivez vous devrez vous armer de sac plastique pour ramasser tout les morceaux de sa cervelle. Et toi derière le comptoir suis nous aussi.
Antoine se leva hésitant, et s'approcha de nous. Stan me jeta Érin sans ménagement et attrapa Antoine. Puis on commença à reculer. J'essayais de ne pas serrer trop fort ma prise sur les poignets de ma coéquipière qui semblait inquiète. J'avais peur que mon arme sur sa tempe déraille ou que le coup parte tout seul. Alors que Stan détourna le regard je murmura à l'oreille de Érin: "Ne t'inquiète pas". Puis on se retrouva rapidement dehors. Stan se dirigea vers une ruelle et je le suivi. Il s'arrêta.
Il pointa son arme sur Antoine.
S- Bon il ne nous servent plus.
J- A...Attendez.
S- Non il nous ont vu c'est trop tard.
J- Mais de toutes manières les flics ont vu notre visage.
S- Dis moi Mathéo. C'était quoi la première règle?
J- Vous obéir même si ça me déplaît.
S- Exactement. Tu t'occupe de la fille moi je prends le barman.
Antoine- Attendez j'ai une info qui pourrait vous intéressez.
Mes yeux rencontrèrent ceux de Érin. Elle me lança un regard interrogatif, je lui répondit par un haussement d'épaules.
S- De quoi tu parles?
A- Les deux là, il nous pointa du doigt, c'est des policier infiltrés.

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