Chapitre 16

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PDV Jay

Le soleil qui passait par les volets entrouvert me réveilla. J'ouvrit les yeux et observai la pièce dans laquelle je me trouvais. Je tentais de me redresser mais quelques chose sur ma poitrine m'en empêcha. Je tournai la tête et vit Érin à mes côtés. Je ne pu m'empêcher de sourire en repensant à la nuit dernière. J'étais enfin comblé. Érin faisait maintenant parti de ma vie sentimentale et je ne pouvais m'en plaindre. Elle bougea légèrement. Je jetai un coup d'oeil . Elle était si belle même endormi. Ses cheveux châtains s'étalaient sur l'oreiller tel une traine derière la robe de mariée, ses traits étaient si détendu ce qui contrastait avec son air nerveux des dernières semaines. A chaque regard que je lui lancé j'avais envie de la prendre dans mes bras et j'étais content de savoir que dorénavant je pourrais le faire à ma guise.
Je me levai sans faire de bruit et quittai la chambre. J'hésitais à prendre une douche sachant que que je n'étais pas chez moi. Je pris la décision de la prendre quand même me dissant que Érin me préférerais plutôt propre que sale. 15 minutes plus tard je sortis de la douche, n'entendant toujours pas de bruit je me décidai à aller voir Érin. J'ouvrit doucement la porte, elle dormait encore. Je m'approchai silencieusement et m'assis à côté d'elle. D'une main je caressai tendrement sa joue, ne me lassant pas de contempler son visage. Enfin elle émergea doucement de son sommeil profond.
J- Bien dormi?
Elle me sourit.
E- Pas assez mais on fait avec. Et toi?
J- L'une de mes meilleurs nuits depuis longtemps.
E- Je suis heureuse de te l'entendre dire.
Je m'approchai d'elle et déposai un baiser sur sa joue.
E- Je n'ai le droit qu'à ça après la nuit que l'on a passé?
Elle me jeta un regard taquin.
J- Ne me tente pas. En parlant de hier je voulais juste que tu sache que ce n'était pas une fois comme ça. J'aimerai qu'entre nous ce soit du sérieux.
E- Ça tombe bien c'est exactement ce que je souhaite.
Ravi de sa réponse je l'embrassai tendrement.
E- Je préfère nettement ça.
Je lui sourit.
J- Il faut que j'y aille. Le travail m'attend.

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