Dans le train c'était le calme plat, j'avais le nez toujours écrasé contre la vitre : les gens devaient me regarder étrangement. Je filais à des années lumières de tout ce que je connaissais hier, du Berlin à fond dans les oreilles. Je vis ton visage de poupon dans ma vision périphérique se placer à côté du mien contre la vitre. Ton doigt se saisit d'un de mes écouteurs, le logeant dans ton oreille.
" Take my breath away..., as tu murmuré, intéressant ! Ça m'étonne que tu es écoutes ça."
- Heu, a vrai dire, c'est le mp3 de ma mère, ai-je répondu gêné.
- j'adore vraiment ta maman Roméo ! T'es tu exclamé avec ton extravagance habituelle.
- Moi aussi", ai je renchéri. Alors on a ri à voix basse tout les deux.
La suite du trajet à été source de différentes occupations, j'ai notamment dormi sur la banquette et ton épaule, j'ai même peut être bavé. J'ai lu par dessus ton épaule tout le long. " Les fleurs du mal" je comprenais pas tout, mais apparemment toi si, parce que t'avais les larmes aux yeux, et ça m'a drôlement touché.
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Roméo veut Jules
General FictionJules emmenageait cet été là à Ré Roméo habitait Ré Il avait des converses Rouges, Jules Et il n'aimait pas le café Parfois il suffit d'un rien Roméo est chamboulé Mais Jules aussi est bouleversé Shakespeare n'a qu'à bien se tenir. #1 en boyslov...
