Le désir. Quel sentiment incroyable, je ne pensais pas qu'il me pousserait jusque là.
Quand nos lèvres se sont rencontrées; tu n'as même pas eu l'air surpris, alors que moi si. Et pourtant c'était moi qui avait créé cette rencontre ! Mais c'était comme si je ne commandais pas mon corps. Dans mon ventre et dans ma tête c'était comme une explosion. Tu ne tremblais plus. Les yeux fermés tu as détaché tes lippes des miennes. Je ne voulais pas ouvrir les yeux, toi non plus je suppose parce que personne ne le fit avant un long moment. Ce fut moi le premier, et je ne me lasserai jamais de cette vision. Tes joues roses et tes lèvres entrouvertes.
Je m'empressais te renouer le contact avec cette bouche magnifique en glissant mes mains sur tes hanches. C'était plus fort que tout et je n'arrivais même plus à réfléchir. Ce fut un baiser langoureux, un ballet qui se joue à deux, une apogée de soirée comme dans les films. On s'est finalement séparés par manque d'air. Presque essoufflés, étonnés on s'est regardés.
J'arrivais enfin à lire au fond de tes yeux, la douceur et la passion jusque là retenues. C'était magnifique, je n'avais jamais vu ça dans les yeux de quelqu'un. L'envie, le désir. A mon encontre. Pour moi. Quelqu'un me désirait et par chance, c'était la personne que je désirais aussi. C'était peut être pour ça que j'avais réussi à lire ce regard jeté avec pourtant de timidité. Parce que nous ressentions la même chose à ce moment.
Tu t'es contenté de sourire en fixant le front nuageux qui descendait sur la mer. Emportant la lune et son halo avec lui.
On a pas toujours besoin de mots. De toute façon, mon corps avait tout dit.
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Roméo veut Jules
Ficção GeralJules emmenageait cet été là à Ré Roméo habitait Ré Il avait des converses Rouges, Jules Et il n'aimait pas le café Parfois il suffit d'un rien Roméo est chamboulé Mais Jules aussi est bouleversé Shakespeare n'a qu'à bien se tenir. #1 en boyslov...
