Chapitre 17

476 24 8
                                    

Un autre chapitre en si peu de temps, mon inspiration a bien travailler. J'ai remarquer que personne n'avait répondu à la proposition que j'ai faite sur le changement de Blavatsky mdrrrrr. Soit personne ne lit ce que j'écris en début de chapitre ou bien personne ne veut voir Gerard Butler en Blavatsky. Encore une fois, une révélation vous attend dans ce chapitre et encore plus de mystères.

N'oubliez pas, l'intrigue de l'histoire n'est pas l'identité du harceleur.

Sur ce, bonne lecteur!

______________________________________________________

-C'est bon mon équipement est en place, tu peux y aller quand tu es prête, dis-je à Adelia alors que nous assistions à l'avant dernière séance de sport.

Bientôt tout serait fini, plus d'escalade et plus de sport. Je n'avais jamais vraiment aimée ce sport, la première fois que j'avais escalader l'un des murs d'escalades, je m'étais retrouvée coincée au milieu de la montée. Je n'ai pas le vertige -enfin je crois- cependant, en pleine montée mes mains étaient devenues moites et c'était impossible pour moi de continuer ma route. C'était comme si mon corps entier était bloqué, même si je tendais une main sur une autre accroche, mes jambes ne suivaient plus. Heureusement, maintenant ce n'était plus pareil.

Je pouvais sentir la sueur coulée sur ma nuque, la journée était particulièrement chaude. Je voulais essuyer la sueur qui se formait sur mon front mais j'avais peur de faire un faux mouvement ou de rater quelque chose qui puisse faire tomber à tout moment Adelia. Je plissais les yeux pour garder la tête claire, après ce qui s'était passer hier, le sommeil ne m'était pas venu et quand il s'est abattu sur moi, il était horrible. Seuls des cauchemars ont peuplés mon esprit.

_________________________________________________________

J'essayais d'agir normalement alors que je revenais dans ma chambre, je devais appelée Steph! Sans hésitation, j'appelais celle-ci.

-Steph.

-Oui, je sais Malika, j'ai regardée l'information, fit-elle.

-Penses-tu que? dis-je n'osant pas continuer ma pensée.

-Tout est question de coincidence, mais pas là, je suis sure qu'il y a un rapport avec "J".

-Penses-tu que ce soit ma faute? demandais-je doucement.

-Le penses-tu, toi?

-En ce moment, je ne sais plus quoi penser, soupirais-je.

Je m'effondrais sur mon lit, j'étais vide, j'avais l'impression de n'avoir plus aucune force en moi. Je me massais le front, tout cela était inimaginable.

-Crois-tu qu'il a disparu à cause de moi?

-Pourquoi le ferait-il? répondit Steph, j'assumais qu'elle parlait de "J".

-Je ne sais pas, peut-être parce qu'il m'a vu parler avec J-Harold, me rattrapais-je.

Si mes parents surprenaient ma conversation, je ne voulais qu'il comprenne que je parlais du garçon disparu qui est passer à la télé.

-Pourtant ce n'est pas le seul garçon qui t'a parler tout au long de l'année, pointa Steph. Il y a Michael.

-Mais il n'était pas là quand Michael m'a demander d'être sa cavalière pour le bal de fin d'année.

-Bon point, mais crois-tu vraiment qu'il soit "J"? J'ai du mal à croire qu'il fasse ça sans se faire attraper.

-Je sais, mais tout le désigne.

Le regard dans le dosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant