Chapitre 34

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Ça fait si longtemps! Encore désolé du retard, je me suis faite entraîné dans la spirale nommée Star Wars et du ship Reylo, que j'aime énormément malgré la haine que le couple reçoit sur internet. Mais me revoilà et j'espère rester un moment. Les partiels arrivent à grand pas donc je dois rester concentrée la dessus pour enfin réussir mon année.

Ma vie est assez chargée en ce moment, j'ai repris le sport et je m'y attaque régulièrement. J'essaye aussi d'entretenir une routine skincare pour me sentir mieux dans ma peau. Donc, ouais, quelques petites choses se sont passées ces derniers temps mais je suis de retour ( pour vous jouer des mauvais tours)!

Je sais que beaucoup d'entre vous craignent que je n'abandonne l'histoire, ne craigniez rien, je n'abandonnerais pas l'histoire, pour rien au monde. J'avais simplement perdue un peu de mon ancienne inspiration mais elle est revenue et j'espère qu'elle restera là un bon moment. 

Merci encore pour les nombreux commentaires de fidèles lecteurs que j'ai reçue, ça m'a fait chaud au cœur! Donc sans plus attendre, voici la suite de l'histoire!

Précédemment: Bolgarov a des terreurs nocturnes et Malika a été témoin de cela. On en sait plus sur la mère de Bolgarov et on a eu un aperçu de sa vie de petit garçon. Je crois qu'on est tous d'accord pour dire que Dorofei Bolgarov est un sombre fils de p*** -pour être vulgaire-.

Voilà ou on en était!

Sur ce, bonne lecture!

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10 octobre.

"Cher journal,

Il est parfois difficile de le laisser me toucher, j'ai souvent peur mais je laisse trop la colère gouverner mes émotions. J'ai eu pitié de lui quand il m'a raconter son enfance, je suis trop sensible, c'est ma faiblesse. Pendant un moment j'avais oubliée à qui je parlais, cependant, son enfance traumatisante ne justifie pas ses actions d'adulte. Il reste un monstre. Je dois garder ça en tête, ce n'est pas trop difficile, même si son visage est beau, je vois toujours l'homme qui violente mon corps chaque nuit. Et il est horrible. Mais j'ai peur, je commence à me sentir à l'aise ici, je ne veux pas changer d'avis. Je ne veux pas avoir le Syndrome de Stockholm. Et vraiment, qui a nommer ce syndrome ainsi? "

J'arrêtais d'écrire en sentant une autre douleur traversée mon ventre, je gémissais, c'était horrible. La grossesse est tellement douloureuse, je sentais mes émotions fluctues. Des fois, tout allait bien, puis la minute d'après je sentais mes intestins se resserrés. La première fois que j'ai ressentie cette douleur j'avais paniquée, je pensais que quelque chose n'allait pas avec le bébé, je craignais avoir fait quelque chose qui aurait pu lui faire du mal. Alors que mes journées se traduisaient seulement à rester devant la télé ou sur un canapé confortable dans la bibliothèque. Donc j'avais pensée que mon corps rejetait d'une certaine manière le bébé et j'étais terrifiée. Mais rien de cela, Bolgarov ne m'avait pas vraiment aider au début puisque lui aussi avait paniqué. 

Cependant, il m'avait emmenée dans son "ancienne chambre" ou tout un tas de trucs médical m'attendait, c'était très étrange et perturbant. Il m'avait allongée sur son lit froid et encore une fois je m'étais retrouvée le ventre à l'air avec du gel. Cette fois-ci, la machine qui était face à lui avait un écran noir qui montrait l'embryon. Sur le coup je m'étais demandée pourquoi il n'avait pas utilisé cet engin pour voir l'embryon la première fois, mais je m'étais tus parce que mes émotions étaient à crans en ce moment. Alors avec beaucoup d'appréhension, j'avais fixée l'écran ou une petite cacahuète était apparue.

Plus tard, je m'en rappellerais comme étant la plus belle chose au monde. Mais sur l'instant, ma première pensée était: "Il est si petit". Comment une si petite chose pouvait être en moi? Comment un si petit être pouvait grandir dans mon corps? Et les battements de son cœur, oh, les battements de son cœur. Ça avait été un énorme soulagement pour moi quand je les ai entendus que j'ai immédiatement fondue en larmes. Ma vie était devenue si compliquée, cette petite chose qui vivait en moi était la seule chose qui me tenait debout, qui me tenait saine d'esprit. Cet embryon n'était là que depuis quelques semaines et il m'avait déjà enroulé autour de son petit doigt encore inexistant. 

Le regard dans le dosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant