Chapitre 10

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Me revoilà! Avec un chapitre plus long cette fois-ci, je pensais qu'il serait plus court mais les derniers paragraphes sont venus tout seul et j'ai pus agrandir la longueur de mon texte. J'espère que vous allez bien, moi ma santé à prit un coup ses deux dernières semaines. J'ai attraper la grippe et il était presque impossible pour moi de m'en défaire, mais je commence à aller mieux, donc ça va. Je ne vais pas blablater et vais plutôt vous laissez lire ce chapitre en espérant qu'il vous plaise.

Sur ce, bonne lecture!

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"Chère Malika,

Sourire est une chose simple et à facile à faire. Pourtant, les hommes ont tendance à l'oublier, mais pas toi. Un sourire de ta part fait briller tes yeux et illumine ma journée. Te voir te réjouir de petites choses est si admirable, j'aimerais garder le souvenir de ton sourire à jamais dans ma mémoire et dans ma vie. Te voir inquiète et terrifiée est déplaisant, ton visage ne devrait que montrer de la joie et du bonheur.

Voilà encore, un autre cadeau de ma part. Qui j'espère, te rendra heureuse.

Ton admirateur secret."

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-Monsieur, pourquoi vous n'avez aucune photo chez vous?

Le mois de mars apportait la chaleur que beaucoup attendait. J'avais arrêtée de porter mon manteau et prenait maintenant une veste légère. J'avais même retirée mon écharpe. Les trois premiers jours de cours de la rentrée ont été fatiguant, mais c'était normal. La dernière semaine des vacances avaient été si reposantes. A par les devoirs maisons à terminer, je n'avais eu rien d'autre. Même le cours de tutorat avait été annulé, comme l'avait dit Blavatsky.

Au cours d'aujourd'hui, le professeur avait fait des brownies, c'est moi ou il essaye de m'engrosser? Comme la sorcière dans Hansel et Gretel. Mais bon, je ne me plains pas. Ils étaient délicieux et fondants dans la bouche, un vrai délice. Et cette fois-ci, il n'y avait pas de chocolat chaud à ma grande déception, mais seulement du lait. Et je ne m'en plaignais pas non plus. Je pourrais continuer comme ça pendant longtemps, jusqu'à mon diplome...

C'est vrai, il restait quatre mois avant la fin du lycée. Et la fin de mon adolescence. Je fus prise d'un coup de tristesse. J'avais déjà commencée à envoyer des demandes aux universités qui me plaisaient, mais je n'avais pas l'impression d'être prête pour sauter ce pas. La vie d'étudiante, peut-être déménagée autre part, si mes parents me laissaient. C'est pour cela que j'ai aussi fais une demande dans l'université de Farid, au moins mes parents seraient rassurés et je pourrais me référer à mon frère.

-Des photos? dit-il surpris. J'en ai.

-Vraiment? Pourquoi vous ne les mettez pas sur les murs de chez vous?

-Je n'ai jamais eu l'impression de devoir le faire, mes photos sont là ou elles devraient être, dit-il en se levant.

Je le regardais interrogative, il me fit signe de me lever. Surprise, je posais mon crayon sur ma feuille et je le suivis. Il monta les escaliers et s'engouffra dans une pièce au fond du couloir. En y entrant, je vis que c'était une chambre. Beaucoup plus rangée que la mienne et plus grande aussi. Il n'y avait pas tellement de couleurs dans la pièce, juste du gris, du noir et du beige. Mais je la trouvais vraiment belle. En plus, il y a un lit double! J'avais une folle envie de m'y jeter.

-C'est probablement la seule photo que j'ai dans la maison, fit le professeur en me tendant un cadre qu'il avait prit de la table de chevet.

Le regard dans le dosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant