Chapitre 9

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Je ne peux plus mettre de photo pour mes chapitres, ce qui m'énerve un peu mais j'essaye de trouver une solution. Sinon, j'espère que vous avez passez une bonne semaine. Pour certains, les vacances ont déjà débutés pour d'autres non. Et pour moi qui suis à l'université, j'ai encore une semaine de cours. J'espère que ce chapitre vous plaira.

Sur ce, bonne lecture!

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-Tu veux vraiment que je porte ça sur moi? questionnais-je bêtement.

-C'est pour ta sécurité, répondit papa.

-Est-ce que c'est légal même?

-Oui, et même si ça ne l'était pas, je te le donnerais toujours.

Je regardais le spray au poivre que j'avais dans les mains. J'avais l'impression d'être invincible avec, mais j'étais aussi terrifié. Et si je me fais contrôlée par la police et qu'ils trouvent ça sur moi et qu'ils commencent à pointés leurs armes sur moi? Je ne pouvais pas tout le temps me fier à eux, surtout dans ces temps de doute sur leurs compétences. Avec ça dans les mains, je me ferais facilement tirée dessus.

-Papa, tu es vraiment sur que je peux avoir ça avec moi? demandais-je encore une fois.

-C'est pour ta sécurité, Malika, soupira-t-il. Si je ne peux pas être tout le temps avec toi, je saurai au moins que tu auras ça sur toi pour te protéger.

-Rien ne m'arrivera papa.

-Tu es ma fille, c'est normal que je m'inquiète pour toi.

Je le pris dans mes bras. Même si je n'avais reçue aucune autre lettre ou présent, papa était toujours aux aguets. Il fallait l'avouer que moi aussi je l'étais, des fois, je passais quelques minutes sur mon balcon pour voir si Bundy ou Harold montrait le bout de son nez. Mais rien, aucun signe. 

Ce n'était pas comme si les boites étaient posées tous les jours devant chez moi, mais chaque vendredi après-midi, quelqu'un sonnait à la porte et le carton était là. C'était encore étrange pour moi, j'espérais que ca ne devienne pas une habitude.

-Ne te fais pas trop de soucis pour moi, ménage tes nerfs, le conseillais-je avant de le laisser et de revenir dans ma chambre.

Je m'allongeais sur mon lit et soupirais de contentement. J'avais fais toutes les tâches ménagères que j'étais capable d'entreprendre. Maintenant, je pouvais enfin me reposer. Je me retournais sur le ventre et ouvris mon ordinateur. J'étais en plein appel vidéo dessus avec Inès quand mon père m'avait appelé. Je savais que c'était inutile de la recontacter puisqu'elle ne prendrait pas l'appel. Je changeais donc ma précédente activité et regardais une série de vidéos aléatoire.

Je bougeais en voyant quelqu'un m'appeler sur mon portable. Je fronçais les sourcils, pourquoi Blavatsky m'appelle? Il m'a peut-être appeler par accident, j'attendais que la tentative s'arrête avant de retourner à mon ordinateur, mais mon portable se ralluma aussitôt. Je commençais à me poser des questions, est-ce que j'ai fais quelque chose de mal? Je n'ai pas rendue un devoir? J'ai foiré un contrôle inexistant? La fin du monde est arrivée? Je pris l'appel, nerveuse, pour soulager mon esprit.

-Allô? fis-je incertaine.

-Malika, quelque chose ne va pas? fit la voix inquiète de Blavatsky.

-C'est-à-dire? demandais-je bêtement.

-Tu n'es toujours pas là et je commence à m'inquiéter, as-tu eu un empêchement?

Le regard dans le dosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant