Chapitre 25

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Je vous dis bonjour/bonsoir mes amis! Je reviens avec un nouveau chapitre un peu moins mouvementé mais ça contribue à la suite de l'histoire. Malika est toujours piégée chez Bolgarov, à des milliers de kilomètres de chez elle, voilà ou on en est. Je tiens encore à vous remercier car nous avons dépassés les 4.4k vue, je n'y crois toujours pas! Chaque jour plus de personnes lisent l'histoire, votent, laissent un commentaire ou bien ajoutent mon histoire à une liste. J'ai toujours le sourire aux lèvres quand je vois le petit point rouge à côté de mon nom.

Quelque chose qui n'a rien à voir avec l'histoire, mais je cherche deux histoires anglophones que j'ai lus il y a un moment et je n'arrive pas à les retrouver. Les deux parlent de loups-garous. La première est une femme qui se fait attaquer par un loup dans la rue et elle se fait sauver par un autre loup mais elle plante un couteau au loup qui la sauver. Ce loup se trouve être un alpha et cet alpha est l'âme-sœur de la femme. Sauf que c'est un alpha est craintif, qui ne parle pas à cause des abus qu'il a subi par son père. La femme est jouer par Amanda Seyfried et le loup par Sean O'pry, si je m'en rappelle bien.

La seconde histoire est une jeune femme qui vit dans un monde contrôlé par les loups-garous, elle travaille dans une mine je crois et essaye de protéger sa mère et ses petits frères et sœurs. La jeune femme se trouve être l'âme-sœur d'un alpha, il essaye de l'attraper mais elle réussit à s'enfuir avec sa famille, ils sont dans la forêt et se font attaqués je crois. A un moment dans l'histoire, la fille rejoint un groupe de rebelles qui essayant de reprendre le contrôle aux loups. Donc voilà, j'espère que c'est assez d'information, n'hésitez pas à m'envoyer des noms de fictions qui vous pensez sont celles dont je parle.

Sur ce, bonne lecture!

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La nuit dernière avait été horrible pour moi, j'avais à peine dormi, en imaginant Bolgarov rentré dans la chambre et me tuer dans mon semi-sommeil. J'avais même cru voir des ombres bougées sur les murs. Pire nuit de ma vie et je savais que ce ne sera pas la dernière. Quand j'ouvris enfin les yeux, le soleil était déjà levé dans le ciel. Bon sang, je détestais dormir avec de la lumière, je préférais la noirceur. Je regardais autour de moi en essayant de savoir quelle était l'heure, il n'y avait aucune horloge dans la chambre. Heureusement, même si j'étais étourdie, je savais encore ou j'étais et ce qui ce passait.

Cette fois-ci malgré ma fatigue, mon instinct m'envoyait une alerte rouge pour me dire que quelque chose n'allait pas. En cherchant bien, je trouvais une pile de vêtements sur une chaise à bascule qui n'était pas là avant. Comment a-t-il pu entrer, transporter tout ça et sortir sans que je n'entende quelque chose? Ça me faisait froid dans le dos. M'avait-il regarder dormir comme Edward le fait avec Bella dans Twilight? Je devais trouver un moyen de sortir d'ici, rapidement.

Je me frottais le visage pour essayer de retirer la fatigue, si ça ne tenait qu'à moi je continuerais à dormir pendant des heures, mais je n'étais définitivement pas chez moi, j'allais pas me rendre plus vulnérable que ça auprès de Blavatsky. En descendant du lit, je sifflais de douleur en sentant ma vessie tapée fort contre mon estomac. Je me précipitais aux toilettes et me soulageait. Je laissais échappée un soupir de satisfaction à cela mais me crispais en pensant à mes règles, merde, je n'ai pas d'autres serviettes. Peut-être... peut-être que lui en avait, il en a forcément. J'espérais de tout cœur qu'il en avait mit dans la salle de bain.

Et par chance ou bien miracle, je trouvais ce que je cherchais. Le meuble en dessous du lavabo contenait tellement de choses, je me demandais si Blavatsky pensait vraiment que j'avais besoin de toutes ses choses. Malgré cela, j'étais soulagée de trouver des serviettes hygiéniques. Après m'être laver les mains et le visage, je sortis de la salle de bain et grimaçait en sentant une odeur de renfermée. En regardant la fenêtre, je me demandais si celle-ci pouvait s'ouvrir, je n'avais pas essayer la veille. Ce qui était assez stupide de ma part.

Le regard dans le dosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant