désir

22 4 3
                                    

- Voilà,  c'est chez moi ! Ça te plaît  ? Demanda la superbe rousse à john.

Il émit un sifflement  devant ce loft magnifiquement  meublé :

- Ben dis donc ! Sur que ça m'plait ma rouquine ! C'est quoi ton p'tit nom  ?

- Je pensais que tu allais jamais me le demandé.... c'est Tara... Veux tu boire un verre ?

- Pourquoi pas passer aux choses sérieuses... fit John,  d'un air lubrique.

Elle s'approcha de lui et l'attira vers elle en le tirant par le col, elle lui murmura au creux de l'oreille, l'exitant  un peu plus :

- Mmmmh.... C'est qu'on est pressé mon petit gourmand...

Elle le regarda fixement, lui caressant le cou, elle glissa ses mains sous son tee shirt et l'attira vers un grand lit.

Il s'y vautra et admira un instant les draps de satin rouge.

Tara se tint devant lui et deboutonna son chemisier,  elle se baissa pour retirer ses talons,  monta sur le lit et se dirigea vers lui avec une grâce quasi féline.

Elle l'embrassa fougueusement  :

- Retires mes bas...

John s'exécuta avec précipitation.

- Hep hep... doucement mon beau, on a toute la nuit...

Il ralentit ses gestes.

Après avoir retirer ses bas, elle les prît et posa ses mains sur les épaules de John pour qu'il puisse s'allonger complétement,  elle retira son tee shirt et embrassa son torse.

Saisissant ces mains, elle les attacha,  à l'aide de ses bas, aux barreaux du lit.

John se prît à son jeu érotique, une fois ses mains attachées,  elle continua à l'embrasser sur le torse en descendant de plus en plus bas, John râlait de plaisir.

Saisissant ces pieds, elle les attacha aussi aux barreaux,  laissant John complétement soumis  mais trop en extase pour omettre la moindre contradiction.

Les yeux fermés par le plaisir, il eut l'impression que son corps n'était tenu par rien, comme si , on le maintenait dans le vide.

Ouvrant les yeux, il découvrit , effectivement,  qu'il ne tenait que grâce aux bas attachés à ses quatre membres.

Les draps de satin et le matelas avaient disparus,  laissant place à un mécanisme complexe :

- MAIS PUTAIN QU'EST CE QUE C'EST QUE CETTE MERDE  ?... Hurla john,  terrorisé.

- LA FERME ! cracha Tara.

Son superbe visage laissa place au visage de Steve.

John aurait voulu hurler,  mais la terreur l'en empechait.

Le mécanisme se mit en marche, dans un affreux bruit de cliquetis,  Steve se mit à rire :

- Tu pensais vraiment qu'une fille comme Tara s'intéresserait à un minable comme toi ! Ha ha ha ! Crève connard,  c'est un bon retour de bâton ! Ha ha ha ha !!!

Steve riait à se plier en deux, tandis que le lit commencer à étirer John,  à l'étirer... étirer...étirer....

Dangereux sortilègeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant