Saint Seiya Oméga - Jinsei no kibō {Tome 1}

Chapitre 13

Note de l'auteur : Dans ce chapitre, Leiko sera confronté à ses souvenirs du passé. Est-ce que notre chevalière du corbeau réussira-t-elle à surmonter les atroces événement de sa vie ? Sans plus attendre, nous allons le découvrir maintenant !

Bonne lecture, les p'tits loups.

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« Chaque plume qui tombe du plumage du corbeau est une partie de ses souvenirs qu'il aimerais ne jamais revoir mais qu'est-ce qui arriverait si il tombait de nouveau sur ses plumes de souvenir ? »

Le soleil commençait à se lever petit à petit dans le ciel et les premiers rayons du soleil commençait à perçait entre les feuilles des arbres. La lumière continuant d'affluer arriva au niveau d'un certain chevalier du dragon encore endormis dans l'herbe du campement. Les oiseaux commencèrent à chanter et réveillèrent avec les doux rayons du soleil ce même chevalier. Le jeune garçon se redressa en douceur, il tourna doucement sa tête et remarqua Leiko endormie près de lui. En se relevant il sentit un tissus sur lui et le pris dans ses mains . Ce tissus n'était autre que la veste de Leiko, elle avait dû lui poser pendant qu'il dormait. Il se leva et s'approcha de Leiko avant de s'asseoir à coté d'elle, il la regarda un long moment avant d'approcher sa main de son visage de nouveau recouvert par son marque. Pris d'une soudaine envie, il continua à approcher sa main pour enlever le masque qui protéger le visage de Leiko, il voulait tant revoir son visage, ce visage qu'il avait vu enfant. A se moment là, Leiko commença à remuer un peu montrant à Ryuho qu'elle était sur le point de se réveiller. De peur de se faire prendre, Ryuho mis ses deux mains sur le masque de Leiko au moment où celle-ci sortit complètement de ses songes.

Leiko : Ryuho... Qu'est-ce que tu es en train de faire ?

Ryuho enleva ses mains de mon visage, il semblé être gêner et il avait l'air de profondément s'en vouloir pour son geste. Par ce geste tout à fait adorable de sa part, je compris ce que voulais faire Ryuho. Sans qu'il ne le voie, je souris en me disant qu'il n'avait pas à être gênée de ce qu'il as voulu faire. Je posa ma main sur sa joue ce qui lui fis redresser la tête pour me regarder. Nous avions nos yeux fixés dans ceux de l'autre. Même si je porte mon masque je suis sûre qu'il me vois comme si je ne l'avais pas. Il doit sans doute se rappeler de la dernière fois qu'il l'avait vue sans masque, à l'époque où j'accompagnais mon maître en Chine et où je l'avais rencontrer. Ses yeux étaient d'un magnifique bleu, ils étaient comparable au bleu de l'océan. On pourrait y plonger dedans et s'y enfoncer sans vouloir en ressortir.

Ryuho : Pardon... Je ne voulais pas faire ça...

Leiko : Ne tant fais pas Ryuho, je sais parfaitement ce que tu voulais faire. Je ne vais pas t'en vouloir pour ça {même si tu essaie toujours de me sortir des ténèbres, un ange comme toi ne dois pas prêter autant d'attention à un oiseau des ténèbres comme moi...}

Ryuho : Lei~

Koga : Vous avez fini votre discussion !! Si vous continuez à rester planté là, nous allons jamais retrouver l'ennemi !!

[Note de l'auteur : Je sens que un certain Koga chevalier de Pégase sera transformé en tapisserie qui sera dans la décoration d'Hadès. Si il continue d'ouvrir sa satané gueule !!]

Toujours là quand il ne faut pas ! Comme si ce satané Pégase ne pouvais pas ne pas nous interrompre dans notre discussion. De toute façon, ce foutu cheval est et sera toujours là pour nous déranger au pire moment avec Ryuho. Mais malheureusement, nous ne pouvons pas changer son sale caractère même si ce n'est pas l'envie qui m'en manque dans des moments comme celui-ci. Je me releva suivi de près par Ryuho avant de continuer notre chemins, nos Pandora Box sur nos dos. Je ne pensais pas que mes souvenirs douloureux relatant de mon sombre passé allez resurgir d'un coup pour me hanter une nouvelle fois. Je voyais le ciel s'assombrir de plus en plus, sa ne serais sûrement pas qu'une petite averse passagère. Comme pour confirmer mes dires une violente pluie s'abattit sur nous, nous trempant entièrement en seulement quelques minutes. Nous n'attendions pas plus longtemps avant de courir nous abriter quelque part au chaud. Mes soi-disant «frères d'armes » et moi-même continuons de courir pour traverser au plus vite cette forêt et pouvoir nous mettre enfin au sec, loin de cette pluie torrentiel qui s'abattait sur nous. Ma vie mais aussi celle de la personne qui m'est liée sont compter et en danger si nous ne trouvons pas rapidement un endroit où s'abriter le temps que cette foutu pluie s'arrête, que nous reprenions des forces et surtout qu'on se réchauffe. En fin de compte, je suis quoi exactement pour les hommes et les Dieux ? Moi qui suis juste un oiseau des ténèbres rempli d'une haine immense à l'égard de cette personne que mon cœur et mon âme hait du plus profond de mon cœur qui est maintenant rempli de noirceur à cause de lui. Et c'est cette chose que je ne peut plus considérer comme une personne, un être humain qui fait partie intégrante de mon sang me hante à jamais et ce à cause de lui, cet homme. Tandis que nous courrons toujours en nous enfonçant plus profondément dans cette forêt alors que cette pluie continuait encore et toujours de s'abattre sur nous, nos vêtement mais aussi le sol et la nature on commença à apercevoir au loin tout fond de la forêt un manoir. A cette vue nous nous dépêchons un peu plus et arrivions enfin devant les porte de ce manoir. Lorsqu'on regarde attentivement le manoir et l'allée menant à la demeure on remarquait qu'il devait être abandonnée depuis une bonne vingtaine d'années. Koga qui jusqu'ici était resté bien calmement à l'arrière et en ayant marre que personne ne bouge pour rentrer passa devant et poussa violemment les portes qui s'ouvrir dans un grincement assourdissant avant de la claquer contre les deux pans du mur et sous la violence mise dans la poussée de ce cher Pégase qui ne fait décidément pas vraiment attention aux choses qui l'entoure. Il entra alors en courant jusqu'à ce qui devait auparavant ressembler à un hall d'entrée suivis plus doucement par les autres. Pendant que les autres rester plantée au milieu du hall sans vouloir bouger, je pris l'initiative de visiter un peut le rez-de-chaussée de ce manoir qui était plutôt grand. Je vis un immense salon et on pouvait voir que la pluie allait encore tomber pendant un un bon moment.