TOME 2 :chapitre 20

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Je me réveille complètement paniqué, il fait encore noir. J'ai préféré me lever à 5h du matin pour être sur que tout le monde dormais. Je me tourne vert Finn, il dort encore à point fermé. Je pose ma tête à côté de lui et caresse ses boucles brunes. Je regarde chaque très de son visage pâle, chaque tâches de rousseurs qui parsème son visage, parfois je me demande si c'est pas un ange qui se tient devant moi. Je dépose un doux baiser sur ses lèvres, assez doucement pour ne pas le réveillé.
Les larmes me montes aux yeux. Je ne veux pas le réveillé et lui partager mon stress et ma douleur, alors je pose la boîte qui contient la montre à gousset à côté de lui accompagné d'un petit mot.

Finn, je suis désolé de ne pas te dire en revoir mais je ne veut pas te réveiller et puis c'est beaucoup trop dure pour moi...Je ne peut pas rester ici, c'est trop évident comme cachette, je ne reviendrais pas chez moi, ma vie là bas est foutu, et puis j'ai jamais aimé y vivre.
Il est temps pour moi de voler de mes propres ailes. Ne t'inquiète pas, on se reverras. Je t'aime trop pour t'abandonner pour de bon, et puis je suis sur qu'un jour on pourras vivre ensembles s'en avoir à se séparer à chaques fois.
Donne toi à fond sur scène et sur le plateau, ta copine qui t'aime beaucoup.
- Élise.

Une larme coule sur ma joue et vient se posé sur la lettre, je me prépare et enfile une tenue rapidement.

Je jète doucement ma valise par la fenêtre et escalade le mur jusqu'en bas. Je me retourne une dernière fois pour regarder la maison, je baisse les yeux sans regret, à part Finn, et me met en route.
J'arpente les rues vides et sombres de Vancouver, respire l'air frais du matin et lève les yeux vers le ciel. Le soleil commence enfin à se lever derrière les nuages.

Je marche dans la rue ou la fête hippie avais eu lieu hier soir, je passe devant et une odeur de pain grillé et de chocolat chaud me met l'eau à la bouche

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Je marche dans la rue ou la fête hippie avais eu lieu hier soir, je passe devant et une odeur de pain grillé et de chocolat chaud me met l'eau à la bouche. Je me laisse guider par mes narines et m'aproche du lieu du feu de camp dans l'herbe, ma valise à la main. Trois ou quatres personnes sont en train de ramasser les déchets d'hier soir. Le babecue fait chauffé des tartines recouvertent de fromage fondu et de lardons et des petits pain au chocolat, à côté, des jus de fruit bio sont posé sur un tront d'arbre.
Le feu est encore allumé, très léger et pleins de petite braise orange vifs dance dans l'air jusqu'à disparaître dans le ciel.

Une dame est assise sur un tron, un plaide autour de ses épaules maigres et un café dans les mains, elle le bois doucement et regarde le feu l'air pensive. Je la reconnais, c'est la femme du guitariste d'hier, celle qui avait des plumes dans les cheveux. Je me demande pourquoi ils se sont tous lever si tôt. Il y a un grands raffu derrière moi, plus loin la où sont situés les caravanes.

Une voix douce et cassé me sort de mes pensées.
Je me retourne vers la femme en question.

- C'est toi qui était passé hier non ? Avec ton charmant copain bouclé, Qu'est ce que tu fait plenter ici si tôt, vient t'asseoir là.
Je lui fait un large sourire sincère et pose ma valise avans de venir la rejoindre. Elle m'enroule dans un plaide orange.

- Alors dit moi ce que tu fait ici  à une heure pareil, seule avec une valise et cette petite bouille toute palotte, triste et fatiguée ?

Elle me tend un petit pain encore brûlant que j'enroule dans du papier.

- Je...Je prend un nouveau départ.

Elle me regarde totalement seraine et compréhensive.

- Et pourquoi tu as besoins d'un nouveau départ ?

- parce que chez moi, je ne me sens pas à ma place, pas complète. Personne ne me comprend là bah et tout est fini, je dois prendre ma vie en main. Même si je suis jeune, je ne veut pas m'abstenir de vivre sous prétexte que je n'ai que 17 ans... C'est ici ma place, pas en Europe.

- Et dit moi, tu vas le faire où ton nouveau départ, comment fait se déroulé le début de ta nouvelle vie ?  Tu vise un endroit en particulier ?

J' hausse les épaules, un peu perdu et honteuse.

- J'en sais rien... J'ai pas vraiment eu le temps d'y réfléchir.

Elle prend soudain un regard légèrement inquièt.

-Tu veux commencé avec nous ? On ne cesse pas de voyager tous ensemble dans la paix et la sérénité, tout le monde est la bien venu et tu pourras quitté notre grande famille quand tu voudras, ça pourrait te permettres de découvrir des lieux et de te cultivé, d'élargir tes horizons...Et tu n'aurais pas à arrêté tes études, on a des jeunes ici qui fond l'école à la maison et qui suivent leurs cours en ligne. Qu'est ce que tu en dit ?

Je la regarde les yeux remplis d'étoiles, ça ressemble beaucoup à du kidnapping, mais c'est tout ce que j'ai pour l'instant.

-Si tu reste avec nous je prendrais soin de toi, je t'aiderais à commencer ce nouveau départ du bon pied.
D'ailleurs où est ton copain qui est doué à la guitare ?

Je baisse les yeux.
-il...Il n'as pas pu venir, il n'a pas du tout la même vie que moi, il est épanoui et... Il a tellement de choses à faire, mais j'espère le revoir bientôt.

Elle me pris dans ses bras et je respira enfin, soulagé .

- En faite, comment tu t'appelle ma belle ?

- Élise...Et toi ?

-je m'appelle Charlotte.

Elle me présente aux autres, tout ça ce fait très vite.
ils m'accueillirs tous un grand sourir sur le visage. On mis ma valise dans une caravane que je devrais partager avec une fille de 18 ans et une de 14, ce sont les filles de Charlotte et de Romain, son marie à la guitare.

On m'explique que si ils se sont réveillé si tôt c'est parceque on fait un road trip et ont quitte le camp aujourd'hui pour rejoindre le point suivant, je ne sais pas exactement où on vas et c'est assez existant.
Je suis un peu nerveuse mais tout ces gens sont très calmes et positifs et me permettent de pensé à autre chose.
Quand tout le matériel et les affaires sont enfin rempliés, on prend la route. Je monte dans la caravane avec les filles .
À ma plus grande surprise, il y a un code WiFi dans la caravane car c'est celle des jeunes et elles on insistés pour qu'on leurs installe.
La plus grande est habillé très rétro et à de long cheveux noir qui lui tombe aux fesses, l'autre les a coupé en un très jolie carré ondulé très court.

Elles sont très gentils et drôle, on rit en fessant connaissance.
Peu de temps après, je saisie mon téléphone sur la table basse.

Je désactive tout les systèmes de géo-localisation et regarde tout les messages qu'on m'envoie.
Aparament tout le monde me cherche car la classe n'as pas le droit de rentrée avec un élève en moin et que l'avion ne va pas tarder, Finn a aussi l'air très inquiet malgré le message que je lui ai laissé, il me remercie quand même pour la montre. J'ai une centaine d'appels menqué et tout le monde panique.

La police me recherche et c'est le bordel total, décidément je ne peut pas faire demi tour.
J'ai la boule au ventre alors je décide de me couper de tout ça, je retire donc la carte sim de mon téléphone avant de la jeté par la fenêtre et d'éteindre celui-ci. Je colle ma tête contre la vitre et regarde le ciel parsemé de nuages roses.
Finn me menque déjà, sa peau, ses lèvres, ses cheveux, son rire, sa voix. Je frissone rien que d'y pensais, comment j'ai pu le laissé dans une merde pareil. Tout le monde va être persuadé qu'il sait où je suis et il va passé la journée en interrogatoire.

Je décide de dessiner pour me changer les idées, les filles me rejoignent sur la table pour lire et se mettre du vernis.
Je me sens bien pour une fois, il ne menque que lui...

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