Point de vue de Élise
Je m'éloigne du plateau en ignorant les regard transpercent des employés du tournage, sûrement parce que je les ai interrompus en pleins tournage, avec mon gros sac de camping sur le dos, pour prendre Finn Wolfhard dans mes bras.
Je descend les rues de hawakins en trotinant, j'ai l'impression que mes pieds sont en feu, j'ai mal partout et j'ai perdu beaucoup de poids, j'ai du mal à continuer mais je ne me plein pas, jamais, c'est moi qui ai fait le choix de partir alors j'assume.Je repense à Finn que me souffle "je t'aime" avec nervosité, dessinant ses cercles dans la paume de ma main avec son pouce.
Il a beaucoup changé depuis la première fois que je l'ai vu, il grandit et a accomplit tellement de choses, moi j'ai son âge et tout ce que j'ai fait, c'est abandonné mes proches.Je me sent vraiment nul.
Je trouve un petit motel pas trop cher pour la nuit, je prend une chambres et laisse tomber mon gros sac sur le lit, j'ai tellement mal au dos.
Je m'assoie avec difficulté et je retire mon tee-shirt, j'ai besoin d'une bonne douche.
Je lève les yeux et mon souffle se coupe à la vue de mon reflet dans le miroir fixer derrière la porte de ma chambre. Je ne m'étais pas vu en entière depuis longtemps et cela me fait un choc. J'ai la peau sur les os et des bleus partout.Je pleurs dans mes mains, ma famille me menque, j'ai faim et mal partout, je ne devrais même plus tourner autour de Finn, le pauvre je dois lui faire de la peine...
Je me lève avec difficulté et entre dans ma douche, l'eau est gelé, j'aperçois un papier scotché sur la porte de salle de bain [eau chaude désactivé pour une durée d'une semaine, la réception s'excuse pour ce désagrément].
Je pousse un hurlement d'exasperation strident, je suis modite ou quoi ?
J'enfile une tenu quelconque et je coiffe ma longue chevelure pleine de nœud.
Il y a deux mois, je trouver ma chevelure jolie, avec les reflets du soleil qui reflété dessus et la couronne de fleurs que la hippie m'avait faite.
Maintenant, dans la salle de bains lugubre éclairé de néon blanc du motel, ils sont fades et ils ont juste l'air d'un poid en plus.Je marches décidé vers ma valise et attrape une paire de grand ciseaux, je retourne face au miroir et j'essaye de me ressaisir et de me concentré sur mon reflet.
Je prend mon courage à deux mains et je coupe la première mèche, elle danse dans l'air froid et humide puis tombe dans le lavabo, je pleurs de plus belle et continues de coupé mes longes mèches de cheveux, qui tombe tout autour de moi et finissent par m'entourer complètement.
J'ai fini, je fixe mon reflet intensément dans la glasse et essaye d'y trouver quelques chose de positif, mais je fini par abandonné, je coiffe légèrement ma nouvelle coiffure et met un peu de mascara et de bôme à lèvres, les deux seules produits cosmétiques qu'il me reste. Puis je m'applique un fond de parfum.
Je sort du motel et me force à sourire , je marche vert l'hôtel de Finn, les mains enfoncées dans les poches de ma veste.Je dessend les escaliers jusqu'au sous sol du métro et je tombe nez à nez avec un homme un peu...étrange.
Il n'y a personne d'autres alors je décide de faire demi tour, tempis, je prendrais le prochain métro;
Mais je l'entend avancer derrière moi, je me retourne et vois sa langue qui pend, il fait froid dans le dos avec son regard étrange, il sort un couteau suisse de la poche de son grand manteaux noir.
Je commence à accéléré le pas, je suis terrifié, il commence à courir, je me met à sprinter le plus vite possible et je l'entend me courir après.Il a fallu que je logue dans un motel perdu dans un trou pourri, personne dans la rue pour entendre mes cris, alors je cours le plus vite possible et j'entre dans la forêt, peu être qu'il m'a perdu de vue ?
Je me retourne et mon cœur s'accélère encore quand je vois sa silhouette qui s'approche en courant.
VOUS LISEZ
where is my mind
Fanfiction~Fanfic Finn Wolfhard terminé~ 7 934 kilomètres la sépare du garçon le plus merveilleux au monde à ses yeux, et il ne sait même pas qu'elle existe ; Si on lui avait dit qu'un jour elle serrait si proche de lui, elle ne l'aurait sûrement pas cru. [...