chapitre 8

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Peut de temps après notre arriver à l'appartement, nous mangeons le souper. Cette fois-ci , pour l'entrée, nous avons le droit à une soupe à l'oignon gratinée, un filet mignon accompagné d'une sauce aux portobellos et des pommes de terres au four sont notre plat principal et finalement, pour le dessert, nous mangeons un gâteau Reine Elisabeth.

Pendant le repas, William a commencé à parler de l'entraînement, se qui m'a fait réaliser qu'il n'était peut-être pas une si grande lumière que ça.

-Les carrières sont venus nous voir, Crystal et moi. Dans mon cas, c'étais cette avant midi quand je m'entraînais au trident et elle s'était quand elle s'entraînait au tire à l'arc. J'ai tous de suite accepté leur offre de place dans l'alliance et j'imagine que Crystal a fait pareil parce qu'ils avaient l'air content quand ils sont partis.

-Non. Répondis-je tout bas.

-Tu as refusé? Demande Samelyn

-Tu sais que tu viens de signer ton arrêt de mort? Ajoute Finnick

-Non, je n'ai pas dit non, mais je n'ai pas acceptée non plus, je leurs ait dit que j'allais y réfléchir.

Je n'ai plus vraiment participé au reste de la conversation. J'ai juste continué de manger et une fois fini, j'ai fixé le plafond pendant une demi-douzaine de minutes avant que mon mentors me demande s'il pouvait me parler. C'est donc, sur le toit que nous allons, le salon étant ouvert sur la cuisine et une salle de bain ou une chambre ne sont pas très propice à une disscution.

-C'est pour l'alliance? Lui demandais-je

-Oui, je ne sais pas trop quoi te dire, il vont être très dur à tuer et ils auront vu tes points faibles, mais je crois qu'accepter est quand-même le choix le plus logique.

-En fait, je me suis dit que je pourrais leur cacher mon talent en épée, en lancé de poignard et au trident, histoire de les surprendre une fois l'alliance rompu.

-C'est une idée brillante, mais ça ne m'étonne même pas que tu as pensé à ça. C'est tu se qu'un instucteur m'a dit sur toi, ce midi?

-Non, vas-y?

-Que tu apprenais très bien et rapidement, mais que ton principal défaut c'est ton humour, le même que moi... Tu peux expliquer? Me demande t-il avec un énorme sourire au visage.

-Et bien, il se pourrait que j'aille dit à l'instructeur des noeuds qu'il n'avait pas fait mon noeuds préféré, qui est un des plus utiles, celui du pendu...

Il secoue la tête en souriant avant de me dire qu'il ne fallait pas dire ça à un instructeur. Cependant, il ne le pensait vraiment pas. Il est si différent de comment je le croyais, mais il me l'a dit, c'est une image qu'il se donne. Finalement, je dois avouer que j'aime bien le vrai Finnick. Non. J'aime le vrai Finnick, mais c'est impossible, je vais probablement mourir et il ne m'aime sûrement pas, du moins pas de la même façon que moi.

-Pourquoi tu es gênée? Me demande-t-il soudainement.

-De quoi tu parles?

-Tu mordillais ta lèvre, précise-t-il avec un sourire en coin.

-Oui, mais non, en fait, je fais ça pour plusieurs raison dont quand je réfléchis...dis-je

-À quoi tu réfléchissais, à moi? Vu que tu me fixais et que d'habitude tu fixes vers le haut. Ajoute-t-il en me teasant.

-Je pensais aux jeux et donc au conseils que tu m'as donnés et s'ils vont fonctionner donc oui, dans un certain sens, je pensais à toi. Répondis-je en modifiant un peu la réalité.

Je me détourne de lui pour admirer la vue et un frisson me transperse. Finnick le voit et me demande si j'ai froid. Je fais lui fais signe que non, même si j'ai froid. Mon mentor me demande ensuite si je veux rentrer et je lui dit que je vais rester ici encore un peu mais que je sais comment retourner à l'appartement sans problème alors, il pars en me disant au revoirs.

Crystal JonesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant