Quelqu'un me touche, plutôt me secoue par les épaules me tirant de mon sommeil. Je repousse violament cette personne avant de me relever et de me voir sur le même fauteuil où j'étais tantôt ou plutôt hier lors de ma discution avec Finnick. Je remarque que la personne que j'ai poussé était Mags.
-Je suis désolée, de vieux réflexes pardonne-moi.
Elle dit quelque chose que je ne comprend pas avant de sourir. Alors je vais prendre ça pour un pardon.
-Elle dit que ce n'est pas grave, que pas tous le monde aime les contacts physique, me chuchotte Finnick à l'oreille avant de me contourner et de se poser devant moi. Par contre, toi, tu risques de ne pas apprécier quand tu vas te faire préparer. Retiens que tu ne dois jamais opposer de résistance.
- À quoi dois-je m'attendre?
-À être dénudée, récurée, observée, maquillée, coiffée, habillée...
Je le regarde avec se regard qui veut dire; ils veulent ma mort avant même que je rentre dans l'arène, mais il se contente de rire à mon plus grand désespoire. Samelyn nous rejoint accompagnée de William. Elle nous explique que lorsque nous allons sortir, il va falloir se montrer fier, sourire et marcher droit, la tête haute. Elle nous dit que nous allons être séparés rapidement et être préparés pour le défiler, mais, comme Finnick me l'a dit, qu'il ne faut pas opposer de résistance.
Lorsque nous sortons, une foule de personne nous acceuils en criant, tapant des mains, sifflant. Je me sens tellement appréciée, mais je sais que ce n'est que parce que je fait partie du jeu et qu'ils aiment voir mourrir des innocents. Mais peu importe, présentement je me sens bien d'être acclamée puis, comme on m'avait prévenu, je suis très bientôt emmenée dans une autre pièce où quelques autres tributs sont déjà. C'est une très longue pièce aux murs blanc séparée en compartiment à l'aide de plusieurs rideau en plastique épais turquoises. On m'installe sur un genre de lit en métal et trois personne viennent à moi, deux femmes et un homme qui ont le style typique du capitol. Habillés de plusieurs teintes de la même palette, avec des vêtements assez exentrique, ils réflètent la pointe de la mode, aussi bizard soit-elle. Une des deux femmes, celle qui est habillées principalement de couleurs froide, me demande d'enlever mes vêtements et de mettre à la place une espèce de chemise turquoise pâle à la place. Aussitôt, je m'exécute me rappelant le conseil de Finnick, sans même pensée un instant que je devrait être plus pudique et que je devrais être génée. Elle me demande ensuite de me coucher sur le "lit" même si je trouve que c'est beaucoup plus un comptoir froid qu'un lit...
Ils commencent par me passer un jet sur les jambes et les bras avant de commencer à me les épiler avec des bandelettes de cire. La seule chose que je peut dire c'est que je souffre, ça fait tellement mal! Je ne comprend pas pourquoi ils font ça, juste pour ne plus avoir de poils. Ils sont masochistes pour sûr. Mais comme je suis stoïque, en tout cas c'est se que disait ma mère, je ne les laisse pas voir ma souffrance. Une fois qu'il ont fini les jambes, ils continuent sur les bras puis, l'homme m'enlève ma longue chemise turquoise et font de même pour le ventre, le dos et mes parties génitals. Je suis simplement figée, je ne fais rien même si je voudrais tellement les repousser. Ensuite, ils repassent un jet d'eau sur moi et m'étalent un crème bleu pâle sur le corps, mais partout, vraiment partout, à mon plus grand malheur. Une fois qu'ils ont terminé, ils ouvrent la porte au mur et m'y font entrer. Là se trouve une femme très grande qui porte une perruque mauve avec des plumes bleues, vertes et jaunes à l'intérieur. Elle est vêtue d'une longue robe blanche et noir et des talons hauts à platforme rose bonbon, son maquillage est tout aussi flash et coloré, mais je dois dire que sont look lui va plutôt bien.
À peine je suis entrée, qu'elle me tourne autour avant de sortir deux foulard bleus et un ruban blanc d'une pendrie suivit d'un bikini blanc.
-Je t'avais fait plusieurs ensemble parce que je n'étais pas très sûre du quelle t'irais mieux, mais ne crois que je sais. Dit elle en m'enfillant le maillot et en cousant le premier foulard en arrière du bas du maillot, pour faire une traîne. Elle enchaîne en me fesant une couronne de tresse sur la tête avec le ruban à l'intérieur puis elle fait mon maquillage. Des lèvres rouges, un trait de liner bleu et du mascara. Très simple, mais magnifique. Elle fini par mettre le deuxième foulard sur mes épaules tel un châle. Le tout est simplement sublime, j'en perds les mots.
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Crystal Jones
FanficPeu avant la moisson du 73 ème Hunger Games, la mère de Crystal retrouve son père, au ciel. Se retrouvant seule, sans famille ou ami comment Crystal va-t-elle s'en sortir. Evidemment, rien ne m'appartiennent pas sauf quelques personnages (Crystal, l...