chapitre 25

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Je me réveil dans un trou, littéralement. Il n'y fait pas si noir, mais on ne peut pas distinguer quoi que ce soit à plus de 3 ou 4 mètres. Je suis seule et je n'ai strictement aucune idée d'où je suis, enfin jusqu'à ce que les souvenirs de hier, du moins ces se que j'imagine, me reviennent à l'esprit. Aussitôt, je regarde au dessus de ma tête et vois le trou, qui n'est pas si loin dans les airs. Peut-être qu'avec un bon saut, je peut l'atteindre ou sinon, je peux toujours empiler des pierres de l'alentour pour être plus haute. Cependant, pourquoi voudrais-je sortir de ma cachette, je suis beaucoup plus en sécurité qu'a l'extérieur: l'air est beaucoup moins chaud et il n'y a aucun tribut, quoi qu'ils ne sont pas ma principal ennemie. Présentement ma plus grande peur est de mourir de soif. Il n'y a pas d'eau ici, mais selon mes recherches, il n'y a pas non plus d'eau dehors alors qu'est-ce que ça change que je reste, que je sorte.

Pour éviter de perdre une chance de trouver de quoi d'interressant, je me relève et et circule un peu dans les environ, mais je ne trouve rien. Pas de trace d'eau pas de trace de végétaux, rien, niet, nada.

Je décide tout de même, après un grand combat intérieur de sortir d'où je suis puisque ça ne m'avance à rien d'être ici. Certe la température est plus agéable, mais je ne vais de toute façon pas pouvoir rester dans cette... Chose, tout le reste des hunger games.

J'empile donc plusieurs roches et j'essaye de les faire tenir de sorte qu'elles ne bougent presque plus. Le résultat final fait approximativement un pied et demi de haut par un pied de largeur et cela m'a pris je crois une bonne demi-heure, trois quart d'heure à réaliser.

Dessus la plateforme solide comme du roch, je réussit à me hisser jusqu'aux plafond/plancher, dépendemment de l'angle du quel on est. Cependant, grimper a été plutôt dur, car le noir m'handicapait. Quoi qu'il en soit, je fini par rebrousser chemain et trouver la sorti de la parrois dans laquel je suis, pas sans mal, je dois l'avouer. Je retrouve la corde assez aisément puisque je l'avais coincée entre une roche et un mur. Contrairement à la descente, je fais un noeud autour de ma taille et je remonte.

À ma grande surprise, Friane est assise à côté de l'arbre où j'avais attaché la corde.

-Tu n'es pas partie avec les autres? Demandais-je, la sortant de ses pensées.

-Crystal, tu m'as fait peur! Et non, je savais que tu allais remonter. Les autres ont un peu attendu, mais ils se sont tannés et sont parti au bout de deux autres, à peu près. La seule personne qui a hésité de partir était Javia, mais les gars ont été plus convaincant que moi. Ils nous ont laissés nos sacs, au moins. Qu'as tu trouvé?

-Rien, malheureusement, je suis partie combien de temps, pour savoir?

Mon dieu que ce chapitre a été dur à écrire. J'aime beaucoup faire du dialogie, mais je n'ai pas pu en user énormément... En tout cas, j'espère que vous avez aimé ce chapitre. Et j'espère ne pas vous avoir fait attendre trop longtemps.

Crystal JonesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant