Vendredi soir- Chez Sonia.
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PDV Maya
-Sonia: Alors c'est qui ?!
Je ne la regarda même pas et me força à lire le message que l'on venait de m'envoyer...
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De: L'Idiot
À: Moi
‘‘ J'espère que ma petite vengeance t'as plus, ma princesse... ’’
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Je fais quoi... Je répond et lui dis la vérité ? Où bien je répond et lui dis que ça ne m'a pas atteint...? Ah je sais !... Je vais ignorer.
Impossible... Pourquoi? Parce que ce crétin vient de m'envoyer un deuxième message...
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De: L'Idiot
À: Moi
‘‘ Ne fais pas comme si tu ignorait mes messages, princesse... ’’
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J'ignore toujours et me retourne vers Sonia qui attend que je parle... Après avoir soupirer, je me décide...
-Moi: C'est Alex...
-Sonia: Ah...
Elle me caressa le bras en signe de réconfort et fus étonner de voir mon cellulaire vibrer une nouvelle fois...
Je le sortis et le déverrouilla.
-Sonia: Alors ? Il dit quoi cette fois-ci ?
-Moi: C'est bizarre... Il vient de m'envoyer : « Bon... Je te laisse deux minutes sinon...»
-Sonia: Quoi c'est tout ? Il veut dire quoi par ‘‘ sinon ’’ ?...
-Moi: Je sais p....
Un bruit sourd se fit entendre dans l'entrée... Je me leva et descendis avec Sonia voir ce qui se passait. Le bruit provenait de derrière la porte. Mais quand on l'ouvrit, je fus très surprise de voir Alex sur le seuil vêtu de son éternel veste noir en cuir...
-Alex: Tu ne me laisses pas le choix...
-Moi: Quoi... Mai-...
Je me retrouva sur son épaule et je sentis une main sur ma fesse droite...
-Moi: Alex ! POSE MOI MAINTENANT !!
-Alex: Sonia, je te la ramène plus tard...
Je regarda ma meilleure amie... Mais qu'elle conne ! Elle bougeait ses hanches et souriait comme une fille en chaleur ! Bon... Je dois me débrouiller seule...
Je rua de coups de poing le dos musculeux d'Alex mais celui-ci prit cela à la rigolade... Il monta sur sa moto, a fin de me tenir contre son torse, et démarra à une vitesse folle...
Je me retenu par sa veste... Et je pouvais sentir qu'il souriait... Son odeur fit chamboulé tout mes sens, je ferma les yeux pour en profiter le plus possible.
Après quelques minutes, sa moto, non... SON ENGIN DE LA MORT, s'arrêta. Je descendis précipitamment et scruta les environ, seuls des grands arbres que je reconnu grâce à leurs tailles me firent conclure que nous étions dans une forêt... Je me retourna pour faire face à son visage malicieux...
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Without Limits ?
Romance"Mais le bonheur comme la souffrance connaît une limite... Et se fut avec la même souffrance que l'on ressentait lorsque l'on vous arrache ce que vous avez de plus précieux au monde, ce que vous avez pour vous maintenir en vie... Que les portes se r...
