Point de vue de Maya Miller.
— Hum.... Bébé...?
Je ne me retournai pas et continuai à me mettre du mascara en me regardant dans le miroir de la salle de bain. Adjacente à la chambre.
—bonjour, bien dormi ?
Je passai du gloss sur mes lèvres avant de sortir de la pièce. J'observai Tim délicieusement emmêlé dans les draps, sa tête appuyé sur son coude et son regard plissé dirigé vers moi. J'esquissai un rictus en coin avant de glisser à ses côtés, embrassant ses lèvres chastement.
—Tu fous quoi réveillée à... Il prit son téléphone, huit heure du mat' ?
—Et bien..., mes doigts marchèrent sur son torse, j'envisageai d'emmener Théo voir ma Mamie. Et puis...
Dois-je lui dire que Théo va également voir son papa ?
—Et puis...?, me pressa-t-il.
—De manger une glace avec le père de Théo.
Je me levai du lit et me dirigeai vers l'armoire afin d'en extirper une veste.
—Attends... C'est une blague ?
—Tim, soupirai-je en tenant deux vestes, Théo a bien le droit de passer son temps avec son père. Dis, la bleu ou la rose ?
—La rose, me pointa-t-il du doigt. Je sais très bien... mais
—Mais...?
Il me balança un oreiller avant de se lever in extremis. En l'espace de quelques secondes, mon corps se retrouva plaqué sur le lit avec un corps chaud posé planant au-dessus.
—Je voulais passer la journée avec vous deux.
Ses lèvres glissèrent sur mon épiderme et ses dents mordillèrent tranquillement ma peau avant de l'aspirer.
—Tim, je riai doucement, tu vas me foutre en retard.
—Toi aussi.
—En quoi ?
—Ashley a encore fais des crêpes. Et si je bouge pas avant neuf heures, tu peux être certaine qu'Ethan les bouffera tous.
Je déglutis avant qu'il ne se lève et passe un chandail sur son dos.
—Quel goinfre...
—Pas de bêtises surtout avec l'autre là.
Je levai les yeux au ciel avant de prendre mon sac à main et avant de sorte de la chambre, Tim me lança:
—Et puis, pourras-tu prendre en photo sa réaction en découvrant mon cadeau ?
Je me retournai vers lui, les sourcils fronçaient.
—De quoi tu parles ? Quel cadeau ?
Pour toute réponse il mordilla sa lèvre inférieur avant de marcher lentement vers moi. Il joua avec le premier bouton de ma veste avant de sortir de la pièce, me laissant inquisitrice.
Je me dirigeai une nouvelle fois vers la pièce adjacente au lit et m'observai dans le miroir.
—Mais.... Espèce de trou du cul !
Je descendis avec colère les escaliers et retrouvai mon petit-ami. Celui-ci était attablé au plan de travail, une assiette de crêpes en main et un sourire victorieux aux lèvres.
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Without Limits ?
Roman d'amour"Mais le bonheur comme la souffrance connaît une limite... Et se fut avec la même souffrance que l'on ressentait lorsque l'on vous arrache ce que vous avez de plus précieux au monde, ce que vous avez pour vous maintenir en vie... Que les portes se r...
