07/01/2015
Point de vue D'Alexander Hanson.
Chez les Hanson.-Putain, qui peut bien venir me faire chier à cette heure-ci ?
Je m'approchai de la porte et lorsque je l'ouvris, je fus surpris.
-Faut qu'on parle. Maintenant.
Je la regardai, d'une part étonné qu'elle soit ici, les cheveux trempés dû à la pluie bâtante et simplement vêtu d'un jeans déchiré au niveau des genoux, d'un pull gris enfin si l'on faisait abstraction sur les gouttes d'eau qui s'étaient imprégnés à travers le tissu... Et d'une autre part, j'étais heureux..
Heureux de revoir ses yeux, ses deux océans de pureté dont j'avais l'impression de les avoir vu il y a de cela une éternité, ses joues légèrement rosies, ses pommettes couvertes de tâches de rousseur absolument adorable, son petit nez tout mignon et ses lèvres... Dieu, de pures merveilles qui n'étaient désormais interdites...
Il ne fallait pas qu'elle reste ici.
Il fallait que je résiste.
Elle et moi, c'est impossible..
Sinon, elle souffrira.
Et je serais près à lui dévoiler une nouvelle facette de ma personne.
Pour qu'elle me haïsse.
Point de Vue de Maya Miller
-Qu'est-ce que tu veux, Maya ?
Je sens que cette conversation va partir en cacahuète. N'ai-je pas tord ?
-Je voulais qu'on discute de nous...
Il souffla bruyamment et fixa ses iris chocolatés dans les miens, aucune expression n'y reflétant.
-Je n'ai rien à te dire.
Une partie de mon cœur me disait que c'était une erreur, que je n'aurais jamais dû revenir. Mais l'autre partie me disait que se n'était pas fini, qu'il y avait de l'espoir.
-Ce n'est pas finis... Murmurai-je d'une toute petite voix.
-Mais bordel faut te le dire comment, hein ? Il souffla de frustration avant de me lancer un regard haineux, ce qui me fit reculer d'un pas, toi et moi, tu l'oublies d'accord. Maintenant dégage et fous moi la paix !
-Mais putain qu'est-ce qui c'est passé merde ?! J'éclatai de colère, laissant la rage m'envahir et mettant ma peine de côté, pourquoi refuses-tu de m'expliquer ?! Qu'est-ce que tu caches ?
-Rentres chez toi.
Il se retourna, s'apprêtant à me tourner dos pour refermer la porte, mais je n'étais pas de cet avis: j'attrapai son avant-bras, le retournant brutalement vers moi.
-Dis le moi dans les yeux Alex. Et devant son froncement de sourcils, je précisé, dis moi que tu ne ressens plus rien pour moi et je m'en irais.
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Without Limits ?
Romansa"Mais le bonheur comme la souffrance connaît une limite... Et se fut avec la même souffrance que l'on ressentait lorsque l'on vous arrache ce que vous avez de plus précieux au monde, ce que vous avez pour vous maintenir en vie... Que les portes se r...