J'étais maintenant en SVT à côté de Bastien (le gars à qui j'ai mangé un bout de pain). Il me faisait chier avec son morceau de pain à la noix.
-tu me dois un morceau de pain: me dit Bastien pour la millième fois.
Vous allez sans doute dire; bon elle va l'ignorer et c'est bon. Et ah non, Jenna Walker ne fait rien dans le détails. Je me lève donc de ma chaise énerver et lui crie calmement:
-PUTAIN MAIS TES CON OU QUOI? TON PAIN IL EST DANS MON BIDE ET COMME JE VIENS DE TE LE DIRE SE N'EST QUE DU PAIN IDIOT TU VAS EN REMANGER DEMAIN ET APRÈS DEMAIN ALORS TA GUEULE!: dis-je énerver.
Plus personnes avaient parler, à par Mr Bronkil pour me dire "chez le directeur Mme Walker" avait t'il dit brutalement. Et c'est comme ça que je me retrouve en se moment devant la porte de la directrice. Je suis tellement polie et aimable que je frappe à la porte comme une grosse dingue. "Entrer" crie t'elle de son bureau. J'entre donc avec un magnifique sourire (qui est totalement faut) qui veut dire; je suis la victime dans tous ça c'est pas de ma faute mais la sienne.
-Mademoiselle Walker, que me vaut ce plaisir?: dit-elle ironiquement.
Belle blague! Elle veut joué aux ironies on va jouer.
-la professeur ma dit de vous rendre une petite visite amical: dis-je tout sourire.
Elle perd son sourire pour prendre une forme de mécontentement.
-je ne vois pas ce qui vous fait rire Jenna: dit-elle en croisant les bras.
Elle voit pas? Bah je vais lui dire.
-vous dites toujours la même phrase pour impressionner vos élèves, mais sa ne marche pas avec moi, voilà se qui me fais rire: dis-je en mettant mes mains sur son bureau.
Elle paraît surprise de mon tact. Elle va devoir prendre l'habitude.
-sortez de mon bureau, ! Et que sa ne se reproduise plus: dit-elle agressivement en replongeant la tête dans ces feuilles.
Par ordre de la directrice, je sors de son bureau. Je pense qu'elle ne m'aime pas. Mais bon, de toute façon comme tout le monde le dit je suis LA "bad girl" du lycée. Honnêtement ce "titre" je m'en fous comme mes chaussettes. Je savais que des filles étaient jalouses de moi; beaucoup de gars me regardaient, j'étais dans le groupe des "populaire" et j'avais l'honneur de merde d'être considérée comme une Bad Girl. Franchement ce mot voulait dire quoi? Je pouvais avoir des heures de colle gratuites? Me battre quand je veux? Sortir avec tous les mecs que je veux? Voilà ce que les gens pensaient d'une Bad Girl. Ils avaient fait. Une Bad Girl est belle, simple, elle a son propre stylé, elle se fout du regard des autres, elle peut être gentille comme être une salope, elle est aimable et respectueuse avec les personnes qu'elles aiment. Je n'étais pas une Bad Girl, j'étais juste la fille banale et trop honnête comparer aux autres faut cul de ce lycée. De nos jours les personnes sont classées dans des catégories. J'étais dans celle de la Bad Girl et Cameron dans celle du Bad Boy. Je me surpris à penser à quelle catégorie Jolina faisait partie. Bad Girl, Gentille, Salope, Geek, Joyeuse, Timide, autre. Voilà quelques catégories où nous les femmes étions placés. Eux, les hommes, aussi avaient leurs catégories, mais là maintenant je m'en cogne.
J'hésitais entre retourner en cours de SVT ou de rester sur un banc dehors. Je décide rapidement de m'asseoir sur un banc pour ne pas croiser la tête de con, Bastien. Cet journée se passait pourtant si bien. Pourquoi une personne sans importance dans ma vie la gâche aussi facilement? Es ce que j'aimais Cameron? Oui. Mais es ce que lui m'aime? Pas sûr. Je n'ai jamais eu de relations, c'est ma première. C'est peut être pour cela que je me pose autant de questions qui reste sans réponse. Cameron n'était pas le mec parfait, mais c'est celui que je voulait éperdument. Il m'avait tout prit pour le moment sauf une choses. Et j'avais peur qu'il la prenne. J'avais aussi très peur qui découvre mon passé. Je savais que je le mettais en danger, j'ai pourtant essayé de résister. Je n'ai pas réussi c'est une évidence. Je me surpris à penser à mon père. Que fait t'il? Essaye t'il de me retrouver? Boit-il toujours autant? Il fallait que j'arrête de penser à ce monstre qu'est mon père. Il ne méritait plus rien de ma par, sauf de la rancune et du dégoût. Je savais que mon père était dangereux quand il était seul, mais quand il est avec ces amis il est mortel. Je me souviens encore que ces amis profitaient de moi. Ils ne m'ont pas pris virginité, non. Ils o t essayer mais n'ont jamais réussi. Ils abusaient de moi en me touchant des parties intimes dès l'âge de 14 ans. Mon père lui rigolait en voyant ça. Moi je pleurais. Je jalousais les filles qui avaient eu une adolescence normal comparé à la mienne qui catastrophique. Comment ma mère avait pu sortir avec ce monstre. C'est simple avant c'était un pépé gentil, drôle et respectueux envers son enfant qui n'était que moi. Les câlins qu'il me faisait quand j'avais peur. Les bisous sur le front qu'il me faisait le matin et le soir. Les mots doux qu'il me chuchotait quand je pleurais. Et tout a changé à ça mort. Des câlins au coup, des bisous aus attouchement déplacer, des mots doux aux injures. Ma vie avais été chamboulée. Je me demande si ma vie aurais été pareil si mon père aurait été Benoît...
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Tu m'appartiens Bad Boy
Teen FictionD'apparence Jenna est une adolescente banale et pleine de vie. Mais derrière ce masque se cache une jeune femme brisée par la mort de sa mère et les violences subit par son père. Ne supportant plus de vivre dans cet enfer quotidien, elle décide de f...