Chapitre42✔️

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Je fus interrompu de mes pensées par une personne qui mit subitement ces mains sur mes yeux. Qui sa peut être? Cameron est en cours avec Valentin. Et Antoine avec Mike. Il ne reste que Simon je crois. Autant oser, et si c'est faut bah...je m'en fou.

-Simon?: dis-je hésitante.

La personne ne dit rien. Ok. Si c'est Cameron il va me tué. J'enlève les mains qui sont sur mes yeux brusquement et me retourne. J'étais angoisser à l'idée de savoir qui c'était. Mais j'aurais aimé voir Cameron cet fois, ou même Antoine, avec qui je parle très peu. Enfaite tout le monde sauf lui. Par peur je commençais à reculer doucement. Terrorisée, j'essaie de marcher à reculons plus vite. Ça faisait longtemps que je ne l'avais pas vue. Et j'aurais aimé que ça se prolonge encore un peu. Mon père n'a pas perdu de temps à me retrouver. Je remarque qu'il donne toujours son sale boulot à ces amis. Mais comment à t'il fait pour me retrouver? Enfin comment ils ont fait? Je pense que je vous dois une petite explication; alors mon père travaillait dans une boîte intermédiaire qui s'appelait Wandshive. Cet boîte était basé sur la technologie, l'informatique et tout ça. Il n'y avait que des hommes, aucune femme. Après la mort de ma mère la boîte est devenu comme une secte. Ils n'avaient pas de tatouages ou de vêtements assorti ou je ne sais quoi. Ils avaient juste un nom de code; Jenna. Bizarre? Oui. Ils voulaient ma mort, et ma tristesse. Enfin ils voulaient que j'aille que des sentiments négatifs. Maintenant qu'ils sont positifs ça a dû les alarmés vue qu'ils m'ont retrouvés sans aucune difficulté. Et alors je savais que c'était trop tard. Mes amis étaient déjà en danger, et j'étais la seule à pouvoir les protéger. Ils seraient prêts à tout pour que je sois malheureuse, même à tué mes amis. Même à tué Cameron. J'étais coincé, j'étais la poule et eux les renards. Je les connais tous, et lui c'est Joy. Grand, musclé, barbu, regard noire, tatouage à l'avant bras, informaticien. J'avais déjà eu à faire à lui étant petite. Il avait de sacrés muscles. Je parle en connaissance de cause bien sûr. Il n'avait pas essayé de me toucher, il m'avait juste cassé le nez. Rien de très méchant jusqu'ici. Je ne le voyait que très rarement. C'était le plus intelligent et le plus fort de leur "équipe". Il ne parlait pas beaucoup en vérité, je pense qu'il analyse beaucoup. Enfin en plus d'être intelligent et fort c'est l'homme le plus sadique que je connaisse. C'est sans doute pour ça qu'il m'analyse, pour savoir se qu'il va me faire par la suite. Paralysée je cherche le moyen de faire fonctionner mes jambes pour qu'elles courts. Se qui n'est pas gagné pour le moment on dirait. J'aimerais qu'il parle pour combler le vide. Et pour ne pas entendre mes pas ou mes tremblements, qui sont de plus en plus bruyants. Mais rien. Aucun mot ne sortit de sa bouche, ni de la mienne. Alors je le fis en première.

-t-tu enfin v-vous eh c-comment: essayais-je de prononcer.

Il ne répondit pas et rigola à la place. Toujours aussi heureux Joy.

-t'inquiète pas Jéjé je suis seul cette fois: dit-il avec un sourire sadique.

Se surnom "Jéjé" me fis froid dans le dos. Sans savoir pourquoi mes jambes fonctionne enfin. Alors de toute mes forces je me mis à courir vers la sortie du lycée. Je ne savais même pas si il me suivait ou pas. Et sans que je sache pourquoi, je commençais au fur et à mesure de courir plus vite.

Le vent s'emmêlait dans mes cheveux brun. Mes vêtements virevoltait dans tous les sens. Mes cheveux lisses s'emmêlait de plus en plus. Mes talons cognait contre le bitume frais. Mes yeux grands ouverts regardait l'horizon. Ma bouche était sèche à cause du vent.

Je suis sûr que mon professeur de sport serait heureux de me voit courir autant. Lui qui me déteste, il serait étonné et surpris. Même moi je suis surprise de ne pas avoir de pointe de côté. J'étais pas non plus la fille anti sport. Non. C'est juste que je préfère décidé de quand j'en fais. Et de où j'en fais. Et à qu'elle heure j'en fais. Et de pourquoi je le fais. Je reconnais que je suis très chiante en matière de sport. Et pas que en sport remarque.

Enfaîte tu es chiante dans tous les domaines.
me dis ma conscience.
Ta gueule je suis la meilleure.

Je regarderais derrière moi. Rien. Il n'était pas là. Il ne m'avait donc pas suivit.

Malheureusement je ne savais pas vraiment ou j'étais. Alors je continuais de marcher tout droit, à l'aveugle. Se qui commençais à me gonfler vue que je me retrouvais dans une forêt au beau milieu de nulle part. Et en plein mois d'octobre je me l'ai gel là. De plus je viens de tomber. Pour éviter de tomber une seconde fois, j'enlève mes talons. Je suis maintenant pied nu. Je suis donc plein de feuille et de gadoue. Super. Je regarde mes vêtements et remarque un trou au genou et je saigne au coude. J'ai quelques éraflures mais rien de grave. Enfin je crois. Je suis vraiment dégueulasse. Un vrai port. Et j'ai complétement oublié de prendre mon sac. Super...

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DÉSOLÉ DU RETARD MES LAPINS JE REVIENS EN FORCE PROMiS, ET POUR CEUX QUI DEMANDE JE PUBLiE LE 23

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