Grand-mère de Palavra en media (libre à vous de vous imaginez quelqu'un d'autre )
(Au risque que le média ne s'affiche pas )
- Tu est en retard. Prononce Katherine en guise de bonjour. J'ai faim alors grouille toi. Continua sa mère
Palavra s'executa immédiatement. Sa mère était belle,elle avait les yeux bleus les cheveux noir, elle était blanche. Oui elle était belle de l'extérieur du moins,mais en réalité cette femme était moche tout comme son beau-père bon il n'était pas si moche il était banal brun au yeux bruns pas musclé mais pas gros non plus. Ils s'acharnaient jour et nuit sur elle. Aujourd'hui elle y était habituée mais au début elle pleurait mais elle s'est rendu compte que ça ne servait à rien. Elle était en quelques sortes devenue la bonne. Sa mère lui avait tout interdit mais elle avait réussit à avoir le droit de lire les lettres de sa daadee ( grand mère ). Chose qu'elle lui a autorisé à son plus grand bonheur. À cette époque elle ne parlais pas déjà, elle avait très bien compris que se défendre était comme Richard le dis si bien inutile.
- J'AI FAIM MOI !! Hurla Katherine en la sortant de sa torpeur.
Palavra arriva avec le plat puis quitta la salle à manger. Manger avec sa mère et Richard faisais partie des chose qui lui était interdite. D'ailleurs qu'est-ce qui lui est autorisé ? Oh et puis peut importe tant qu'elle peut manger, boire, respirer et lire les lettres de sa daadee elle est heureuse. Palavra s'apprêtait à se servir mais des mains baladeuses virent se positionner sur ses fesses . À ce contact la jeune fille se rêdit.
- Le repas était délicieux mais j'ai ici devant moi quelque chose de plus appétissantVomir. Était la seule chose à laquelle elle pensais. Et dire qu'elle voulait juste manger, s'était raté. Bon plus important maintenant s'était ses mains plus que dérangeantes. Se débattre; inutile elle était aussi forte que ... le néant. Lui il était pas si fort que sa elle avait connu beaucoup plus fort son corps s'en souvient.
- Alors puisque tu ne te débat et ne proteste pas je suppose que je peux continuer. Dit il en continuant sa course jusqu'à son intimité où il entreprit de faire des vas et viens entre son point sensible et son entrée.
Normalement en tout cas selon les dires elle devait y prendre du plaisir mais rien elle ne ressentais rien . Bon sang mais quand allait il s'arrêter et puis zut. Palavra joua le jeu et quand cet idiot était sous le "charme" elle lui donna un coup la où ça fait mal. Elle ne peut s'empêcher de faire échapper un petit rire en le voyant plier en 4. Il ne fallait pas toute la force du monde contre un homme finalement il suffit juste de frapper là où il faut. Bon il serait tant de déguerpir avant que Madame n'arrive. Palavra pris son plat puis se dirigea vers sa chambre. Quand elle pensais pouvoir enfin manger Madame se décida à la déranger encore.
- Mon assiette ne se débarrassera pas toute seule
- Et la mienne aussi. Hurla aussi Richard
Donc La jeune femme descendit pour aller débarrasser et faire la vaisselle par la même occasion. Elle monta rapidement dans sa chambre et sauta littéralement sur son plat devenu tiède mais sa ne la dérangeait pas elle avait tout connu allant de la maltraitance,en passant par l'humiliation au kidnapping et oui elle avait été kidnappée pendant deux semaines.Bien évidemment qu'est-ce que sa génitrice à fait rien en tout cas jusqu'à se qu'elle aie besoin d'une bonniche. Là elle s'est décidée à avertir la police. Quand elle l'a retrouvée, elle l'a fait l'hypocrite devant les policiers puis dans la voiture elle s'est mangé des insultes à tout vent elle se rappelle encore d'une de ses phrases...Flash back :
Après les pleurs hypocrite de sa mère la " famille" se dirigea vers la voiture.
- Sérieusement il a fallut que j'ai une fille qui se fasse kidnappé à cause de toi mon maquillage à couler se plegnit Madame
Palavra commença à tousser et cracher du sang.
- Quoi je dois en plus déboursé de l'argent pour toi, et arrête tu vas tâcher les sièges. Se plegnit elle encore
- Allons à l'hôpital. Intervint Richard
Katherine souffla.
- Hé tu sais comment me rendre heureuse.Oh elle en avait tellement envie peut être que tout redeviendra comme avant . Palavra hocha la tête
- Quand on arrive à l'hôpital on simulera une chute d'escalier. Toi tu fais genre que c'est vrai. En aucun cas on doit penser le contraire.Hein ?!
- Non les blessures sont trop importante pour ça. Répondit Richard pendant que Palavra elle ne comprenais rien
- Alors je sais pas moi on fait quoi ! Commença-t-elle à s'énerver .Mais pourquoi devoir faire quelque chose autant dires la vérité?
- On verra sur place de toute les façons elle ne nous contredira pas puisqu'elle ne parle pas
C'était quoi tout ça . Elle voulu protester mais ce n'étaient que des gémissements qui parvinrent à sortir de sa bouche. Ça faisais des années qu'elle ne parlais plus pourquoi s'y mettre maintenant. Depuis la période de la tentative de viol Palavra avait demeurer dans le silence elle avait bien essayé de reparler mais ses tentatives lui ont coûté d'affreux meaux de ventre. Son organisme à finalement lui aussi , en plus de sa conscience cru à son mutisme.
Dans l'hôpital Richard et sa mère avait fait avaler un mensonge au médecin. Palavra était hospitalisé pendant une semaine. Sa mère à jouer -encore une fois- la mère aimante mais des que le médecin était parti elle enleva son masque
Pourquoi devons-nous mentir? Palavra essaya tant bien que mal de poser sa question mais un mal de ventre lui pris et c'est une fois de plus des gémissements qui sortirent. La réponse de sa mère à ses gémissements était des plus inattendues
- Richard regarde elle essaye de parler mais elle n'y arrive pas. Pauvre d'elle,elle ne comprends toujours pas que parler est inutile puisque personne ne l'écouteraFin du Flash back.
Depuis ce jour Palavra en plus de ne plus parler elle se sentais vide, tout se qui l'entourait n'avait plus d'importance. Rien n'avait plus d'importance sauf les lettres de sa daadee bien sûr. À cette époque Palavra c'était rendue compte que la personne qu'elle pensait être sa mère, la personne qui est censée l'aimer était au courant de la tentative de viol cette histoire qui l'avait clouée au mutisme, elle était au courant mais continuait à la blâmer. Oui elle se sentais vide, vide d'émotions, vide de tout. En plus à l'école elle n'avait pas d'amis. Puis son harcèlement qui lui faisait déjà souffrir n'a fait que doublé on l'appelait la "muette". Le harcèlement n'a certe pas cessé mais grâce à son masque impassible ça l'aidait à surmonter, s'était épuisant heureusement qu'il ne restait 1 mois de cours et puis l'université lui ouvrait ses portes. Enfin si sa mère voudra bien payer les frais sinon bonjour petit boulot par si par là. Elle n'eut guère le temps de penser plus que sa mère l'appelait. Palavra referma la lettre de sa daadee. Encore une fois elle lui racontait comment se passait une journée en Inde. C'était l'unique chose qui lui faisait ressortir une quelconque émotion, le reste étant fade.
-TU TE DÉPÊCHE J'AI PAS TON TEMPS !! VIENS SORTIR LA POUBELLE ET ACHÊTE MOI DES CIGARETTES EN PASSANT!! Hurla encore une fois sa mère.N'avait-elle donc aucune pitié même pour ses cordes vocales. Elle regarda l'heure: 23h .Les éboueurs ne sont il pas déjà passer et puis le Night Shop le plus près, n'est pas du tout près. Palavra pris la poubelle , l'argent avec elle et s'apprêta à sortir quand sa mère l'arrêta.
- Essaye de prendre quelques chose en plus et tu verras. La menaça-t-elleComme si elle allait s'y risquer cette dame connais les prix des paquets de cigarettes comme son prénom. Bref Palavra sortit jetée la poubelle -les éboueurs n'était pas passer- bizarre mais bon. Sur le trajet du Night Shop , la jeune femme avait cette impression d'être observer pareils pour le retour. Elle n'y prêta pas attention surment qu'elle était paranoïaque à cause de son dernier kidnapping dont la cause reste encore un mystère. Ses doutes se confirmèrent lorsqu'elle rentra chez elle intacte. Mais se qu'elle y découvrir ne la laissa pas de marbe...
Daadee...
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Dernier espoir
Ficción GeneralPalavra est une jeune fille de 18 ans , qui a la vie dure , entre les coups et humiliations de sa mère Katherine et les avances de son beau-père Robert, son seul moment de répit est les lettres échanger avec sa belle mère . Dans ce tourbillon de ma...