CHAPITRE 5

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Papa de Palavra en media (libre à vous de vous imaginez quelqu'un d'autre )
Nda( note de l'auteur )  : je vais utiliser la même forme de dialogue (c'est à dire tiret puis phrase dites par personnages) que les autres personne pour Palavra également cela ne veut pas dire qu'elle parle c'est pour m'éviter de tout le temps de dire qu'elle écrit. Voilà bonne lecture.

-Aapake aane ka kaaran bataane ka samay aa gaya hai... je vais te raconter l'histoire de ta famille...
- Mais je connais ma famille? Répondit-elle
- Mais connais tu tes origines. Je ne crois pas alors laisse moi continuer.

Palavra hocha de la tête. Elle savait que quand sa Daadee parlais anglais c'était pour que le message soit bien compris étant important.

- Avec l'apparition du Boudisme des temples se sont formés sous le commandement d'un plus grand, le notre celui des Sultana. Il y en a également 3 autres en Chine, Japon et Vietnam. En apparence, ces temples était de simple temples bouddhistes mais en réalité c'était tout autres. Les enfants de ses familles était entraînée autant mentalement que physiquement pour devenir des guerriers homme et femmes. En outre ces temples était aussi des mafia qui commerçait avec l'étranger. Nous étions respecter et puissant. Aujourd'hui notre rôle se limite juste à mafieux et influenceur politique et économique. Raisons pour lesquelles Katherine te voulais au prêt de toi. Normalement tu devais être entraînée depuis tes 5 ans mais il y a eu des circonstances qui on fait que tu ne le soit c'était beaucoup trop dangereux depuis la mort de ton père à tes 7 ans.

Parvana pris une pause puis repris.

- Tout partie dans du grand n'importe quoi. La mafia n'avait plus de chef. Les gens voulais s'attaquer à la mafia. Ils ont proposé de t'avoir comme monnaie d'échange alors nous t'avons emmené en Angleterre c'est un pays neutre. Donc ils ne pouvait plus rien faire . Mais il nous fallait un chef alors je suis venue te récupérer pour que tu puisses t'entrainer et cette entraînement sera des plus intensif , tu as des réflexes mais ce n'est pas suffisant. Alors on commencera dans 1h.

C'est vrai que Parvana avait des réflexes et elle trouvais ça bizarre et ses camarades n'ont pas louper l'occasion  de le lui faire remarquer alors elle a cru que c'était bizarre et à essayer de les contenir. Maintenant elle comprenait. Palavra partie se préparer. Parvana s'attendait à une réaction, n'importe laquelle. Mais rien, bon elle n'allait pas parlementer pour avoir une réaction à deux balles alors elle laissa Palavra se préparer.

Palavra quant à elle se disait que réagir de manière puéril ne servait à rien. Non la vrai raison c'est qu'elle ne ressentais comme d'habitude rien. Ça ne la faisais ni chaud ni froid. De plus elle n'avait rien à faire, ne connaissais personne en Inde, et ne connaissais pas l'Inde tout court alors , fuir, s'énerver ou autre truc aussi inutile les uns que les autres n'avait pas lieu d'être si elle ne voulait pas se retrouver dans une situation des plus délicates. Tout se qu'elle voulait éviter, Palavra n'aimais pas les problèmes. Alors si elle devait faire quelque chose pour en éviter elle le ferais. Si bien évidemment, ça ne l'empêchait pas de s'alimenter, dormir, et respirer elle s'en foutais. La jeune femme arriva à sa salle de bain ou plutôt une sorte de magnifique salle avec un creu au milieu. Sauf que la elle était remplie de ... De lait ?! Ok. De toute façon elle n'avait pas le temps de se poser plus de questions-ni l'envie d'ailleurs-qu'elle sentit des mains la déshabiller. Elle se retourna et vu qu'une domestiques entreprenait de la déshabiller. Alors Palavra lui fit signe de ne pas en prendre la peine et de la laisser seule. Chose qu'elle fit. Palavra se déshabilla toute seule et entra dans le bain. C'était agréable. Mais quelque chose la dérangeait cette sensation d'être observer encore. Elle n'y prêta pas attention car ce pourrais être une servante qui n'était pas partie. Et encore une fois elle avait raison une domestiques lui dis qu'elle devrait bientôt quitter le bain et qu'elle reviendrait pour la rincer puis elle sortit mais la sensation d'être observer persistait. Cette fois-ci elle y prêta attention, des gardes impossible pas ici peut-être devant la porte mais pas à l'intérieur. Alors qu'est ce que c'était ou plutôt qui c'était ? Palavra n'eut pas le temps de se poser plus de questions ni d'y trouver réponse que la servante arriva. Elle ne voulait pas sortir pas avec cette sensation d'être observer alors elle nagea jusqu'au bort puis pris une des serviettes se la mise autour puis sortit une fois sortit elle mis le peignoir et enleva la serviette mouillés.

Dernier espoir Où les histoires vivent. Découvrez maintenant