CHAPITRE 9

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Palavra était dans son bain... toujours observée pour changer, bientôt elle discutera avec cette personne. Mais impossible à moins qu'elle ne veuille cracher à sang dans son beau bain blanc. C'est calme. Elle pouvait reposé ses mains en ce lieu. Écrire tout le temps est difficile. Une de ses domestiques lui avait proposé de lui masser les mains. Elle avait accepté à condition d'arrêter quand  sa domestique en avait marre.

- Madame.

Palavra se retourna le regard dur. Elle avait interdit aux domestiques de l'appeler ainsi à cause de sa tante et aussi parce qu'elle n'avait pas besoin de se surplus de respect.

- Palavra il est temps de te raincer.

Palavra sortit alors du bain. Dalida, sa servante personnelle, et celle de sa mère avant elle, se dépêcha de lui mettre une serviette autour d'elle. Comment pouvait-elle se valser nue alors qu'elle se savait observée.

- Je me demande Palavra, comment fais tu pour sortir du bain te sachant observée. En plus avec ton expérience avec les hommes. Et la pudeur dans tout ça. Ton corps consacre le à ton mari. Lui seul peut le voir. Enfin c'est le seul homme hormis ton père qui peut le regarder et l'observer.

- Alors je ferais en sorte que cette personne si elle est un homme soit mon mari.

- Q-quoi ?! Et l'amour dans tout ça ?

- Cette amour là... On à essayer de me le voler à mainte reprise alors pour ne plus à avoir qu'on me le vole. Je l'ai fais disparaître ainsi que tout les sentiments.

- Tu ne te sens pas vide. Lui demanda Dalida en allant vers la salle d'eau.

- Non.

- Pas même une fois ?

- Si devant la tombe de mes parents.

- Ah que les dieux soit loué cette enfant est récupérable. Mais ne confond pas sentiments avec ressentis. Le jour où le désir frappera à ta porte ne le bloque pas l'entrée car sinon c'est ton partenaire que tu frustra en plus de toi.

- C'est moi ou tu me parle du désir charnel.

- Bah oui. Aller va te laver.

30 minutes plus tard elle était prête. Habillée d'une combinaison Fila moulante et de sneakers de la même marque elle était prête. Les cheveux c'était une toute autre histoire vu la longueur il à été difficile de faire une coiffure solide et pratique. Mais il avait réussit.

La dernière épreuve consistait tout simplement à aller sur le terrain pour de vrai mais sans garde ni rien. Il était 10h du matin. Elle avait jusqu'à 21h. Sur le chemin elle rencontra sa daadee c'était le moment de lui poser une question. La question qui lui trottait et celle où elle était sur d'obtenir réponse.

- Salut Palavra.

- Daadee comment s'appelle l'homme au yeux gris bleu turquoise, qui s'occupait des poules.

- Monsieur Azzaro.

- Ok merci. À ce soir.

- ...

- Daadee

- Oui.

- Ça va ?

- Oui.

- À ce soir.

- ...

Palavra devisagea sa grand-mère d'un oeil. Elle ne répondait pas c'était  bizarre. Mais bon il fallait qu'elle commence cette mission. Elle se dirigea vers le garage. Elle pris les clés de sa Range Rover Sport et s'installa à l'intérieur. Sa mission était de superviser une transaction entre la mafia dominicaine le donneur et la mafia Russe le receveur, pour que tout se passe dans les règles. Il y avait 4 grandes mafias et celle des Sultana était la police de toutes les mafia du monde comme les trois autres, on les appelait chevalier, donc à chaque transaction ou autre ils se devait d'être présent. Arrivé au lieu elle se gara et marcha vers le Q.G . Normalement c'était un de leur Q.G à eux et il était rempli de garde mais là spécialement pour son épreuve elle était seule.

- Oh mais qui va là. Ne serait-ce pas l'héritière de Zayn Sultana. Pour son épreuve finale. Vous vous prenez tellement de haut.

Palavra montra une de ses pancartes pour que la personne qui parlait puisse la lire. Mais puisqu'il n'y arrivais pas elle lui balança la feuille.

- On ne se prend pas de haut vous vous rabessez juste. Lit l'homme.

- Tu veux mourir.

- Commencez la transaction. Ordonna Palavra sur sa pancarte

- Tuez la.

Un homme s'approcha d'elle accompagner de deux autres. Palavra expulsa les deux accompagnateurs et attrapa le dernier par la gorge en lui pointant l'arme qu'elle lui avait préalablement prise.

- T-tu n'oserais pas tirer.

La jeune mafieuse fit un mouvement de la tête pour l'inciter à commencer. L'autre gang était plutôt calme comparer à celle de république dominicaine. En même temps c'était celle qui devait recevoir la marchandise. Quand à l'homme qu'elle avait en main. Elle le tua. Car si ce n'était pas elle se serait l'une des 4 mafia.

Le chef des dominicains était sous le choque.

- Si ce n'était pas ce serait l'un des 4 cavaliers. Dis le chef de la mafia Russe. Baronne venez vous installer.

Il y avait un siège sur la largeur de la table. Les mafia étant sur les longueurs.

- Bon commençons.

- Attendez . Comment pouvez vous,  vous pliez aux ordes d'une muette.

- Pedro tu sais comment ça va se terminer si tu ne reste pas calme en présence de la Baronne.

- Elle ne l'est pas encore.

- Oui mais elle n'en demeure pas moins héritière.

Long.

- Mais oui une muette.

- T'es tu au moins informer elle n'est pas muette.

- Alors parle Palavra.

- Comment ose tu la tutoyer. Et l'appeler par son nom.

Problème réglé la transaction était terminée. Palavra se leva plus charismatique que jamais. La première règles était de ne jamais appelé un membre de la famille de l'une des 4 mafia par leurs prénoms. Sous peine....

- Elle n'osera pas.

- Souviens toi mon ami la dernière fois que tu as prononcé ces mots.

Palavra pris son pistolet cette fois-ci. Et l'a pointa sur le chef de lamafia de la république dominicaine. Celui ci deglutit difficilement. Car il connaissait sa sentence. Pourquoi avoir agit de la sorte, Palavra ne comprendra jamais. Elle abaissa le chien, puis appuya sur la détente. Le coup parti et le chef dominicain s'effondra. Le reste de la mafia savais ce qui leur restait à faire. Ils prirent la marchandise et la donna à la mafia Russe. Puis Palavra partie.

Car la peine pour appeler un membre de la famille de l'une des 4 mafia par son prenom était la peine de mort pour celui qui le prononçait et en cas de transactions la marchandise était directement donner au receveur ou était garder par le donneur. Le receveur ne donnait pas d'argent et le donneur n'en perdait pas. Ce cas si était un peu spécial puisque c'est le chef de la mafia qui était mort.  Un gang sans chef ne sert à rien alors le gang était sous la responsabilité de la partie en face donneur ou receveur. Bien sûr sa mafia allait tout superviser pour qu'il n'y ait pas de désobéissance.

Elle qui pensait qu'elle n'aurait pas de garde du corps eh bien le chef de la mafia Russe l'avais défendue. Mais aucune récompense ne lui sera accordée car les 4 mafias protègent les autres. Alors c'est donnant-donnant. Elle voulu rejoindre sa voiture mais une seringue dans son coup la stoppa. Elle vit trouble, puis plus rien... On l'avait kiddnaper encore...






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