Dernier espoir

CHAPITRE 8

- Je veux voir leur tombe.

- D'accord. Quand veux tu y aller ?

- Le plus tôt sera le mieux.

- Demain matin nous partirons alors.

- Très bien .

Après cette disscusion Palavra alla diner puis se laver.

Encore observée... pensa Palavra.

Il était vrai que depuis son arrivée cette sensation était quotidienne. Mais la personne qui l'observait était  inoffensive donc pas la peine de la chercher ni de paniquer. Palavra sortit de son bain et alla se raincer car oui elle n'avait pas arrêter les bains au lait. Après le rinçage et s'être habillée de son pyjama elle partit pour son rendez-vous avec Morphée en attendant le lendemain. Mais elle avait beau attendre Morphée lui avait poser un lapin ou était en retard. En tout cas Palavra n'allait pas attendre plus longtemps et se décida à courir. Pendant sa course elle se souvint que la dernière épreuve allait arriver et que donc son entraînement allait terminer. Devrait-elle rentrer chez Katherine ? Je ne crois pas puisqu'elle est majeur et que Katherine n'a jamais été sa tutrice. Sa grand-mère lui avait confié que chaque jour depuis que Katherine l'a emmené avec elle en Angleterre , elle maudissait sa tante jour et nuit. Bref, elle allait surment succéder à son père pour la mafia. Donc elle resterait en Inde.

Palavra avait fini de courir et dans les couloirs elle passa devant les appartements de sa daadee. Elle entendit du bruit. Une disscusion ? À cette heure? Non quand elle compris les paroles elle se rendit compte que sa grand-mère était en train de maudire sa tante. Alors la jeune femme toqua à la porte.

- Oui ? Entre.
- Je peux te rejoindre ? Demanda Palavra.
- Me rejoindre ? Questionna Parvana même si elle savait déjà. Elle voulait l'entendre.
- Tu étais en train de maudire ma tante. Je voudrais le faire avec toi je ne trouve pas le sommeil.
- Mais bien sûr.

Alors les deux femmes maudirent Katherine ensemble jusqu'à ce que Morphée arriva enfin au rendez-vous. Alors Palavra se dirigea vers la chambre de ses parents et s'endormit. Le lendemain Palavra se réveilla calmement , pour la première fois depuis longtemps, elle n'avait pas fait de cauchemar. Reposée, elle se dirigea vers la salle d'eau pour se préparer. 1 heures plus tard elle était prête. Elle n'était pas sortie souvent du domaine familial. Là ce n'était pas pour faire les courses où quoi non c'était plus important elle allait voir ses vrais parents.

Quelques heures plus tard ils arrivèrent. Palavra reconnu l'endroit... c'était celui de son rêve. Alors il était enterrée là. Mais qu'elle est l'importance de cette endroit pour qu'il y soit enterrée ?

- Cet endroit était celui ou tu as été conçu, celui que tu préférais le plus, celui d'une tradition et par dessus tout c'était celui ou ta mère a pour la première fois mis un des caleçons de Zayn. Dit Parvana calmement tout en se dirigeant vers la tombe.

Heu ok . Mais sinon elle comprenait l'importance de cet endroit. Mais il y avait un truc qu'elle n'allait pas ...

- Quelle tradition?

- On est arrivé et je te dirais ça un autre jour.

Palavra ne s'attarda pas plus et se dirigea devant la tombe elle vu une peinture de sa mère et son père. Elle resta un moment devant la tombe . Vidée et reposée, elle repensa à la Palavra de avant ses 13 ans. Pardon pensa-t-elle, elle l'avait abandonnée, elle s'était abandonnée, elle avait abandonné sa mère et son père, en abandonnant ses sentiments alors pour la première fois en trois ans elle pleura, non, celle qu'elle avait abandonné il y a 5 ans, pleurait pour elle, pour tout ses malheurs, elle lui devait bien ça, alors pour un instant elle la laissa s'exprimer pas seulement par ses pleurs elle voulait leur donner plus, en remerciement et en excuse pour leur prouver à quel point elle était désolée de s'être laissée tomber. Donc Palavra rassembla tout ses efforts et essaya de prononcer ces quelques mot, elle essaya à s'en tordre le ventre, les yeux larmoyants, elle essaya, même si elle avait mal, même si elle toussait à en cracher du sang, elle voulait le leur dire ses trois mots, elle le voulais tellement, pour celle qu'elle avait abandonné, pour ses parents elle le voulais.