Nassim : Ton kidnapping....c'est Richard qui l'a organisé.
Sincèrement à ce moment, je ne savais plus quoi faire de mon corps. Est-ce que j'avais envie de savoir pourquoi? Je ne crois pas, je ne sais pas. Est-ce que je lui en veux ? Je ne crois pas, je ne sais pas.
Nassim : Il tenait un gang minuscule sur la terre neutre. Ce n'était pas illégal, il pouvait. Mais il ne pouvait faire aucune déclaration explicite ou implicite de guerre. En t'enlevant, toi, la future Baronne de la 1e famille des cavaliers. Il a implicitement fait une déclaration de guerre.
Palavra : Alors pourquoi est-ce qu'il n'est pas mort ?
Nassim : Il a bien choisi son lieu on ne pouvait rien faire sur la terre neutre. On ne pouvait pas l'arrêter, ni le tuer. Juste te libérer de manière pacifique. Maintenant qu'il est en Inde, c'est un homme mort lui et Katherine.
Palavra : Qu'est-ce qu'elle a avoir dans tout ça ?
Nassim : Elle est complice. Elle a co-organiser le kidnapping. Il voulait une rançon car il avait la future Baronne et ma future femme. Ce qui fait que ça touchait toute les familles. Mais ne t'inquiète pas les 3 autres cavaliers s'en occupent.
Palavra : Pourquoi pas moi et ma famille, on ne peut pas s'en occuper aussi ?
Nassim : Je ne peux pas m'en occuper aussi. Nous nous devons d'être objectifs, s'il nous arrive d'être aveuglé par la haine et de commettre des erreurs notre réputation et notre autorité pourrait en pâtir.
Palavra : Je vais aller te faire à manger.
Nassim : Et mon bisou ?
Je me retournai pour voir s'il était réellement sérieux. Et figurez-vous que oui! Alors je fis demi-tour et lui fis un bisou sur la joue. J'allai pour repartir mais il me retint le bras et m'obligea à m'asseoir sur ses genoux.
Il posa alors ses lèvres sur les miennes, il les mouva contre les miennes, suçota, mordilla mes lèvres puis fit passer sa langue dans ma bouche pour rejoindre la mienne. Il tournoya avec la mienne un moment, suçota, mordilla ma langue puis se sépara de moi. J'étais à bout de souffle et lui ne semblait pas ébranler le moins du monde.
Nassim : Je préfère ça. Dit-il avec un sourire fier.
Puis il me fit partir avec une petite tape sur les fesses et un bisou sur la joue. C'est limite si je ne me suis pas enfuie de la pièce.
Je marchai dans les couloirs le visage rouge pivoine. Plusieurs domestique m'ont fait des sourires en coin, ce qui m'a fait devenir encore plus rouge. Quand je fut arrivé en cuisines, Dalida a tiqué et m'a dit qu'elle me ferait un cour sur je-ne-sais plus quoi.
Maintenant je suis en train de donner à manger à Nassim, toujours aussi rouge.
Nassim : Tu es encore rouge ?
Palavra : C'est de ta faute aussi.
Nassim : J'aurais compris que ce soit ma faute il y a une heure mais là...
Palavra : On verra bien quand je te ferais la même chose et que toutes les domestiques te regarderont bizarrement si tu ne sera pas encore rouge.
Nassim : Mais vas-y je t'en prie.
Palavra : Q-Quoi ?! Non ! Enfin pas que...mais...'fin tu comprends !
Nassim : Absolument pas.
Palavra : Quand je disais ça je parlais pas forcément de maintenant et puis ça fait longtemps qu'on a pas vu Mai Lan, Aymen et compagnie ?
Nassim : Tu change de sujet.
Palavra : Exactement !
Nassim explosa de rire et je le suivit dans son fou rire. Quand il eut terminé de manger, j'apportai le plateau à une domestique pour qu'elle le ramène en cuisines.
En retournant vers la chambre je me fis accoster par Dalida.
Dalida : Je peux te parler s'il te plaît.
Je hochai la tête et on se dirigea vers le salon.
Dalida : C'est dernier temps j'ai remarqué un rapprochement entre toi et Nassim. Évidemment cela ne me dérange absolument pas. Mais ça fait longtemps qu'il attend le moment où tu seras prête et il n'es pas vraiment patient. Je ne veux pas te forcer mais-
Palavra : Non tu ne me force pas, ça fait longtemps que j'y réfléchis et puis j'ai toujours inconsciemment ou consciemment fait confiance à Nassim. Je crois que je suis prête à la lui donner. Pour dire vrai, je voulais la lui offrir aujourd'hui.
Dalida : Tu es sur, on parle de ta première fois là. C'est pour toi que tu le fais.
Palavra : Bien sûr ! Après l'arrivée de Katherine et tout les mauvais souvenirs que cette femme engendre, j'en ai besoin de savoir que je lui appartient et connaitre les vrais joies de faire l'amour avec la personne qu'on aime.
Dalida : Et tu as décidé ça quand ?
Palavra : Depuis l'Harem. Daadee et moi on en avait parlé et on a choisi la date au hasard. Elle m'avait fait promettre de ne pas me défiler.
Dalida : Alors fonce.
Après cette discussion je repris le chemin de la chambre et lorsque j'y rentrai, je me fis plaquée sur la porte. Avant que des lèvres ne se plaquent à leur tour. Je reconnu les beaux yeux bleus-gris de Nassim.
Nassim : Je t'ai entendue parler avec Dalida.
Palavra : Ça m'enlèvera la gênance de te l'annoncer.
Il descendit ses baiser dans mon cou, mes clavicules et enfin mon sternum. Puis il remonta sa main plus haut, caressa mes côtes puis glissa sa ma vers mon dos, ensuite vers l'agrafe de mon soutien-gorge et le dégrafa.
Pendant tout ce temps Nassim n'a eu de cesse que de m'embrasser, bougeant ses lèvres contre les miennes, les mordillant, les suçotant et ma langue n'échappa au même traitement.
Puis il s'arrêta, me laissant haletante et me regarda droit dans les yeux. J'y vu comme un débat intérieur.
Nassim : Je peux pas.
Il ré-attacha mon sous-vêtement et sortit de la pièce, me laissant coite. Comment ça "il ne peut pas"? Je lui ai dit, implicitement certes, mais il a compris qu'il pouvait.
Lorsque je repris mes esprits je rouvrit la porte et me mit à sa recherche il me fallait plus qu'un "je ne peux pas comme explications.
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Dernier espoir
Художественная прозаPalavra est une jeune fille de 18 ans , qui a la vie dure , entre les coups et humiliations de sa mère Katherine et les avances de son beau-père Robert, son seul moment de répit est les lettres échanger avec sa belle mère . Dans ce tourbillon de ma...