Ce n'était clairement pas le moment. Je n'avais aucun contrôle sur moi-même en cet instant. Alors vouloir attaquer la maison n'était vraiment pas ce qu'il fallait.
Alors que je donnais mes directives je vis Natacha marcher vers la porte. Malheureusement pour elle j'ai -à cause de la menace- interdit d'ouvrir les portes. Je me dirigeai alors vers elle et lui dit.
Palavra : Soit tu te bats avec nous soit après cette petite bagarre tu meurs.
Natacha : Tu penses vraiment que tu vas gagner. Ils seront deux fois plus nombreux que tout tes hommes. Ils voleront tes domestiques et les tueront juste après.
Palavra : Je crois que tu sous-estime les 4 familles. Il n'y a personne à protéger ici. On ne laisserait jamais entrer un faible dans cette forteresse.
Comme pour appuyer mes propos les domestiques arrivèrent habillée et prêtent pour le combat. Et des crissements de pneus se firent entendre à l'extérieur.
Garde : Madame c'est les alliés.
Natacha : Des alliés ?!
Palavra : Tous les hommes de cette famille ne sont pas ici dans cette maison. Ouvrez les portes ! Ordonnai-je.
Une centaine d'hommes rentrèrent et désormais nous étions 500. En sachant que tous n'étaient pas là mais il fallait bien assurer la protection de la ville.
Palavra : Mon offre tient toujours vous savez. Bien que vous serez puni pour avoir coucher avec lui et pour nous avoir trahis.
Natacha : Comment vous...
Palavra : Vous saviez qu'il était deux fois plus nombreux que mes hommes. Enfin maintenant plus.
Dès ma phrase terminer je reçu dans mon oreillette un message disant que l'ennemi arrivait au niveau du premier rempart et qu'il était environ 300 hommes. Toutes les personnes ayant reçu le message sourire en l'entendant.
10 minutes plus tard le deuxième rempart nous signala 200 hommes. Tandis que le premier rempart nous informa que les 100 hommes manquants étaient tous morts, qu'une offensive arrivait par le ciel et qu'aucune pertes n'était à déplorées.
Palavra : Bien. Préparer le dôme s'il vous plaît.
Natacha : U-un dôme ?! Et il est fait en quoi.
Palavra : Diamant, graphite et lonsdaléite.
Natacha : Les 3 minéraux les plus dur du monde rien que ça.
Le dôme était fait d'une manière à ce que rien ne puisse le casser et puis nous avons décidé de le faire en forme de porc-épic. Ce qui fait que toute personne qui saute dessus se fait embroché.
Puis nous avons glissé au-dessus de tout ça une fine couche de carbone parcourue d'électrodes pour qu'ils soient électrocuté sur le champs.
Le deuxième rempart nous signala que cents hommes sont morts comme prévu, 100 hommes arrivèrent et que le frère de Malik en faisait parti. Et aucun mort n'était à compte. Soudain on entendit des bruits sur le dôme et puis des cris de souffrance.
La personne en charge du dome nous indiqua 200 hommes sur le toit. Certaines personnes essayant en vain de percer le dôme. Quand le gardien de la porte située sur une sorte de tour nous indiqua qu'il arrivait je lui sonnait le signal pour qu'il ouvre les portes.
Nous vîmes arrivé cent hommes en parfait état comme prévu et Kadivel était en tête. On aurait pu en finir vite mais je devais parler avec lui.
Palavra : Lever la barrière s'il vous plaît. Oh et Natacha savez vous que si je vous dit tout cela c'est bien évidemment parce vous allez mourir. Je ne laisserai pas les secrets de cette forteresse à la connaissance d'une traîtresse.
Les hommes de Kadivel durent se stopper à cause de la barrière.
Palavra : Kadivel il te reste cents hommes, tu en a perdu 400 en moins de trente minutes. Moi il m'en reste 500 ici et 400 ans dehors et si je le veux je peux appeler ceux des autres villes alentours. C'est perdu d'avance, abandonne le combat et vient discuter.
Kadivel : Jamais ! Tout c'est hommes ici n'ont plus rien à perdre si ce n'est que leur vie. Je vengerai mon frère.
Palavra : Tu le vengera de quoi ? Il connaissait les règles. Je vais te parler en toute honnêteté. Je n'ai aucune envie de me battre avec toi car c'est ton frère qui m'a appris en partie à me battre.
Kadivel : Tu as utilisé des mesures de lâche Palavra. Le sniper sur le toit m'informa qu'il était prêt à tirer mais je lui ordonnai de rien faire.
Palavra : Aucunement. Même si mes soldats son expérimenter je ne veux pas les tuer inutilement. Ils ont des familles.
Kadivel : Abaisse-moi cette barrière Palavra.
Je fis signe au gardien de l'abaisser et tandis que je me préparais au combat.
Palavra : Tu feras tuer 499 hommes inutilement Kadivel.
Puis la bataille commença. Tous les hommes présents se mirent en retrait et les domestiques se mirent au combat nous étions 151 femmes au total pourtant nous avons gagné cette bataille.
Le frère de Malik était au sol. Ma lance pointer sur le cou car que des armes blanches furent utilisées.
Palavra : Ton frère savait ce qu'il faisait Kadivel. Je n'y suis pour rien car il savait que jamais je ne pourrais me mettre avec lui. Tu venges un imbécile, Kadivel et tu le sais très bien.
Au fur et à mesure que je parlais les larmes coulaient sur ses joues.
Kadivel : Je lui disais qu'il n'avait aucune chance mais il était ambitieux. Il voulait être Baron. Mais même il n'y arriverait jamais parce que...
Palavra : Il n'y a que les Sultana qui prennent le titre il n'aurait été que le mari de la Baronne et n'aurait eut aucune autorité.
Kadivel : Il ne voulait rien entendre. Pardon.
Palavra : Je ne vais pas t'épargner car toutes c'est autres vies n'ont pas été épargnés. Mais avant tout j'ai une question Où est ma tante.
Kadivel : Elle-
Garde : Baronne d'autres hommes attaquent le premier rempart ils ne sont pas plus nombreux.
J'allumai mon oreillette et ordonnai.
Palavra : Des kamikazes. Protéger vous et laissez passez ma tante.
Quelques temps plus tard on entendit une explosion puis on vit une fumée. Ensuite se fut le deuxième rempart. Et enfin ma tante et mon oncle arrivèrent.
Katherine : Quel défense tout mes hommes sont morts mes aucun de chez toi. Bravo.
Palavra : Snipers. Finissez lentement faites les souffrir.
Deux tirs les deux tombèrent à genoux puis une rafale de tirent espacés pour leur laisser le temps de sentir la douleur sans jamais connaître la fin. Les Snipers faisaient attention à ne toucher aucun organe vital
Puis je leurs dit de s'arrêter deux hommes arrivèrent vers eux et les portèrent.
Palavra : Attacher les aux poteaux s'il vous plaît. Et laisser les là. Ils mourront bien un jour et si l'odeur est trop infecte achevez les.
Puis je me tournai vers Kadivel.
Palavra : Adieu.
Et je lui portai le dernier coup.

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Dernier espoir
General FictionPalavra est une jeune fille de 18 ans , qui a la vie dure , entre les coups et humiliations de sa mère Katherine et les avances de son beau-père Robert, son seul moment de répit est les lettres échanger avec sa belle mère . Dans ce tourbillon de ma...