CHAPITRE 10

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Palavra se réveilla avec un mal de crâne et avec difficulté et peine elle ouvra ses yeux, il y avait à côté d'elle une lampe et elle était attachée. Elle remarqua que ses vêtements avait été échangés contre un jogging qui ne marquait absolument pas sa taille, contrairement à son ancien vêtement  qui lui montrait sa taille marquée, mettant en valeur ses hanches développées et ses formes délicates. Là, elle ressemblait à un sac à patates. Palavra essaya de se détacher puisque par pur logique c'était sa grand-mère mère qui était à l'origine de tout ceci. Il est vrai que son épreuve était beaucoup trop simple et que même si elle était seule à faire cette transaction, il n'en deumerait pas moins que des gardes la surveille de loin et donc en cas d'éventuels débordement ces gardes ne serait pas rester de marbre et aurait attaqué. Mais puisqu'ils n'ont guère agit il va de soit que l'épreuve continuait. Alors elle essaya de se défaire de ses liens mais elle sentait que ses forces n'était pas au rendez-vous. Elle se sentie d'un coup pris d'une vague de chaleur. Puis une autre, la température de la pièce augmentait à vue d'oeil et sa température corporelle aussi. Elle en déduit qu'on l'avais droguée. D'un aphrodisiaque surment. Alors elle pris le peu de force et défis ses liens. Elle essaya ensuite de se lever mais dû se rattraper au murs. Elle avait chaud très chaud et elle halétait également énormément. Jamais on avait utiliser de tels drogue sur elle mais Palavra ne devait en aucun cas s'effondrer, au risque que quelqu'un ne lui fasse du mal. Car cette drogue a bien faillit avant lui coûter. Elle  était vraiment handicapante.

Lentement et haletante, Palavra s'avança vers la porte qui bien évidemment était fermée. Alors elle chercha dans la pièce de quoi briser la serrure et à par le lit, la table de chevet et la lampe posée au dessus de celle-ci il n'y avait rien. Bon va pour la lampe. Elle se dirigea alors vers celle ci puis alla vers la porte et frappa de toute ses forces sur la poignée qui céda, heureusement, au premier coup. La serrure était surment en mauvais état. Quand elle sorti, elle se retouva dans un couloir digne des filmes d'horreur. Avec ses lumières qui " comme par hasard" fonctionne moyennement. Palavra s'y engouffra en se tenant au mur au bout de se couloir se trouvait des escaliers, qu'elle monta avec  grande difficulté puisque son excitation était à son comble. Il lui était  donc plus difficile de se déplacer. Arrivée au sommet, elle se rendit compte que personne n'était venue. Autant en profiter avant de s'évanouir pour de bon. Palavra avança. Le chemin était tel quelle pensais qu'il était tracé. Puis après dix minutes de marche elle arriva devant une porte qu'elle allait ouvrir mais celle-ci s'ouvrit avant laissant place à un homme aux cheveux noir  avec des yeux de même couleurs . Il était assis sur une chaise juste en face de la porte, de ce fait des que la porte s'ouvrit elle tomba sur cet inconnu un sourire narquois sur son visage.

- Quel était pittoresque mademoiselle Sultana.

Palavra resta à l'embrasure de la porte.

- Vous savez que vous savoir dans cet état me procure un bien fout. Dit il en s'approchant. Quand j'ai appris que vous arriviez j'étais fou de joie. S'exclama l'homme en lui attrapantle cou.

Face à ça Palavra resta neutre bien qu'haletante. Sa respiration était déjà compliquée mais là il lui était presque impossible de capter quelques molécules d'oxygène.

- Arretez de faire comme si rien ne vous affectait car au fond de vous, vous vous savez meurtrière. Et puis vous venez faire vos petites princesse gentille et affectueuse devant le monde. L'accusa-t-il le regard haineux.

Puis l'homme dressera sa priseà l'entente de pas provenant du couloir.

- Vous avez de la chance très chère.

L'homme la relâcha et s'en alla par une autre porte. Palavra se tint le coup en essya de reprendre une certaine respiration convenable. Puis un homme au cheveux blond et au yeux bleu gris arriva et dès qu'il l'a vue appuyer sur la porte il accouru vers elle.

-Palavra ? Palavra? Pourquoi êtes vous toute chaude ? Lui demanda l'homme en la prenant la tête entre ses mains.

Palavra essayait vraiment de reprendre sa respiration mais avec la drogue celle ne se faisait que saccadée

- Oï Palavra ? Garde appelé Aymen vite. Palavra vous allez bien ?

Tout en lui demandant il lui pris accidentellement les hanches. Palavra se debatit, cet homme lui voudrais certainement du mal en plus elle est en position de faiblesse.

- Palavra restez calme je vous en prie! Écoutez il se pourrait qu'une tiers personne vous ait droguée.

Palavra se détacha de son emprise toujours aussi haletante. Elle ne tenait presque plus sur ses jambes.

- Palavra auriez vous une idée de qui aurait bien pu... ? Commença à questionner  l'inconnu en s'approchant doucement pour ne pas l'effrayer mais se ravisa puisqu'elle ne pouvait pas parler.

- Garde où est Aymen?!

Palavra tira sur le costume de l'homme pour attirer son attention.

- Que se passe t-il Palavra ?

Palavra lui fit signe de parler moins fort. Mais son interlocuteur n'avait visiblement pas compris

- Hein? lkn madha estas diciendo? ( Mais que dites vous ? )

Alors Palavra recommença sesvm geste priant pour qu'il comprenne.

- Ah j'ai compris veuillez m'excuser. Mais pourquoi ses gardes n'arrive pas.  Palavra asseyez vous j'arrive.

L'homme parti la laissant seule. Elle ne pouvait même plus penser. Elle décida de s'asseoir car ses jambes ne la tenait plus. Cette situation était vraiment  bizarre. Le jeune homme revint quelques minutes plus tard.

- Bon il s'avère que personne n'est là. Mais vraiment quel bande d'incompétent. Se plegnit l'homme dans un souffle. Bon eh suivez  si vous y arriver.

Elle essaya de se lever mais rencontra le sol bien vite.

- Ok permettez moi de vous portez. Et puis vous n'avez pas le choix.

Il avait raison, résister est inutile en plus elle n'en a plus la force. L'homme plaça ses mains au creux de ses genoux et l'autre sur son dos. Il l'a souleva avec une facilité déconcertante. Et il était confortable. Palavra se senti alors tomber dans le sommeil. Mais avant de s'endormir elle pu lire sur le mouchoir de sa veste  Baltazar Azzaro...

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I'm so sorry pour le retard vraiment en plus j'ai laissé sur un suspense donc plus bâtard tu meurt. Enfait je dois vous expliquer ma situation, j'écris avec des faux ongles donc niveau complication on est hight level puis je savais pas comment écrire ce chapitre donc voilà et dites vous que je ne savais  toujours pas mais bon. Je l'ai recommencer trois fois. Et dernière excuse j'étais énormément occupée. Bref voilà. Encore sorry. J'aimerais aussi m'excuser auprès des arabes et espagnols pour les éventuels fautes j'essaye de faire un mixe des deux langues avec Google traduction. Et je suis congolaise donc les deux langues je ne les connais pas

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Dernier espoir Où les histoires vivent. Découvrez maintenant