CHAPITRE 40

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Ce chapitre contient une scène explicite entre nos deux protagonistes si vous n'aimez pas ça ou n'avez pas l'âge passez le s'il vous plaît.

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Nous prîmes l'avion pour aller vers l'Inde et quelques heures plus tard nous arrivâmes en pleine nuit. Nous déposâmes nos bagages et je partis me changer et me démaquiller.

Quand je voulu prendre mes vêtements pour dormir je me rendis compte qu'on les avait changés et un petit mot était écrit dessus.

Je veux des petits-enfants !

A.S

Elle s'inquiétait qu'il me saute dessus mais elle voulait clairement réveiller l'Ours qui hiberne. Mes robes de nuits n'étaient finalement que des nuisettes toutes plus sexy les une que les autres.

J'en pris une au hasard et l'enfilait priant pour qu'elle ne soit pas trop...allumeuse. Puis je sortis de la pièce.

Nassim : Tu me provoques.

J'ouvris les yeux que j'avais inconsciemment fermé en baissait les yeux pour voir la nuisette que j'avais mise à l'aveuglette et évidemment ça avait dû tombé sur celle-ci !

J'ouvris les yeux que j'avais inconsciemment fermé en baissait les yeux pour voir la nuisette que j'avais mise à l'aveuglette et évidemment ça avait dû tombé sur celle-ci !

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Ma bouche et mes yeux formaient trois ronds parfaits et je me cachais tant bien que mal mais on voyait tout!

Palavra : Arrête de me fixer !

Nassim : Pourquoi ? Tu es ma femme maintenant, je peux te regarder et t'admirer autant de temps que je veux.

Je secouai vivement de la tête et partit me réfugier dans les couvertures du lit.

Palavra : Vas te changer !

Nassim soupire et monta sur le lit.

Nassim : Palavra si tu ne veux pas le faire ce soir on est pas obligé.

Je relevai timidement pour le regarder dans les yeux. Et mes doutes partirent en un coup de vent. J'avais préservé ce précieux cadeau pour lui avec énormément de soin. Alors oui, j'étais prête.

PDV EXTÉRIEUR :

Palavra prit Nassim dans ses bras et lui dit;

Palavra : Non je suis prête.

Ce dernier la repoussa un peu pour la regarder dans les yeux et lui demanda si elle était sûre d'elle ce à quoi Palavra acquiesça. Un sourire resplendissant naquit sur le visage de Nassim.

Il avait attendu ce moment depuis tellement longtemps qu'il était aussi excité qu'un enfant qui avait reçu sa sucette. Il allait faire en sorte qu'elle passe la plus belle des soirées.

Puis il l'embrassa doucement dans un premier temps puis le baiser ce fit plus possessif et fougueux. Ses baisers descendirent progressivement sur sa mâchoire puis sur son cou et ses clavicules où il y laissa quelques marques violacées.

Il fit glisser lentement les bretelles de Palavra jusqu'au bout tandis que cette dernière était rouge dû à la gêne mais à une certaine excitation. Sa respiration était fébrile et tout son corps était bouillant alors que son mari laissait courir ses mains sur son corps.

La jeune femme prit dans l'ambiance fiévreuse déboutonna la chemise de son homme tandis que ce dernier revenait pour chercher sa bouche, commençant une valse sensuelle avec leur langue.

Les deux corps purent enfin se rencontrer peau contre peau et Nassim prit son sein entre ses lippes pendant qu'il caressait ses flancs. Palavra était pris dans un torbillon grisant alors qu'une coulée de lave voyageait dans son corps.

L'Azzaro continua ses baisers et caresse sur son ventre et ses cuisses laissant quelques suçons sur son passage. Il prit le temps de préparer l'intimité de Palavra au rythme de ses soupirs et gémissements. Prenant son temps pour faire de sa première fois une soirée inoubliable.

Palavra accueilla les baisers de Nassim caressant son dos, s'accrochant parfois plus fortement tandis que de poussées progressives, il la faisait devenir sienne. Puis il ressortit de son intimité et revint plus fortement.

Répéta cette opération, alternant entre coups amples et brutaux et plus rapprochées et rapides toujours en faisant attention aux mélodies de Palavra. Nassim décida de augmenter leur plaisir en s'attaquant à son petit bouton de plaisir.

Palavra cria franchement regardant Nassim dans les yeux, voyant un sourire joueur alors qu'il s'arrêtait. La jeune frustrée fronça les sourcils en redemandant, et son homme lui offrit tout ce qu'elle demanda.

Leurs soupirs gémissements rauques et aigus s'amplifirent alors que la fin approchait, les coups de reins se firent plus effrénés pendant que leurs lèvres se rencontrèrent tel une nécessité. Et au bout de cette ascension vers le septième ciel, le nirvana les faucha.

Nassim se retira puis se recoucha sur le coté reprenant difficilement son souffle. Palavra se colla un peu plus à Nassim puis s'endormit rejoignant Morphée le sourire au lèvres.

PDV Palavra :

Je me réveillai sous des caresses et rencontra le regard bleus-gris de Nassim. Je me sentais bien et tout était parfait. Je parti me laver et m'habiller et rejoignit Nassim à la cuisine. Il était aux fourneaux préparant le petit-déjeuner.

Je l'enroulais de mes bras essayant de voir ce qu'il faisait.

Palavra : Tu sais cuisiner ?

Nassim : Non c'est la première fois que j'essaie.

Amira : Dit plutôt qu'il a appelé sa mère en furie pour qu'elle l'aide!

Je vis seulement maintenant le téléphone de Nassim ou sa mère était visiblement en appel avec lui. On pouvait dire que j'étais morte de rire.

Palavra : Amira je vais l'aider avec son omelette vous pouvez raccrocher.

Elle n'attendit pas plus longtemps et raccrocha. Je me mis donc à côté de Nassim pour l'aider à couper les oignons. Et quelques minutes plus tard nous eûmes notre omelette.

Nous nous assîmes sur le canapé en face de la bée vitrée le soleil se levant doucement notre omelette et nos boissons chaudes en main. Tout était parfait.

Cela faisait cinq jours que nous étions là et s'était vraiment reposant. Nous devions passer une semaines car nos obligations ne nous permettaient pas de rester plus longtemps. Les rayons du soleil nous réveillait et nous nous endormions sous les rayons de la lune et ses milliers d'étoiles.

J'étais aussi partie voir mes parents et mes grands-parents pour leur raconter les dernières nouvelles.

Nassim : Palavra, mí amor. M'appela Nassim en m'enlaçant par-derrière alors que j'étais devant la grande fenêtre.

Palavra : Oui?

Nassim : Pourrais-tu arrêtez de piquer les caleçons s'il te plaît ? Je n'en ai plus maintenant.

Je me retournai pour le faire face un sourire joueur sur mes lèvres.

Palavra : Tu n'as qu'à les mettre à la machine à laver et puis tu n'avais qu'à en prévoir plus.

Puis je me séparais de lui et partit en lui laissant une petite tape sur la fesses s'en suivit alors une course poursuite dans toute la maison. J'étais vraiment heureuse.

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Demain c'est mon anniversaire.

-moi

Dernier espoir Où les histoires vivent. Découvrez maintenant