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- Je me ferais en grand plaisir de recommencer niama de première classe tchuiiip. dis-je en dégageant furieusement mes mains de son emprise.
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Nous étions toujours en train de nous défier du regard lorsqu'il souffla puis regarda sa montre ( qui devait sûrement coûter une blinde sois disant en passant. )
Il releva les yeux vers moi après avoir regardé le temps.

- Bon assez bavardé nous avons assez perdu de temps comme ça muy cara ( très chère ). Vous venez avec moi et sans discussion.

Tout en parlant il me prit la main pour m'amener vers la porte mais je ne me laissa pas faire et gifla sa main pour qu'il me lâche ce qu'il fit immédiatement.

- Il y a quelque-chose qui ne tourne pas rond dans votre tête ou quoi ? Jamais je vous suivrez comme ça sans discuter. Vous êtes fou, dis-je en le regardant avec dédain.

- Mi querida ( ma chérie ) bien évidemment que vous allez me suivre sans discuter. La veste que vous avez abîmé, vous allez devoir la payer mais j'imagine que puisque vous habité dans un tel taudis vous n'aurez guère les moyens de payer les frais de lavage ainsi que les frais de réparation.

Mes yeux s'ouvrèrent d'indignation.

- Vous n'êtes certainement pas sérieux.

- Bien sûr que je le suis, dit-il en reprenant son sérieux.

Je m'esclaffais.

- Comme si j'allais vous suivre de toute façon.

Sur cette dernière pensée, je tournais les talons pour retourner dans mon salon quand je me sentis soulevée du sol.
Le salo.
Il m'avait prit en sac à patate puis se dirigeais avec nonchalance vers ma porte d'entrée.

- MAIS QUE FAITES-VOUS ?!?!? LÂCHEZ-MOI SAL OBSÉDÉ SEXUEL !!!
Il rigola puis frappa légèrement mes fesses avec son autre main avant de la laisser comme si tout était naturel.

- ENLEVEZ TOUT DE SUITE CETTE MAIN DE MON POSTÉRIEUR !!! À L'AIDE !!

Il avait fermé la porte derrière lui et se dirigeais rapidement vers sa voiture je supposais. Je criais au viol, le tapais de toutes mes maigres forces des mains et des jambes alors qu'il resserrait sa poigne autour de moi pour que je ne puisse pas tomber de son épaule.

- Sebastián la porte, dit-il calmement.

- QUOI ?! m'écriais-je confuse.

Puis sans que je ne puisse dire « hein ». On me jetta littéralement dans une voiture et la portière claqua après que ce monstre sois monté dans l'automobile.
J'essayais d'ouvrir la portière rageusement mais le majordome avait bloqué la portière.
Je criais de frustration avant de me tourner furieusement vers mon kidnappeur slash obsédé sexuel.

- C'est un putain de kidnapping sale monstre !! LAISSEZ-MOI SORTIR DE LA !!

- Taisez-vous j'essaye encore de figurer ce que je vais faire de vous, dit-il l'air penseur un doigt sur son menton.

Je tchipais avant de me tourner vers la vitre où est-ce que je présumais ce trouvais derrière le majordome complice. Alors je cognais fort contre la vitre pour le faire réagir.

- Doucement avec la vite je vous pris.

- Fermez votre bouche je fais ce que je veux à ce stade de ce kidnapping pour sauver ma vie, répondais-je sèchement.

Le majordome baissa la vitre et me regarda à travers le rétroviseur.

- Oui mademoiselle ?

- Dites-moi 'Sebastián' comment pouvez-vous tolérer que cet homme puisse kidnappé une jeune femme innocente comme moi ? Fait-il cela souvent ?!

- Non et Non mademoiselle.

- Allez-vous toujours me répondre part « non »
Sebastián ?

- Non mademoiselle.

Je soufflais d'exaspération.

- Attachez-vous correctement sur votre siège s'il vous plaît mademoiselle.

Puis il remonta la vitre pour de bon.
Je soufflais encore une fois puis me rassis sans pour autant m'attacher.

- Attachez-vous ou je serais dans l'obligation de le faire moi-même, commença l'autre abruti.

- Essayez et je vous assommerais ou mordrais au choix, répliquais-je le regard aussi noir.

Il leva les yeux aux ciel exaspéré par mon comportement.

Je grelottais. La clim plus les habits que je portais à l'instant ne faisait vraiment pas bon mélange.
Le psychopathe le remarqua et posa sa veste sur mes épaules me recouvrant complètement.
Je sursautais et jeta sa veste par terre sans remords.

- Je n'ai certainement pas besoin de la charité de la personne qui m'a enlevé, dis-je toujours en colère.

- Très bien. Donc vous ne voirez aucun inconvénient à ce que je remonte la climatisation car pour ma part je meurt de chaud, dit-il un sourire narquois sur son visage.

Il remonta donc la climatisation et l'air frais se fit plus dense ce qui accentua mes frissons. Je grelotais et je détestais ça.
Alors contre ma volonté je pris sa veste et m'entoura avec comme un nouveau né toujours sous son regard narquois.
Je jurais pleins d'insultes tout haut puis me tourna de mon côté de la porte mon regard se portant vers l'extérieur.

* Je sens que ça va être une longue route...
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Chapitre II terminé 🔅
Laissez moi vos avis dans les commentaires et rendez-vous au chapitres III 🦋
( pardon pour les fautes d'orthographes )

𝐇𝐢𝐬 𝐌𝐚𝐣𝐞𝐬𝐭𝐲Où les histoires vivent. Découvrez maintenant