𝟓

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- Vous êtes intéressante señorita ( mademoiselle ). Très intéressante.. Bien ne tardons plus, il commence à se fait tard et je commence moi aussi à ressentir la fatigue. Continuons. Cette fois-ci nous sommes réellement proche d'arriver.

Puis il repris sa marche avec bien sûr moi sur le côté.
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Nous arrivâmes devant une porte après une petite minute de marche.

Il s'était arrêté puis tourné à ma rencontre.

- Bien vous êtes prêtes ?

Je roulais des yeux et croisa mes bras en dessous de ma poitrine.

- À ce stade-là avec tout ce que vous m'avez fait endurez depuis que vous m'avez kidnappé dans mon propre appartement je suis capable de tout enduré à présent.

Il me regarda étonnamment d'un air sérieux puis un sourire narquois se dessina lentement sur le visage.

- Parfait alors.

Il se retourna vers la porte et l'ouvrit m'invitant à regarder.

J'écarquillais des yeux.

Cette chambre était tout simplement merveilleuse

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Cette chambre était tout simplement merveilleuse. C'est comme si mon rêve de petite fille s'était légèrement réaliser et que j'avais la chambre de princesse de mes rêves. Mais je me ravisais rapidement. En aucun cas je voulais de la charité de celui qui m'avait enlevé et amené dans un autre pays contre mon gré.

Alors je me retournais vers lui légèrement irritée.

- C'est très coquet mais je n'en veux pas.

Il fut surpris un instant avant de se raviser.

- Et pourquoi muy cara ( très chère ) ?

- Parce que. Encore une fois je n'ai pas besoin de votre charité de seconde base après ce que vous m'avez fait. Je préfère encore dormir à même le sol.

Il s'était rapproché de moi et était à présent à quelques centimètres. Je pouvais donc sentir son souffle chaud contre moi. Cependant je ne voulais certainement pas me défiler contre lui alors je gardais la tête haute face à lui alors qu'il me regardait intensément.

- C'est une façon pour moi de me faire pardonner toutes mes erreurs.. dit-il tout doucement. Pourquoi vouloir refusé..

Il s'était encore avancé vers moi pour me déstabiliser mais encore une fois je reculais pour mettre une distance de sécurité entre lui et moi. Mais quand je me cognais contre le mur je compris alors qu'il avait tenté de me coincé contre un mur pour que je n'ai aucun échappatoire et il avait bien réussi le con je n'avais même pas fait gaffe.

Cependant je gardais toujours la tête froide.

Et parlant de froid. Tout mon corps grelotais toujours à cause de ma maigre tenue et de la climatisation installé pour maintenir la pièce assez froide.

- Dormir au sol même vous ferez tomber malade. Votre corps semble particulièrement demander un peu de chaleur..

Il posa son doigt sur ma cuisse et commençai à remonter trop haut à mon gout.

Je frissonnais de dégout.

Finalement, il s'arrêtait juste au bon moment et reposa son regard sur moi.

Il rapprocha son visage du mien.

Mes sourcils se froncèrent.

CLAP.

Il recula visiblement surpris par mon geste soudain mais compréhensible. Il se toucha la joue ou est-ce que ma main avait fait mumuse avec sa joue.

- Que se soit clair, dis-je d'un ton menaçant. Nous deux on est pas pote et on le sera certainement jamais. Alors si je dois vous baffez pour que vous compreniez alors sois je le ferais mais n'osez plus jamais m'approchez et me touchez de la sorte. Je ne suis certainement pas une catin sans valeur pour qu'un vulgaire inconnu avec ses sales mains me touche de la sorte.

Il me regarda encore les yeux ronds et je décida de continuer.

- J'accepte la chambre malgré tout mon dégout à votre égare maintenant sortez. dis-je autoritairement.

Il me regarda quelques secondes avant d'éclater de rire.

Je le regardais incrédule. Il se foutait royalement de moi là ?

Je serais des mains et de la mâchoire.

Je m'avançais vers lui et le poussa sans ménagement vers la sortie toujours sous ses rires puis quand j'eu réussi je claqua la porte à son nez avant de la bloquer avec la clé que j'avais trouvé sur la commode.

J'allais me retourner pour aller m'affaler sur le lit quand j'entendis l'autre abruti toquer.

- Quoi ? criais-je.

Il finit de rire avant de commencer à parler.

- Votre majordome attitré viendra demain matin à sept heures tapantes réveillé ou pas. Bonne nuit mi hermosa tigresa ( ma très belle tigresse ).

Je roulais des yeux toujours en colère en fermant et ouvrant ma main pendant qu'il parlait.

- Ouais, ouais c'est ca va dormir bouffon.

- Mateo.

Je me retournais vivement avant de sprinter vers la porte pour coller mon oreille contre celle-ci.

- Qu'avez-vous dit ? demandais-je confuse.

- Mon nom est Mateo.

Puis je sentis ses pas s'éloigner. Je me retournais et me jetais dans ''mon'' lit. Puis prit un oreiller avant de le plaquer contre mon visage.

De toute façon je m'en fiche de comment il s'appel.

Il a voulu joué avec quelqu'un de plus grand que sa petite personne.

Un sourire sadique se dessina sur mes lèvres.

Très bien Mateo.

Jouons..
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Chapitre V terminé 🔅
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( pardon pour les fautes d'orthographes j'essaye de faire au mieux 🥀)

𝐇𝐢𝐬 𝐌𝐚𝐣𝐞𝐬𝐭𝐲Où les histoires vivent. Découvrez maintenant