𝐇𝐢𝐬 𝐌𝐚𝐣𝐞𝐬𝐭𝐲

𝟐𝟑

NDA: Aller lire à la fin de ce chapitre ce que j'ai écrit. J'y tiens et c'est vraiment important pour moi et pour vous aussi donc go go go ! Merci d'avance et bonne lecture. xx

Cependant je ne l'occupais pas et mieux encore posa ma main sur son torse pour être plus comfortable.

Mes paupières du à la fatigue finirent par se fermer toutes seules et je sombrais dans les bras de Morphée toujours blottie dans les bras protecteur de Mateo..

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Je me reveillais en ouvrant petit à petit les yeux pour que mon regard puisse s'habituer à la lumière du jour.

Je remarquais immédiatement que je ne me trouvais pas dans ma chambre mais que j'étais bel et bien toujours dans la chambre de Mateo.

Mince j'aurais pensée qu'il aurait eu la décence de me ramaner dans ma chambre mais il faut croire que non.

Je sentais quelque chose se presser contre moi. Je baissais mon regard et vu deux bras musclés me serrer la taille et ma tête était posée contre un torse.

Son torse.

Je décidais alors, malgré moi, de descendre mon regard encore plus bas pour remarquer que son chandail s'était levé pendant son sommeil et qu'il laissait apercevoir ses muscles. Ses muscles si attirants..

Inconsiamment ( en le voulant aussi surement ) je déposais ma main timidement vers ses abdos pour les examiners.

*Ils sont tel-

Il se mit a bougé et je stopa tous mes gestes mais il ne fit que soupirer et serrer son emprise sur moi rapprochant nos deux corps l'un contre l'autre.

Je sentis le rouge me monter à la tête ( façon de parler ) alors qu'en rapprochant nos deux corps ma main avait baisser un peu plus bas pour toucher son ''machin''.

*Oh..mon..DIEU ! Qu'est-ce que je fais, qu'est-ce que je fais !!

Alors que milles et unes pensées traversèrent mon esprit à tout allure je ne l'entendis même pas me rire au nez.

- Votre main et votre regard sont trop bas mi amor.

   *mon amour

Je levais rapidement la tête et croisa son regard pervers.

- Cela est considéré comme de l'attouchement sexu-

Je lui fis bouffer mon oreiller pour le faire taire.

- TAISEZ-VOUS TAISEZ-VOUS. dis-je en sentant encore l'embarras se lire sur mon visage.

Je l'entendais se marrer sous la couette alors qu'il avait passé ses bras autour de mes hanches pour me placer au dessus de lui.

- Ce n'est guère de ma faute si vous venez de littéralement toucher le PRINCE DE CE PAYS sans son constentement, dit-il toujours hilarte.

- AH PARCE QUE MAINTENANT VOUS PARLER DE CONSENTEMENT SANS PROBLÈME !

- Bien sur.

Je sentais très bien qu'en dessous de ma couette il se foutait royalement de ma geule.