-Tchuiiip, dis-je en lui lançant un regard plus que noir.
- Toujours ce bruit incessant qui sort de ta jolie bouche mi amor. Tu devrais arrêter avant que je te couse cette jolie et pulpeuse bouche qui est tienne. dit-il avant de prendre mon menton e...
Elle se retira de mon emprise s'en alla ne laissant que les brumes de son parfum suivit de son clébart son assiette à la main.
Je retournais à ma place furieusement avant d'envoyer valser mon assiette contre le mur. Puis je pris ma tête entre mes mains assis dorénavant sur ma chaise.
Cette femme me rendra fou.. ••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• Pdv Grace
Je bouillonnais de rage assise sur le matelas du lit en mangeant mon délicieux plat sous le regard d'Aarón. - Tu sais, commença Aarón, tu n'aurais jamais dû prendre ma défense. Je suis habitué à son caractère. Je me retournais vers lui furieuse. - Et justement tu ne devrais pas te laisser marcher sur les pieds comme ça !
- Écoute..
Il s'était avancé vers moi et assis à côté posant sa main sur mon épaule dénudée.
- Je peux comprendre que tu n'approuves pas certaines choses que le prince fait. Je comprends tout à fait. Mais c'est le prince bon sang. On est des 'paysans' et lui le prince. Il faut savoir retenir ses places et surtout savoir retenir ses paroles. Tu ne peux pas le parler comme tu la fait à l'instant. C'est irrespectueux.
Je le regardais froidement alors qu'il continuais de parler. En ayant assez je décidais de l'interrompre.
- Sors.
Il me regarda perplexe.
- Pardon. me demanda t-il confus.
- Sors je ne me répèterais pas une troisième fois. dis-je cette-fois-ci autoritairement
Je me levais furieusement du lit balançant sans faire exprès le plat qui était sur mes jambes.
- Je pense que tu n'as vraiment rien compris. Il m'a kidnappé seigneur marie joseph et je dois le respecter parce que c'est le prince?! Il n'est même pas ROI juste prince !Non je ne pense pas que je vais le respecter après ce qu'il m'a fait ! Surtout qu'il ne m'a jamais présenté d'excuses pour son affreux comportement à mon égard ! Maintenant tu vas quitter cet endroit qui me sert de chambre immédiatement ! C'est un ordre !
Tout en parlant je le poussais sans ménagement vers la porte de sortie sentant les larmes de rages me monter aux yeux.
- Tient.
Je lui plaça rageusement l'assiette dans les mains qui avait heureusement survécu grace à la moquette autour du lit.
- Va nettoyer les assiettes il n'y a que ça de constructif que tu es capable de faire.
Puis sur ses mots je lui claqua la porte au nez et m'engouffra sous les couettes les larmes dévalant mes joues alors que je resserrais le coussin contre moi étouffant mes pleurs et reniflements.
Je tournais autour de la porte de sa chambre comme un león ( lion ) coincé dans une cage un bouquet de roses rouges.
Je rongeais mes ongles et grattais ma tête anxieux. Un moment j'avançais sur de moi pour cogner à sa porte mais le moment d'après je reculais nerveux.
Je passais une main sur mon visage.
- Vamos a ver a Mateo ( voyons Mateo ). Tu es prince de tout un pays entier. Désiré par de millions de femmes. Comment peux-tu manquer autant d'estime de sois face à elle. me murmurais-je tout seul.
Je pris une grande inspiration et m'avançais vers la porte pour toquer quand elle s'ouvrit toute seule à la volée me faisant faire un petit sursaut. Elle était toujours habillée de cette belle rouge qui lui allait à ravir me laissant dans tout mes états comme lors du déjeuner.
- Le kidnappeur. Que me vaut l'honneur de votre humble visite dans ma prison ? me dit-elle un sourcil arqué.
Je la regardais encore déstabilisé puis lui tendit le bouquet.
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Elle le regarda surprise.
- Pourquoi ? me demanda t-elle tout simplement.
Je m'approcha légèrement d'elle pour écarter tout proximité entre nous.
- Je veux que nous repartions sur de bonne base. Je suis désolé de vous avoir kidnappé. Ce n'était pas très caballero ( gentleman ) de ma part.. Je veux simplement vous dire que je vous jure de vous ramenez chez vous dans les prochains mois lorsque votre dette sera payé.
- La dette de votre chemise ? Sérieusement ? dit-elle en m'offrant un jolie sourire au coin.
- Oui la dette de ma chemise. Elle ma couté la peau des fesses señorita ( mademoiselle ).
Elle rigola légèrement.
Enfin je l'avais fait rire ( légèrement ) mais tout de même. Son rire était juste mélodieux..
- Et comment pourrais-je payer ma dette señor ( monsieur ) ? me demanda t-elle toujours un sourcil arqué.
- Travailler pour moi dans mon entreprise en temps qu'assistante. Si votre travail me plait je penserais peut-être a retour.
Elle tapa mon épaule.
- VOUS me ramènerez chez moi.
Je rigola.
- OK ok no hay problema ( ok pas de problème ) je vous ramènerez chez vous ca vous va ?
Elle secoua énergiquement de la tête.
- Peut-on maintenant repartir sur des bonnes bases mi tigresa ( ma tigresse ) ? demandais-je un sourire au coin en lui plaçant le bouquet entre les mains.
Elle me regarda un instant puis me sourit de toutes ses belles dents blanches.
- Oui.
Elle me fit une légère révérence avant de retourner dans sa chambre.
Je m'apprêtais à partir quand j'entendis un murmure venant de sa porte.
- Merci Mateo..
Je partais dorénavant un grand sourire plaqué sur mes lèvres... •••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• Chapitre VIII terminé 🔅
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( pardon pour les fautes d'orthographes j'essaye de faire au mieux 🥀)
